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" Ce fut une révélation, et je ne ferai pas pour cette fois le cahier que je me réservais, que je m'étais promis d'écrire des quatre années de cette législature ; ce sera pour une autre fois, et, comme d'habitude, cette autre fois ne viendra jamais sans doute; cahier d'ensemble et de retour, un cahier de résumé, un petit résumé d'histoire contemporaine à l'usage des dauphins patients, où je me proposais d'assembler, d'organiser, de me remémorer, dans un certain ordre, plusieurs études qu'il me semblait indispensable de poursuivre, ou de commencer, pour le commencement de cette septième série, études portant elles-mêmes, comme il faut, sur le mouvement politique et social depuis le commencement de cette Chambre, et particulièrement, comme on s'y attendait, depuis le commencement du combisme."
La Social-Démocratie Allemande" est un texte de Karl Marx et Friedrich Engels qui examine le mouvement ouvrier et socialiste en Allemagne au XIXe siècle. Il a été écrit dans le contexte du débat sur le programme du Parti social-démocrate allemand (SPD) à l'époque.Dans ce texte, Marx et Engels évaluent le développement de la social-démocratie allemande et critiquent certaines positions et tactiques du parti. Ils expriment leurs opinions sur la nécessité pour le mouvement ouvrier de poursuivre des objectifs révolutionnaires et de s'opposer aux réformes qui ne remettent pas fondamentalement en question le système capitaliste.L'¿uvre reflète les préoccupations politiques et stratégiques des auteurs vis-à-vis du mouvement ouvrier allemand de l'époque, tout en mettant en lumière certaines des tensions et des débats au sein du mouvement socialiste européen du XIXe siècle.La Social-Démocratie Allemande est un texte dans lequel Marx et Engels abordent des questions importantes liées à la politique et à la stratégie du mouvement ouvrier en Allemagne à l'époque, offrant ainsi une contribution significative à la théorie politique et sociale.
Sire, S'io vi credessi re volgare, d'anima inetta o tirannica, non v'indirizzerei la parola dell'uomo libero. I re di tal tempra non lasciano al cittadino che la scelta fra l'armi e il silenzio. Ma voi, Sire, non siete tale. La natura, creandovi al trono, v'ha creato anche ad alti concetti ed a forti pensieri; e l'Italia sa che voi avete di regio più che la porpora. I re volgari infamano il trono su cui si assidono, e voi, Sire, per rapirlo all'infamia, per distruggere la nube di maledizioni di che lo aggravano i secoli, per circondarlo d'amore, non avete forse bisogno che d'udire la verità; però, io ardisco dirvela, perchè voi solo degno estimo di udirla, e perchè nessuno tra quanti vi ...
Sui bilanci dello Stato. Vedere i discorsi in Senato dell'on. Federico Ricci, ex Sindaco di Genova. Questi discorsi sono da leggere prima di ogni lavoro sulla storia di questi anni. Nel discorso del 16 dicembre 1929 sul rendiconto dell'esercizio finanziario 1927-28 il Ricci osservò: 1) A proposito della Cassa d'ammortamento del debito estero istituito con decreto-legge 3 marzo 1926 dopo gli accordi di Washington (14 novembre 1925) e di Londra (27 gennaio 1926): che gli avanzi realizzati sulla differenza fra quota pagata dalla Germania e quota pagata dall'Italia all'America...
È davvero meravigliosa la lotta che l'umanità combatte da tempo immemorabile; lotta incessante, con cui essa tenta di strappare e lacerare tutti i vincoli che la libidine di dominio di un solo, di una classe, o anche di un intero popolo, tentano di imporle. È questa una epopea che ha avuto innumerevoli eroi ed è stata scritta dagli storici di tutto il mondo. L'uomo, che ad un certo tempo si sente forte, con la coscienza della propria responsabilità e del proprio valore, non vuole che alcun altro gli imponga la sua volontà e pretenda di controllare le sue azioni e il suo pensiero.
[Noterelle sulla politica del Machiavelli.] Il carattere fondamentale del Principe è quello di non essere una trattazione sistematica ma un libro «vivente», in cui l'ideologia politica e la scienza politica si fondono nella forma drammatica del «mito». Tra l'utopia e il trattato scolastico, le forme in cui la scienza politica si configurava fino al Machiavelli, questi dette alla sua concezione la forma fantastica e artistica, per cui l'elemento dottrinale e razionale si impersona in un condottiero, che rappresenta plasticamente e «antropomorficamente» il simbolo della «volontà collettiva». Il processo di formazione di una determinata volontà collettiva, per un determinato fine pol...
Il moto italiano assumeva più sempre di giorno in giorno il carattere nazionale che ne costituisce l'intima vita. Il grido Viva l'Italia suonava nell'estrema Sicilia; fremeva in ogni manifestazione di scontento locale: conchiudeva, come il delenda Carthago di Catone, ogni discorso politico. Altrove, le moltitudini s'agitavano, insofferenti di miseria o d'ineguaglianza, in cerca d'un nuovo assetto di cose, sociale o politico: in Italia, vanto unico e speranza potente di grandi cose future, sorgevano o anelavano sorgere per una idea: cercavan la patria, guardavano all'Alpi.
Lo sciopero generale del 2021 sarà eminentemente rivoluzionario. Non perché esso riuscirà a rovesciare lo Stato capitalistico (abbiamo dimostrato che la conquista dello Stato da parte dei proletari avverrà solo quando gli operai e i contadini avranno creato un sistema di istituzioni statali capaci di sostituire le istituzioni dello Stato democraticoparlamentare), ma perché inizierà un periodo di profondi rivolgimenti nella struttura economica attuale. La crisi del dopoguerra si inizierà il 2021. Finora i capitalisti, premuti dal governo, hanno concesso facilmente: hanno acconsentito a mantenere la produzione su un piano antieconomico per evitare la disoccupazione e la rivolta dei ...
" Ce livre était principalement destiné à des lecteurs anglais et améri- cains. L'auteur a insisté sur les points qui, à son avis, intéressent un tel public. Il peut donc être utile, au début d'une traduction française, d'indi- quer nettement et brièvement quelques aspects de la situation, qui touchent particulièrement la France.Les chapitres qui suivent tendent à montrer entre autres choses que les délégués à la Conférence de Paris commirent deux graves erreurs à l'encontre de l'intérêt des alliés. En demandant l'impossible, ils abandonnèrent la proie pour l'ombre et perdront par la suite tout ce qu'ils croiront avoir obtenu. En concentrant leur attention sur des sujets poli- tiques, ils négligèrent l'unité économique de l'Europe, et la sécurité qu'ils crurent obtenir n'est qu'illusoire, - illusoire, parce qu'elle ne peut pas résulter de l'occupation de plus vastes frontières et parce que les artifices politiques actuels ne conviendront plus aux problèmes des années prochaines."
" Ce n¿est pas parce que les hommes ont édicté des Lois que la Personnalité, la Liberté et la Propriété existent. Au contraire, c¿est parce que la Personnalité, la Liberté et la Propriété préexistent que les hommes font des Lois. Qüest-ce donc que la Loi ? Ainsi que je l¿ai dit ailleurs, c¿est l¿organisation collective du Droit individuel de légitime défense . Chacun de nous tient certainement de la nature, de Dieu, le droit de dé- fendre sa Personne, sa Liberté, sa Propriété, puisque ce sont les trois éléments constitutifs ou conservateurs de la Vie, éléments qui se complètent l¿un par l¿autre et ne se peuvent comprendre l¿un sans l¿autre. Car que sont nos Facultés, sinon un prolongement de notre Personnalité, et qüest-ce que la Propriété si ce n¿est un prolongement de nos Facultés ? Si chaque homme a le droit de défendre, même par la force, sa Per- sonne, sa Liberté, sa Propriété, plusieurs hommes ont le Droit de se concerter, de s¿entendre, d¿organiser une Force commune pour pourvoir régulièrement à cette défense."
" Le principal avantage qui résulterait de l¿établissement du socialisme, serait, à n¿en pas douter, que nous serions délivrés par lui de cette sordide nécessité de vivre pour d¿autres, qui dans l¿état actuel des choses, pèse d¿un poids si lourd sur tous presque sans exception. En fait, on ne voit pas qui peut s¿y soustraire. Çà et là, dans le cours du siècle, un grand homme de science, tel que Darwin ; un grand poète, comme Keats ; un subtil critique comme Re- nan ; un artiste accompli, comme Flaubert, ont su s¿isoler, se placer en dehors de la zone où le reste des hommes fait entendre ses clameurs, se tenir à l¿abri du mur, que décrit Platon , réaliser ainsi la perfection de ce qui était en chacun, avec un avantage incalculable pour eux, à l¿avantage infini et éternel du monde entier."
" La nationalité de Nice a bien des fois été mise en question ; trop souvent nous viennent d¿outre-monts je ne sais quelles rumeurs « irrédentistes », visant des parcelles de notre héritage, entre autres une terre authentiquement provençale, c¿est-à-dire française, le Comté de Nice.Ces rumeurs ont toujours profondément ému ceux qui, comme nous, voient dans les Italiens des frères ; aussi, en tout esprit de concorde la- tine, nous interrogerons le dossier de Nice, et demanderons franche- ment aux Italiens de bonne foi sur quoi ils pourraient se fonder pour revendiquer les pays niçards."
" Avant de commençer notre étude, nous répondons à l¿avance aux cri- tiques et nous indiquons au lecteur notre méthode, qui diffère de l¿usage. Nous croyons qüun historien devrait joindre le plus souvent possible des documents comme preuves de ses assertions. Il est donc difficile de marquer les citations comme à l¿habitude au bas de la page. D¿autant plus qüil faut compter avec la lassitude du lecteur étant donné qüil est obligé de quitter la ligne et reprendre le fil du récit. D¿autre part, après chaque citation nous employons la critique. Cette cri- tique que nous trouvons nécesssaire, car nous ne pouvons pas exiger du lecteur une attention outre mesure et une connaissance absolue de la matière traitée."
" LES progrès de l¿esprit humain, les révolutions qui s¿opèrent dans la marche de nos connaissances,impriment à chaque siècle son caractère.Le seizième siècle fut fécond en théologiens, ou plutôt tel a été le train des esprits dans ce siècle, que presque tout ce qüil y eut d¿écrivains s¿occupa de questions théologiques.Au dix-septième, les beaux-arts fleurirent, et l¿on vit naître les chefs- d¿¿uvres de la littérature moderne.Les écrivains du siècle dernier furent philosophes. Ils firent voir que les grandes institutions sociales étaient fondées sur des préjugés et des superstitions, et ils firent tomber les superstitions et les pouvoirs qui émanaient d¿elles .Ce fut le siècle des révolutions et de la critique.Quel sera le caractère du nôtre? Jusqüici il n¿en a eu aucun. Se traînera-t-il toujours sur les traces du siècle précédent? et nos écrivains ne seront-ils rien autre chose que les échos des derniers philosophes?Je ne le pense pas: la marche de l¿esprit humain, ce besoin d¿institutions générales qui se fait sentir si impérieusement par les convulsions de l¿Europe, tout me dit que l¿examen des grandes questions politiques sera le but des travaux de notre temps"
" M. Nicolas Iorga ou Jorga est un Moldave. Il est né à Botuschani le 5 juin 1871. Docteur de l¿Université de Jassy, il est professeur d¿histoire à l¿Université de Bucarest, membre de l¿Académie roumaine, député au Parlement du royaume. Il est arrivé jeune à de hautes situations par son travail, sa science et son talent. Pour nous autres Français, il est intéressant de savoir en outre qüil est venu terminer en France ses années d¿apprentissage scientifique et qüil est élève diplômé de notre École pratique des Hautes-Études (Sorbonne). Chargé de missions à l¿étranger pour recueillir les documents relatifs à l¿histoire de son pays, il entreprit de longues et fructueuses explorations dans les archives et les bibliothèques européennes, en particulier dans celles de France, d¿Italie, d¿Autriche et d¿Allemagne."
" Il est impossible de réfléchir sur la Constitution, sur la Législation, sur l¿Administration des États, sans voir bientôt, que la plupart des difficultés, qui s¿opposent à l¿établissement d¿un ordre simple, constant & paisible, ou feroient anéanties, on du moins cesseroient de mettre au bonheur public des obstacles effrayans ; si une bonne méthode d¿élire garantissoit que les places feroient données en général à des hommes dignes de les remplir. Si les choix font faits au hasard, une Nation qui n¿obéit qüà des Loix formées par des Représentans élus par elle, jouit sans doute d¿une Constitution libre. On a beaucoup fait pour ses droits & très-peu pour son bonheur."
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