Bøger af Innocent Ezin Alofan

La pièce de théâtre intitulée Comment Dieu, Devient Diable ?, est une parfaite illustration des comportements déviants de notre société et surtout de certains hommes, dits Hommes de Dieu, qui, au nom de l'Eternel, ne cessent de "re-crucifier" Jésus-Christ dont ils prétendent pourtant prêcher la Bonne Nouvelle. Ainsi, il n'est pas rare de révéler parmi ceux-ci, la cupidité, la corruption et d'autres maux, aussi pervers qu'abominables, faisant sur leur parcours sacerdotal de nombreuses victimes au sein des populations et même, à l'intérieur de leurs fidèles. En effet, il s'agit dans cette oeuvre dramatique, de l'histoire d'un vieil artisan très riche et l'un des fidèles croyants d'une église de la ville de Simawou. Il s'appelait Daniel Kanhoho. Ladite église était officiée par le Prédicateur de Dieu Akouê (argent). Le vieux Daniel était un richissime homme, très connu dans la localité et dans toute la région. Il possédait plusieurs lingots d'or, des boeufs, des plantations et beaucoup d'argent liquide.Il avait une confiance divine en ce dernier, au point de lui confier une grosse partie de sa fortune: Des lingots d'or et une substantielle somme de plusieurs millions de francs. Sur conseils du Prédicateur de Dieu, le fils unique de Daniel nommé David, fût admis au Centre Missionnaire de Prédication (CMP) de la capitale pour y poursuivre ses études, après la mort subite de sa mère, l'unique épouse de Daniel Kanhoho.Le vieux Daniel mourut quelques jours après. Quelle sera l'attitude de l'homme de Dieu qui détenait les fortunes du défunt Daniel, vis-à-vis de l'orphelin de mère et de père, David ?... C'est là, tout l'intérêt de la tragédie.

PATIENCE, LA VIE EST UN OEUF !... Dans ce recueil de nouvelles, l'auteur dénonce certaines réalités brûlantes de l'existence humaine tant sur le plan socio-éducatif, sur le plan socioculturel que sur le plan socio-économique. Mais fort heureusement, dans ce chapelet d'événements dramatiques et quotidiens, l'auteur y découvre et met en exergue, l'amour, la fidélité conjugale, la solidarité humaine et le patriotisme. Il y voit ainsi, des germes de changement de comportement. La jeunesse pourrait bien voir enfin, le chemin de la destinée s'adoucir sous ses pas. On retrouve dans le style naturel, percutant et personnel de l'auteur, ses qualités de romancier, de dramaturge, de poète et de nouvelliste.

AGOOVIÉ, DIEU NE DORT JAMAIS !... Il s'agit dans cette oeuvre dramatique, de l'histoire d'un vieil artisan très riche et l'un des fidèles croyants, d'une église de la Commune de Simawou. Il s'appelle Daniel KANHOHO. Ladite église est gouvernée par le Prédicateur de Dieu, appelé Akouê. Il a une confiance divine en cet homme de Dieu, au point de lui confier une grosse partie de sa fortune. Et un jour, le vieux Daniel est décédé. Quelle sera alors l'attitude du Prédicateur qui détenait toute l'épargne du défunt, vis-à-vis de son fils-unique David, orphelin de mère et de père ? C'est là, tout l'intérêt de la tragédie.

Par le biais de son recueil de nouvelles "La déesse de la Mer" Tome 2, l'auteur exprime certaines réalités socioculturelles, tant historiques que contemporaines. Il y expose, Les conséquences néfastes de la Pauvreté sur les couches vulnérables; Les réalités culturelles et cultuelles africaines; La délinquance juvénile et ses conséquences sur les adolescents et Les déviances sexuelles de la jeunesse qui entraînent la prévalence de certaines maladies, comme le sida. Sans langue de bois, avec un style direct et percutant, dans ce Tome 2, il s'arme des intrigues d'émotion exaspérée, pour délivrer son message tant didactique que satirique.