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En 1825, Andre Maynotte vit a Caen avec sa femme et leur nourrisson. Ils sont simples, joyeux, honnetes, et le travail d'armurier d'Andre rapporte bien. Mais alors que tout allait pour le mieux, une sombre affaire vient briser le bonheur de la famille. M. Bancelle, un riche banquier, s'est fait voler les 400 000 francs qu'il conservait precieusement dans un coffre-fort. Tous les indices pointent vers Andre: il a travaille sur le coffre, et le voleur a perdu dans un piege un brassard de fer qui appartient a l'armurier...Paru en feuilleton en 1863, Les Habits Noirs est le premier volume d'un cycle litteraire du meme nom, et qui relate les histoires de bandits appartenant a l'organisation criminelle secrete qui defrayait la chronique sous la Restauration.-
1832. Dans les rues de Paris, tout le monde s'est déguisé pour Mardi Gras. Les Buridan, les Philippe de Launay, et les Marguerite de Bourgogne se pavanent, fiers de leur déguisement. Mais le plus beau des Buridan est sûrement Roland. Son costume n'est pas parfait, mais une flamme brille dans ses yeux. Il aime une des Marguerite, celle qui aurait pu charmer n'importe qui sans se déguiser. Parce qu'elle est belle, ambitieuse... et surtout seule, prête à protéger ses arrières et à piétiner les cœurs pour parvenir à ses fins. Tant pis pour Roland, l'héritier légitime de la famille Clare...«Cœur d'acier», second volume des «Habits Noirs», raconte l'ascension criminelle d'une femme au cœur de pierre, Marguerite Sadoulas.Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).
La redoutable bande criminelle des Habits Noirs sévit encore dans Paris. Cette fois, c'est on ne peut plus sérieux: Lecoq, chef de la Sûreté, couvre les malfrats bien décidés à voler la riche et avare Mathurine Goret, ainsi que la famille Champmas. Pour ce faire, l'appât, que l'on surnomme «le faux Louis XVII», doit séduire la fille bâtarde du général de Champmas pour se rapprocher de sa sœur légitime, Suavita, et récupérer son héritage...Troisième volet du feuilleton «Les Habits Noirs», narre la suite de cette organisation de criminels se livrant aux vols et au trafics frauduleux.Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).
En 1838, l'organisation criminelle des Habits Noirs court un grand danger. Un jeune procureur, Remy d'Arx, s'est mis en tête de démanteler la bande de malfrats qui répand la terreur sur Paris. Malgré les compétences et la ténacité du procureur, le colonel Bozzo-Corona, chef des Habits Noirs, a un plan pour se débarrasser de lui: utiliser une arme secrète et infaillible, capable de tuer sans laisser de trace...Le quatrième opus des «Habits Noirs» et sa suite, «Maman Leo», racontent cette lutte entre justice et crime, entre Remy d'Arx et Bozzo-Corona.Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).
C'etait un des premiers jours de novembre, en 1838, un mois apres la catastrophe qui termine notre recit, intitule L'Arme invisible. La mort etrange du juge d'instruction Remy d'Arx, avait jete un etonnement dans la ville, mais a Paris les etonnements durent peu, et la ville pensait deja a autre chose.On dit que le plan de l'arme invisible a quelque chose a voir avec Maman Leo, une dompteuse de fauves, connue sous le nom de Leocadie Samayoux. Ce plan, c'est un travail excellement ficele de la part du colonel Bozzo-Corona. Dorenavant, la justice ne sevira plus sur les Habits Noirs, le procureur est mort, et les amants sont condamnes. Mais le colonel a pris de l'age, et les ambitions des autres membres de l'organisation criminelle sont grandes...Maman Leo est la suite du Secret des Habits Noirs, et le cinquieme tome du cycle litteraire des Habits Noirs.-
Dix années se sont écoulées depuis la mort du Colonel Bozzo-Corona. L'organisation criminelle du Paris de 1852 a bien changé, en mal peut-être. Ce sont des malfrats vieillissants, peu originaux, qui sont à la tête de la bande des Habits Noirs. Le jeune Saladin, un avaleur de sabre qui a grandi au cirque, a pour objectif de redorer le blason de cette famille ancienne et redoutable. Sans pitié, il n'hésitera pas à commettre les crimes les plus sordides...«L'Avaleur de Sabres», sixième opus des «Habits Noirs», renouvelle le cycle littéraire avec un personnage des plus charismatiques.Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).
Vincent Carpentier, architecte et macon, avait construit pour le colonel Bozzo-Corona, ancien chef des Habits Noirs, une cache secrete. Ce qu'il y a a l'interieur est pour Vincent un mystere dont il ne s'est jamais soucie. Pres de six ans se sont ecoules depuis la construction. Nous sommes en 1841, et maintenant que le colonel a la barbe bien blanche, nait dans l'esprit de Vincent un nouvelle obsession. Et si la cache contenait un fabuleux tresor? Malheureusement pour lui, il n'est pas le seul a vouloir le recuperer... Le jeune peintre Reynier decouvre qu'il est l'heritier du colonel Bozzo, et il est pret a assassiner pour parvenir a ses fins...Paru en feuilleton en 1870, Les Compagnons du Tresor est le septieme tome des Habits Noirs.-
En 1853, malgré la chute de l'organisation criminelle des Habits Noirs, l'influence du défunt colonel Bozzo-Corona ne tarit pas: la bande cadet compte reprendre le flambeau. Il reste encore beaucoup de travail à faire... Le trésor de Bozzo-Corona est toujours caché, et l'héritage des Fitz-Roy est alléchant...Huitième opus des «Habits Noirs», «La Bande Cadet» clôture le cycle littéraire, insensible au passage du temps, et à jamais un chef d'œuvre du roman policier.«Figure-toi que j'ai eu un drôle de rêve hier. Je me voyais dans cent ans d'ici et je disais à quelqu'un dont le père n'est pas encore né, mais qui avait déjà la barbe grise : il y a deux choses immortelles, le bien qui est Dieu, et moi qui suis le Mal.»Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire», 1865).
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