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Bøger om The age of Imperialism

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  • af Lydia D. Thomson-Smith
    526,95 kr.

  • af Roshan Adhikari
    286,95 kr.

  • af Victor Hugo
    232,95 kr.

    " Le jeudi 20 décembre 1848, l'assemblée constituante, entourée en ce moment-là d'un imposant déploiement de troupes, étant en séance, à la suite d'un rapport du représentant Waldeck-Rousseau, fait au nom de la commission chargée de dépouiller le scrutin pour l'élection à la présidence de la république, rapport où l'on avait remarqué cette phrase qui en résumait toute la pensée: «C'est le sceau de son inviolable puissance que la nation, par cette admirable exécution donnée à la loi fondamentale, pose elle-même sur la constitution pour la rendre sainte et inviolable»; au milieu du profond silence des neuf cents constituants réunis en foule et presque au complet, le président de l'assemblée nationale constituante, Armand Marrast, se leva et dit:«Au nom du peuple français, «Attendu que le citoyen Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, né à Paris, remplit les conditions d'éligibilité prescrites par l'article 44 de la constitution; «Attendu que, dans le scrutin ouvert sur toute l'étendue du territoire de la république pour l'élection du président, il a réuni la majorité absolue des suffrages; «En vertu des articles 47 et 48 de la constitution, l'assemblée nationale le proclame président de la république depuis le présent jour jusqu'au deuxième dimanche de mai 1852.» Un mouvement se fit sur les bancs et dans les tribunes pleines de peuple; le président de l'assemblée constituante ajouta: «Aux termes du décret, j'invite le citoyen président de la république à vouloir bien se transporter à la tribune pour y prêter serment.» Les représentants qui encombraient le couloir de droite remontèrent à leurs places et laissèrent le passage libre. Il était environ quatre heures du soir, la nuit tombait, l'immense salle de l'assemblée était plongée à demi dans l'ombre, les lustres descendaient des plafonds, et les huissiers venaient d'apporter les lampes sur la tribune. Le président fit un signe et la porte de droite s'ouvrit."

  • af Charles Duclos
    232,95 kr.

    Les Confessions du comte de *** sont un roman-mémoires publié en 1741 par Charles Pinot Duclos à Amsterdam.GenèseLes contemporains de Duclos ont rapporté que l¿origine de la rédaction des Confessions du comte de *** remonterait à une conversation avec Fontenelle. Ce dernier, que Duclos rencontrait, bien avant cette époque, chez Claudine de Tencin, et qui avait été frappé de sa conversation, de ses réflexions sur la société et de ses portraits, l¿avait engagé à écrire, à composer quelque ouvrage. « Sur quoi ? demanda Duclos. ¿ Sur ce que vous venez de dire », reprit Fontenelle. Duclos se souvint sans doute de ce conseil, lorsqüil écrivit les Confessions du comte de ***. Très bien reçu du public, ce roman fit partie jusqüen 1760, avec les Lettres d'une Péruvienne ou les Malheurs de l'amour, des neuf romans les plus lus en France1.AnalyseCette ¿uvre eut d¿autant plus de succès qüon y reconnut bien des figures, quoique Duclos se soit défendu, dans l¿avertissement, d¿avoir voulu peindre qui que ce fût. Le public ne crut guère à ces déclarations qui ne tirent pas à conséquence et, après la mort de leur auteur, le critique d¿origine suisse La Harpe, qui avait vécu au milieu des modèles, écrivait : « Porté de bonne heure dans la meilleure compagnie, en même temps qüil en goûtait les agréments en homme d¿esprit, il l¿observait en homme de talent. Celui de dessiner des caractères était alors fort à la mode, surtout dans la société de Mme de T***, et de M. le comte de F***. La manière d¿écrire de M. Duclos se prêtait merveilleusement à ce genre : aussi les Confessions du comte de *** ne sont-elles qüune galerie de portraits tous supérieurement tracés. »Dans ce que certains ont appelé un « roman à portraits », le lecteur trouve les portraits successifs de la dévote Mme de Gremonville, la précieuse Mme de Tonins, Mme de Persigny la dissipée, la capricieuse Mme d¿Albi, la coquette Mme de Lery, puis la facile, la libertine, la scélérate, la conseillère, la financière, la bourgeoise, et par-dessus tout la charmante Mme de Selve, qui représente le sentiment, l¿amour vrai, et dont l¿histoire clôt de façon vertueuse un roman qui n¿avait pas commencé ainsi.RéactionsCe roman connut un vif succès, attesté par les quatre éditions qui se succédèrent avant la fin de 17422. Cet ouvrage, qui, après sa publication établit vraiment la réputation de son auteur, fut également l¿objet d¿attaques, la même année : un avocat de Toulouse, du nom de Soubeyran de Scopon, qui lui reprochait d¿être trop léger, le critiqua dans un opuscule intitulé Examen des Confessions du comte de ***, Amsterdam, 1742 ; presque en même temps, paraissait l¿Examen des Confessions du comte de ***, avec une absolution générale des fautes qu'il a faites pendant sa vie et celles qui se trouvent dans son livre, par le R. P. P***, cordelier du grand couvent, 1742.

  • af Emile Durkheim
    175,95 kr.

    " Chargé d'enseigner une science née d'hier et qui ne compte encore qu'un petit nombre de principes définitivement établis, il y aurait de la témérité de ma part à n'être pas effrayé par les difficultés de ma tâche. Je fais d'ailleurs cet aveu sans peine et sans timidité. Je crois en effet que, dans nos Universités, à côté de ces chaires du haut desquelles on enseigne la science faite et les vérités acquises, il y a place pour d'autres cours, où le professeur fait en partie la science au fur et à mesure qu'il l'enseigne ; où il trouve dans ses auditeurs des collaborateurs presque autant que des élèves ; où il cherche avec eux, tâtonne avec eux, parfois aussi s'égare avec eux. Je ne viens donc pas vous révéler une doctrine dont une petite école de sociologistes aurait le secret et le privilège, ni surtout vous proposer des remèdes tout faits pour guérir nos sociétés modernes des maux dont elles peuvent souffrir."

  • af Charles Dupont-White
    327,95 kr.

    " Il s'est fait de nos jours une insigne découverte, celle du peu que vaut la Liberté. Paradoxe et blasphème, allez-vous dire.... Nous en appelons de cet arrêt à une simple distinction qui sera toute notre apologie.Certaine liberté est excellente sans doute, mais seulement celle qui signifie gouvernement d'une nation par elle-même. Que si l'on entend par ce grand mot le moins de gouvernement possible, il n'y a là qu'une chose médiocre et trompeuse. La liberté, pour quelques esprits, c'est la faiblesse du gouvernement, l'humilité de son rôle, la pauvreté de ses attributions. Peu leur importe que le pouvoir soit l'élu et le surveillé de la nation, leur maxime n'en est pas moins celle-ci : le tenir constamment en échec et en défiance ; substituer en toute matière l'action des individus à celle de la société ; exclure l'État de tout ce qui concerne le culte, l'enseignement, les travaux publics, et lui interdire notamment toute intervention dans les choses d'industrie.C'est ce genre de liberté qui semble désormais frappé de défaveur, et dont l'expérience nous signale chaque jour les lacunes, les imperfections, les impuissances."

  • af Gaston Courtillier
    221,95 kr.

    " C¿est une entreprise presque désespérée que de tracer une esquisse de l¿histoire de la civilisation de l¿Inde ancienne. Tant de travaux depuis plus d¿un siècle ont embrassé les ensembles les plus vastes ou épuisé à la loupe les problèmes les plus menus, tant de probabilités, d¿approximations, d¿hypothèses aussi ont été émises, que l¿on risque à tous coups de mettre à côté du vrai et de donner une image fausse, incomplète, injurieuse de son sujet. Il est particulièrement téméraire de placer sur le plan historique, cher et indispensable à notre logique, les mouvements variés d¿une culture que nous ne connaissons souvent qüà l¿état fragmentaire et qui est en proie à des réactions continuelles. Mais il est peu de sujets plus passionnants, car l¿Inde de nos jours, entraînée malgré elle dans la civilisation occidentale et tourmentée par l¿obscur de son destin, reste encore attachée par mille fibres à son lointain passé et, en outre, il en est peu, si l¿on ose dire, de plus mal connus du grand public en France. Limité par une longue tradition à l¿Orient biblique, le lecteur français, si familier avec les civilisations de l¿Égypte et de la Mésopotamie, se sent étrangement dépaysé quand il foule le domaine de l¿Inde ancienne ; état social, religion, philosophie, littérature, arts ne lui offrent que des aspects choquants et il est assez fréquent qüun visiteur mal préparé de l¿Inde contemporaine n¿en revienne ravi que de la haute admiration qüil y a conçue de l¿Occident surtout."

  • af Célestin Bouglé
    182,95 kr.

    " On réunit dans ce petit livre les résumés de quelques- unes des conférences qui m'ont été demandées depuis la guerre, par divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs.Le lecteur remarquera que, dans ces conférences elles- mêmes, je me suis efforcé d'incorporer et d'utiliser les résultats des recherches de sociologie proprement diteauxquelles j'ai pu d'autre part me livrer, par exemple en étudiant les idées égalitaires, la démocratie ou les castes."

  • af Alexis De Tocqueville
    327,95 kr.

    " Cet ouvrage est une étude de sociologie politique comparée, comme l'Esprit des Lois de Montesquieu. Tocqueville voulait démontrer par l'exemple de l'histoire française que l'Etat moderne crée la centralisation et que celle-ci va de pair avec la démocratisation de la société. Cependant, il y a deux démocraties : la démocratie libre et celle qui ne l'est pas. Il fallait définir les méthodes poli-tiques qui seules peuvent garantir la première."

  • af Georges Clemenceau
    231,95 kr.

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