National selvstændighed og uafhængighed, postkolonialisme

Au départ, l'ancien président Donald Trump a tenté de promouvoir le principe "All Lives Matter" et de rassembler le pays, mais n'a pas eu cet honneur. En fait, ce sont les démocrates qui ont été les premiers partisans du « All Lives Matter ». Mais en ce qui concerne Trump, les médias ont continué à le vilipender pour sa position « All Lives Matter », même après qu'il ait publiquement désavoué l'alt-right et David Duke à de nombreuses reprises. Mais comme ils se sont laissés aller dans un terrier de lapin, pensant que tout le monde oublierait qu'ils prônaient le séparatisme et l'ouverture des frontières, les démocrates doivent désormais gérer ces deux visions sans s'aliéner leurs politiques base. Il est important de noter qu'un pays divisé n'est pas viable dans un pays capitaliste où les gens doivent rivaliser les uns avec les autres pour les emplois et les ressources. Être divisé selon des critères raciaux ne fait qu'alimenter le feu. Les deux ne se mélangent pas. C'est "La nouvelle normalité que notre volonté d'aller à l'extrême nous a apporté. Le pays doit maintenant y faire face. Il n'y a pas de retour en arrière à une époque où les interactions négatives et positives n'attiraient pas la connotation raciste extrême qu'elles ont aujourd'hui. . On peut croire que lorsqu'ils sortent et que leur journée est gênée par quelqu'un qui ne représente pas leur origine raciale et culturelle, tous - de droite ou de gauche - se demanderont si la race a joué ou non un rôle dans cette situation. Voici la leçon. Ne sabotez jamais votre opposition politique en détruisant le pays, tout cela dans le seul but de pointer du doigt les responsables. Parce que, si vous arrivez au pouvoir, vous vous retrouverez avec la tâche impossible d'essayer de convaincre le public que vous ne défendez pas vraiment les politiques destructrices que vous avez propagées juste avant votre ascension. Aujourd'hui, les démocrates portent le sac du séparatisme racial, de l'ouverture des frontières et de la criminalisation de l'opposition politique, essayant de trouver un moyen de revenir sur tout cela. Mais c'est triste à dire, qu'ils soient désormais coincés avec ça. L'extrême gauche a fustigé les idées de « toutes les vies comptent » et de « sécurisation des frontières » lorsque Trump était au pouvoir, et maintenant qu'ils sont au pouvoir, ils se retrouvent avec ces idées bizarres, que leurs partisans attendent désormais d'eux. défendre. Sans oublier que les démocrates sont maintenant pro-guerre, ce qui est un autre terrier dans lequel ils sont tombés à cause du syndrome de dérangement de Trump, croyant que Trump était pro-russe/pro-négociation et parce qu'ils ne soutiennent pas Trump, alors ils doivent chercher à être anti-russes et anti-négociations pour se distancier de Trump.

"Over the course of the nineteenth century, European states worked together to install a new order of collective security, legitimising the repression of piracy. Menacing Tides demonstrates how this European cooperation against shared threats remade the Mediterranean and unleashed a new form of collaborative imperialism"--

A pioneering history that transforms our understanding of the colonial era and China's place in it China has conventionally been considered a land empire whose lack of maritime and colonial reach contributed to its economic decline after the mid-eighteenth century. Distant Shores challenges this view, showing that the economic expansion of southeastern Chinese rivaled the colonial ambitions of Europeans overseas. In a story that dawns with the Industrial Revolution and culminates in the Great Depression, Melissa Macauley explains how sojourners from an ungovernable corner of China emerged among the commercial masters of the South China Sea. She focuses on Chaozhou, a region in the great maritime province of Guangdong, whose people shared a repertoire of ritual, cultural, and economic practices. Macauley traces how Chaozhouese at home and abroad reaped many of the benefits of an overseas colonial system without establishing formal governing authority. Their power was sustained instead through a mosaic of familial, fraternal, and commercial relationships spread across the ports of Bangkok, Singapore, Saigon, Hong Kong, Shanghai, and Swatow. The picture that emerges is not one of Chinese divergence from European modernity but rather of a convergence in colonial sites that were critical to modern development and accelerating levels of capital accumulation. A magisterial work of scholarship, Distant Shores reveals how the transoceanic migration of Chaozhouese laborers and merchants across a far-flung maritime world linked the Chinese homeland to an ever-expanding frontier of settlement and economic extraction.

Imperial Island shows how empire and its ever-present aftermath have divided and defined Britain over the last seventy years.'An eye-opening study of the empire within' SHASHI THAROOR'Clear, bold, refreshing' LUCY WORSLEYAfter the Second World War, Britain's overseas empire disintegrated. But the effects of empire lived on, shaping its population and politics and dominating its relationship with the world ever since. Drawing on a mass of new research, from personal letters to pop culture, Imperial Island tells this dramatic story of imperial demise and its potent legacy, from the Suez Crisis to the Falklands War, from the invasion of Iraq to Brexit. It is a story of immigration and social unrest, multiculturalism and extremism, and a nation continuously wrestling with its past.'Incisive, important and incredibly timely . . . for anyone wanting to understand how Britain became the nation it is today ' CAROLINE ELKINS'Marvellous . . . A thought-provoking delight that absolutely everyone should read' STEPHEN BUSH'Absorbing . . . dexterously handled and carefully sourced' Financial Times'Masterful, ingeniously written. You won't look at Britain in the same way ever again' OWEN JONES

In the early twenty-first century, the concept of citizenship is more contested than ever. As refugees set out to cross the Mediterranean, European nation-states refer to »cultural integrity« and »immigrant inassimilability,« revealing citizenship to be much more than a legal concept. The contributors to this volume take an interdisciplinary approach to considering how cultures of citizenship are being envisioned and interrogated in literary and cultural (con)texts. Through this framework, they attend to the tension between the citizen and its spectral others - a tension determined by how a country defines difference at a given moment.

Soucieux de gagner l¿indépendance et l¿autonomie du pays face au monde occidental et à l¿URSS, le leader révolutionnaire Mao Zedong a mené, entre 1949 et 1976, une «Révolution socialiste» continue. Cet ouvrage observe les formes de l¿autoritarisme maoïste en multipliant les angles de vue ¿ arcanes du pouvoir de parti-État, opposition au sein du système, voix réfractaires des petites gens, etc. S¿appuyant sur des sources inédites, l¿auteur offre des plongées sur des personnages de second ou troisième rang peu connus de l¿histoire de la Chine contemporaine, des éclairages sur une ville (Shanghai) plutôt que sur une histoire nationale, ainsi que sur une multitude d¿acteurs ordinaires impliqués dans les divers moments maoïstes. Ce décentrement du regard permet de dépasser le cadre étroit de la hiérarchie bureaucratique et de cerner la présence de diverses réponses individuelles et collectives aux formes centralisatrices et hégémoniques de l¿État maoïste. En dépit d¿un contrôle social mêlé de propagande et de terreur politique, la Chine d¿après 1949 n¿était pas exempte de diversité dans les comportements, ni de particularisme et de localisme : face à une autocratie omnipotente, les individus et les collectivités étaient loin d¿être aussi amorphes qüon l¿a longtemps imaginé. En ce sens, la rupture avec les histoires de la fin de l¿ère Qing et de l¿ère républicaine s¿avère moins accusée et moins définitive.

This book promotes constructive and nuanced transdisciplinary understandings of some of the critical problems that we face on a global scale today by thinking with and from the Global South. It is engaged in transmodernizing, pluriversalizing, decolonizing, queering, and/or posthumanizing thinking and practice.

This volume offers a critical and creative analysis of the innovations of Deathscapes, a transnational digital humanities project that maps the sites and distributions of custodial deaths in locations such as police cells, prisons and immigration detention centres.

This book brings together voices from the Global South and Global North to think through what it means, in practice, to decolonise contemporary higher education.

An insightful look at the onset of colonialism in Central Africa from economic, religious, and political perspectives, examining the ultimately tragic participation of African elites in colonial rule.

The first comprehensive account of one of the darkest and mostly forgotten episodes of the Troubles.

”… nu kommer de ikke i kirken længere, de går til bjergsøen igen, de fortæller andre historier …”Indbyggerne i bjerglandsbyen drømmer urolige om røde papegøjer. En ung kvinde er forsvundet. En forsvunden mand er dukket op. Man forsøger at holde sig til traditionerne og samle sig om fejringen af byens grundlæggelse for 370 år siden. Og dog, for måske ligger en ny start endnu længere tilbage?Bjergets mund er en kollektivroman om en fattig sydamerikansk landsby, hvis primære indtægtskilde er rosenfarme, men som samtidig er på sporet af en anden og ældre rigdom.Dea Sofie Kudsk (f. 1990) er cand.mag. i kultur- og sprogmødestudier og historie. Sammen med sin colombianske mand og deres søn bor hun delvis i Salling, delvis i Colombia. Hun debuterede med romanen Bogotana (2017) og er siden udkommet med romanerne fjorden kysten (2018) og Udstrakt landskab (2020). Forfatterskabet bærer bl.a. præg af Kudsks arbejde med antikoloniel teori og af livet på to kontinenter.