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" Les Grotesques de la musique est un ouvrage d'Hector Berlioz publié en 1859, composé d'articles précédemment parus dans le Journal des débats et la Revue et gazette musicale. Faisant suite aux Soirées de l'orchestre, dédiées aux artistes de l'orchestre de X*** une ville d'Allemagne seulement désignée comme « civilisée » cet ouvrage est dédié à « mes bons amis les artistes des ch¿urs de l'Opéra de Paris, ville barbare ».
" Il y a une « affaire Shakespeare ». Depuis soixante-dix ans que le consul britannique Jo. C. Hart l¿a ouverte, elle a suscité assez de vo- lumes, d¿études, d¿articles pour emplir une bibliothèque publique. Ce n¿est pas une querelle philosophique sur le sens, la valeur, la portée de l¿¿uvre ; c¿est plutôt un problème à la façon d¿Edgar Poë : il s¿agit de sa- voir si Shakespeare est ou non l¿auteur des ouvrages de Shakespeare. Sherlock Holmes, à défaut de M. Dupin, serait bien utile pour résoudre cette question difficile.« Comme un fanal, dans la nuit, brille au milieu des airs sans laisser apercevoir ce qui le soutient, a écrit M. Guizot un jour qüil se trouvait en humeur de poésie, de même l¿esprit de Shakespeare nous apparaît dans ses ¿uvres isolé, pour ainsi dire, de sa personne. » Comprenez que tout ce que nous pouvons imaginer du poète d¿après son ¿uvre, non seulement ne concorde pas avec ce que nous savons de l¿homme qüil fut, mais s¿y oppose parfaitement."
" La réception faite à Son Altesse Impériale Louis-Napoléon dans les départements de l¿Est avait été un grand événement politique. A Bar-le- Duc, à Nancy, à Lunéville, à Strasbourg, dans ces grandes villes et dans ces belles campagnes de la Meuse, de la Meurthe et du Bas-Rhin, le cri de Vive l¿Empereur! avait retenti avec éclat et réveillé des échos dans la France entière. On pouvait pressentir dès lors l¿enthousiasme qui allait accueillir l¿Élu de la nation dans son long voyage à travers les départements du Centre et du Midi. Ce voyage a été décisif. Il a une immense importance historique. Il a révélé la France à elle-même. Il a donné une formule à la volonté nationale. C¿est de là que date la forme définitive du gouvernement. Il y a pour tous un véritable intérêt à connaître, dans tous leurs détails, ces manifestations éclatantes qui sont comme la pré- face de l¿Em pire."
" En écrivant la vie des enfants célèbres, en la proposant à l¿admiration d¿enfants comme eux, l¿auteur n¿a pas eu, Dieu merci, la folle pensée de faire naître dans le c¿ur de ses jeunes lecteurs l¿amour d¿une célébrité précoce. Il n¿est pas cependant de ceux qui condamnent absolument la noble ambition de la gloire comme indigne de la véritable modestie et de l¿humilité chrétienne. Mais il met le bonheur au-dessus de tous les biens, et il ne croit pas que la célébrité soit le bonheur. Nous vivons sous une forme de gouvernement qui excite et légitime toutes les ambitions; nous vivons dans un siècle où chacun est entraîné par des désirs immodérés de fortune et de luxe. "
" Les grands écrivains du XVIIIe siècle, dont les ¿uvres ont préparé la Révolution française, ne la croyaient point si proche, et, sans doute, s¿ils eussent vécu, ils n ¿auraient pu ni voulu jouer un rôle .On a eu raison de les nommer des philosophes ; ils n¿étaient point faits pour sortir de la sphère de la spéculation. Cette société, que condamnaient leurs livres, ils s¿y plaisaient en somme ; Rousseau, lui-même, l¿aimait au fond. Leur intelligence s¿éprit des idées de réforme ; mais elles ne passionnèrent point leur âme . Ils eussent été non seulement effrayés et indignés par les violences de la Révolution, mais surprise et choqués de ses belles ardeurs."
" Néanmoins ce n¿est pas par la peinture que le nom de Jean Veber se répandra tout d¿abord. Certes le Saint-Sébastien, le Saint-Siméon Stylite, les Vierges folles avaient de précieuses qualités. Mais dans la cohue du Salon des Champs-Elysées, ces toiles, quoique de grandes dimensions, passeront presque inaperçues ou seront goûtées seulement de quelques- uns. C¿est par les dessins publiés dans certains journaux fort répandus que le public s¿habituera très vite à lire la signature, réelle ou imagée , de notre ami. Sur des textes extrêmement spirituels de son frère Pierre,Jean Veber publiera en effet dans Le Journal des dessins fantaisistes, gais sou- vent,cruels par fois , mais toujours d¿une verve endiablée qui vont chaque semaine propager son talent de dessinateur et être de plus en plus impatiemment attendus."
¿ sollte von einer bewußt langsam wachsenden Zahl deutscher Neusiedler ¿ Vertretern möglichst verschiedener Berufsgruppen ¿ zunächst noch ausschließlich Tauschhandel getrieben werden, damit die Insulaner sich dank einer so angebotenen Vielfalt von Kontakten ihre Partner selber aussuchen und das Tempo ihrer ¿Zivilisierung¿ in Grenzen mitbestimmen konnten ¿Auf seinen frühen Handelsfahrten durch die Südsee und in Auseinandersetzung mit seinem mächtigen politischen Gegner, dem Berliner Bankier Adolph von Hansemann, entwarf der Kaufmann Eduard Hernsheim ein alternatives Kolonialprogramm für die Südsee. Im Mittelpunkt von Hernsheims Vision standen eine Begegnung mit den Inselbewohnern auf Augenhöhe und eine schonende Modernisierung ihrer Lebenswelt. Jakob Anderhandt wurde 1967 in Bonn geboren und lebt als freier Schriftsteller im Großraum Sydney (Australien). Während seiner ersten Weltreise als Überarbeiter auf einem Frachtschiff der Hamburg Südamerikanischen Dampfschiffahrts-Gesellschaft passierte er auch mehrere Südsee-Inseln. Anderhandts Biographie über den Südseekaufmann Eduard Hernsheim fand in allen einschlägigen Fachzeitschriften positive Resonanz und gilt als Standardwerk.Die Südsee-Bibliothek erzählt wissenschaftlich fundiert vom deutschen Einfluss in Ozeanien ab etwa 1850. Historisch interessierten Lesern bietet sie einen lebendigen Einstieg in das Thema, Akademikern eine solide Material- und Arbeitsgrundlage. Wichtigster Grundsatz der Schriftenreihe ist ihre Treue zu den Quellen.
" "L¿origine des proverbes doit remonter aux premiers âges du monde. Dès que les hommes, mus par un instinct irrésistible, et poussés, on peut le dire, par la volonté toute-puissante du Créateur, se furent réunis eu société ; dès qüils eurent constitué un langage suffisant à l¿expression de leurs besoins, les proverbes prirent naissance et furent comme le résumé naturel des premières expériences de l¿humanité..."
" ABBEVILLE. L¿hippodrome d¿Abbeville est en quelque sorte le complément de celui d¿Amiens; la date fut primitivement fixée entre le 13 et le 15 août. Mais comme les courses d¿Abbeville ne sont pas en elles-mêmes assez importantes pour déterminer un grand nombre de chevaux à se déplacer, plusieurs réunions importantes ayant lieu à la même époque, le comité d¿Abbeville a très-judicieusement fixé la réunion au surlendemain de celle d¿Amiens. De cette façon les chevaux ayant couru dans cette dernière localité, peuvent, sans avoir à supporter les frais d¿un nouveau déplacement, se rendre à Abbeville avant de retourner à Chantilly.
" Le livre que je publie est, en grande partie, un résumé de tout ce qui a été écrit au Canada relativement à nos fautes contre la langue française (la liste des ouvrages mis à contribution est donnée plus bas). Quelques ouvrages français, qui traitent des locutions vicieuses en usage en France, ont été consultés. J¿ai ajouté un assez grand nombre de termes locaux,que j¿avais commencé à recueillir il y a quelques années."
" Seize ans et demi se sont écoulés depuis qüHéléna Petrovna Blavatsky a quitté ce monde mortel.On continue néanmoins à attaquer sa véracité, sa réputation ; des gens honnêtes, des personnes sympathiques se détournent encore de la Société théosophique en disant : « Nous ne tenons pas à en faire partie ; elle a été fondée par Mme Blavatsky, qui fut convaincue de fraude par la Société des Recherches psychiques. » Les articles qui la défendirent à l¿époque sont depuis longtemps épuisés et oubliés. Le docteur Hodgson, auteur du rapport de la S.R.P. 2 , a ajouté foi depuis à des phénomènes beaucoup plus étonnants que ceux qüil a niés dans la présomption de ses jeunes années, et s¿est trouvé lui-même en butte aux faux rapports et au ridicule. "
" En dédiant ce petit volume au peuple, nous n¿avons pas seulement dessein de témoigner de notre respect pour lui ,nous voulons encore solliciter ses sympathies pour les douleurs des esclaves. Puisse notre livre pénétrer dans les ateliers, obtenir quelques-unes de ces heures saintes qüon y dérobe à la fatigue pour les donner à d¿austères études, et gagner à la cause de l¿abolition de l¿esclavage les généreux esprits auxquels nous nous adressons. Le peuple français, qui marche à la conquête de tous ses droits, le peuple français, qui chaque jour prend un sentiment plus éclairé de l¿égalité humaine, ne doit pas oublier plus longtemps les Noirs qui souffrent, les Noirs, qui, moins heureux que lui encore, n¿ont pas la possession d¿eux-mêmes ."
" Jean-François Barton, baron de Montbas, naquit au château de Montbas, près de Bel lac,le 28 août 1636. Il appartenait à une vieille famille de la Marche, sur l¿histoire de laquelle il nous a laissé, en guise de préface à ses Mémoires, une notice « établie avec toute l¿exactitude possible et en ne disant rien que de vrai ». Certains généalogistes ont voulu trouver aux Barton une origine étrangère, et Mont- bas, bien que sans preuves convaincantes, semble se ranger à leur avis. Lorsque, en 1259, Louis IX eut restitué au roi d¿Angleterre, en échange de la Normandie, les provinces du Limousin, du Périgord et du Quercy, de nombreux seigneurs anglais passèrent en France et s¿y établirent ; de ce nombre aurait été Hugues Barton, des comtes souverains de Dumbarton en Écosse, surnommé pour sa bravoure l¿impitoyable dans les combats, et qui, ayant épousé une Française, Marie d¿Auzelay, se serait définitivement fixé en Poitou et y aurait acquis la vicomté de Montbas."
" Traité de la Confiance en la Miséricorde de Dieu est une oeuvre écrite par Jean Joseph Languet de Cergy en 1718. La miséricorde est une forme de compassion pour le malheur d'autrui à laquelle s'ajoute la notion de générosité, de bonté gratuite. Elle fait partie des principaux devoirs du croyant, pour le judaïsme comme pour les autres religions monothéistes. Dans les religions abrahamiques, la miséricorde est une caractéristique de Dieu dont les hommes doivent s'inspirer. Ce livre a successivement appartenu au Révérend Père Rock-Marie Boussinet Ministre Général des Chartreux comme l'indique la dédicace écrite de sa main en tête du livre, puis au Révérend père Soulliard du couvent des Dominicains de Nancy comme l'indique son cachet porté sur la première page. Il date de 1825, le texte à été écrit en 1718 par l'archevêque de Sens, Monseigneur LANGUET, membre de l'académie française, comme il l'est dit plus loin dans la notice. Certains passages sont d'une beauté et d'une profondeur qui auraient fait l'enchantement de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus."
" Rarahu (idylle polynésienne) est une oeuvre écrite par Pierre Loti.Note : Pierre Loti, dont une grande partie de l'oeuvre est d'inspiration autobiographique, s'est nourri de ses voyages pour écrire ses romans, par exemple à Tahiti pour Le Mariage de Loti (Rarahu) (1882). La reine Pomare lui donne le surnom de Loti, du nom d'une fleur tropicale. Tenu à une obligation de réserve du fait de sa qualité d'officier de marine, il n'en fait son nom de plume qu'à partir de 1876." Rarahu était une petite créature qui ne ressemblait à aucune autre, bien qu'elle fût un type accompli de cette race maorie qui peuple les archipels polynésiens et passe pour une des plus belles du monde ; race distincte et mystérieuse, dont la provenance est inconnue.""
" La douloureuse passion de notre Seigneur Jésus-Christ est une retranscription des visions de la religieuse Anne-Catherine Emmerich sur la passion du Christ. Clemens Brentano recueille ce que la religieuse lui raconte au sortir de ses visions, et il en rapporte le récit. L¿ensemble des visions représente plusieurs volumes ; nous proposons ici les visions de la dernière Cène du Christ, de sa passion et sa résurrection. Le traducteur en est l¿abbé de Cazalès.Anne-Catherine Emmerich a été béatifiée par l¿Église catholique et par Jean-Paul II, ce qui tente à donner une certaine confirmation aux visions. Certes, Brentano précise bien au début de l¿ouvrage qüelle n¿a en aucun cas la volonté d¿apporter des éléments qui seraient plus véridiques que les évangiles : les livres saints restent la seule source reconnue d¿inspiration pour la vie du Christ.Il n¿empêche que les visions sont d¿une précision terrible, et complètent avantageusement les Évangiles. Nous voyons tout : l¿institution de l¿Eucharistie, l¿affection du Christ à l¿égard de Judas, la présence de la Vierge Marie, la terrible agonie de Jésus au Jardin des Oliviers, les multiples mauvais traitements ignobles des ennemis du Christ, l¿attitude de Pilate, la crucifixion¿ et la Résurrection.Ce texte permet de comprendre beaucoup de choses, et de vivre la passion avec toutes ses conséquences."
" Bernard, supérieur de l'abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l'ordre cistercien, il recherche l'amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d'une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l'Église catholique mettront en ¿uvre.C'est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l'économie, de la société et du pouvoir politique.Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l'Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice."
Attention texte d'introduction du maître-ouvrage de Romain Rolland et non version intégrale. " Mon premier devoir serait de faire connaître les sources de cette histoire ; mais L¿Averdy, Buchon, J. Quicherat, Vallet de Viriville, Siméon Luce, Boucher de Molandon, MM. Robillard de Beaurepaire, Lanéry d¿Arc, Henri Jadart, Alexandre Sorel, Germain Lefèvre-Pontalis, L. Jarry et plusieurs autres savants, ont publié et illustré les documents de toute sorte d¿après lesquels on peut écrire la vie de Jeanne d¿Arc. Je m¿en réfère à leurs travaux qui forment une opulente bibliothèque[1] et, sans entreprendre une nouvelle étude littéraire de ces documents, j¿indiquerai seulement, d¿une façon rapide et générale, les raisons qui m¿ont dirigé dans l¿usage que j¿ai cru devoir en faire. Ces documents sont : 1o le procès de condamnation ; 2o les chroniques ; 3o le procès de réhabilitation ; 4o les lettres, actes et autres pièces détachées."
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