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"Un Philosophe sous les Toits" est un roman écrit par Ãmile Souvestre, un écrivain français du XIXe siècle. Ce livre a été publié pour la première fois en 1850. L'histoire est une sorte de chronique de la vie quotidienne d'un homme, l'auteur lui-même, qui choisit de vivre en marge de la société et de se retirer dans une mansarde parisienne. Le protagoniste, surnommé "Le Philosophe," observe la vie urbaine depuis son perchoir, partageant ses pensées sur la société, la nature humaine et les petites joies de la vie quotidienne. Le roman a une tonalité légère et humoristique, mais il aborde également des thèmes plus sérieux liés à la condition humaine. "Un Philosophe sous les Toits" est considéré comme l'une des oeuvres les plus réussies d'Ãmile Souvestre et a été apprécié pour sa simplicité, son humour et sa perspicacité dans l'observation de la vie urbaine.
"Un jardin sur l'Oronte" est un roman de Maurice Barrès, publié en 1922. Ce texte raconte l'histoire d'amour entre un croisé du XIIIe siècle, Guillaume, et une belle orientale, Oriante. Le roman se déroule sur les chemins de l'Orient et de la vie, et il s'agit du dernier roman écrit par Maurice Barrès. Il mêle des éléments historiques et romantiques, offrant une vision poétique de cette histoire d'amour.
"Un quart d'heure avant sa mort..." est une pièce de théâtre écrite par Paul Ferrier, un écrivain et dramaturge français du XIXe siècle. La pièce a été publiée en 1886. Elle raconte l'histoire d'un homme condamné à mort qui reçoit la visite d'un inconnu un quart d'heure avant son exécution. L'inconnu lui propose un marché qui va bouleverser ses derniers instants. La pièce explore des thèmes tels que la moralité, la destinée et le libre arbitre. Elle a été jouée à plusieurs reprises et continue d'être étudiée et appréciée pour sa profondeur et sa tension dramatique.
L'histoire de la chute de Nicolas Foucquet n'est plus à faire, après le travail impartial et complet de M. Jules Lair. Mais le surintendant, coupable ou non, ne fut pas seul atteint, et la colère du roi n'épargna aucun des membres de sa famille, pas même sa mère, femme d'une foi antique, qui, apprenant son arrestation, ne laissa échapper que ces paroles: «C'est maintenant, ô mon Dieu, que j'espère du salut de mon fils!» Madame Foucquet la mère fut, comme sa bru, comme tous ses fils, soumise au bannissement. Toute la famille fut dispersée. Le frère aîné du surintendant, l'archevêque de Narbonne, fut exilé à Alençon. Son séjour y fut marqué par des bienfaits; il y a laissé des souvenirs que le temps n'a pas complètement effacés, et il s'y est acquis, en quelque sorte, des droits de cité.
Au reste, l¿idiotisme a un grand avantage sur la friponnerie : on voit toujours assez tôt que l¿on a un domestique idiot ; on s¿aperçoit toujours trop tard que l¿on a un domestique fripon.Théodore avait ses protégés ; ma table est toujours d¿une assez large circonférence pour que deux ou trois amis viennent s¿y asseoir sans y être attendus. Ils ne trouvent pas toujours bon dîner, mais ils trouvent toujours bon visage. Eh bien, les jours où le dîner était bon selon le goût de M. Théodore, M. Théodore prévenait ceux de mes amis ou de mes connaissances qüil préférait aux autres.
De toutes les impressions que je vais chercher, tous les ans, dans ma terre natale de Normandie, je n¿en ai trouvé qüune seule, cette année, qui, par sa profondeur, pût s¿ajouter à des souvenirs personnels dont j¿aurai dit la force ¿ peut-être insensée ¿quand j¿aurai écrit qüils ont réellement force de spectres. La ville que j¿habite en ces contrées de l¿Ouest, ¿ veuve de tout ce qui la fit si brillante dans ma prime jeunesse, mais vide et triste maintenant comme un sarcophage abandonné, ¿ je l¿ai, depuis bien longtemps, appelée : « la ville de mes spectres », pour justifier un amour incompréhensible au regard de mes amis qui me reprochent de l¿habiter et qui s¿en étonnent. C¿est, en effet, les spectres de mon passé évanoui qui m¿attachent si étrangement à elle. Sans ses revenants, je n¿y reviendrais pas !
Nous sommes à la fin d'août 1690. C'est le matin. Une brise légère caresse le feuillage où la rosée brille encore sous les rayons du soleil. Toutes les voix de la nature semblent s'unir pour célébrer à l'unisson la puissance et la bonté du Créateur. Le Château Saint-Louis, posté comme une sentinelle sur le rocher de Québec, offre au regard de ceux qui l'habitent le plus gracieux panorama que l'on puisse voir. Debout, près d'une fenêtre ouverte de son palais, le gouverneur Frontenac, le front soucieux, voit à cette heure d'un oeil indifférent le spectacle grandiose que chaque matin il se plaît à contempler. Puis, comme attiré par une force occulte, il s'approche d'une nouvelle et magnifique gerbe de roses qu'une main inconnue place sur son pupitre, depuis quelques jours.
"Une Passion dans le Désert" d'Honoré de Balzac transporte les lecteurs dans un univers sauvage et envoûtant. L'histoire suit la rencontre improbable entre un soldat français égaré dans le désert et une panthère. Ce récit intense explore la solitude, la survie et l'éveil d'une passion étrange et captivante entre l'homme et l'animal. À travers cette aventure hors du commun, Balzac offre une méditation sur la nature humaine, la fascination pour l'inconnu et la puissance des émotions les plus primaires.
Dans une paroisse, voisine de Montréal, vivaient, il y a quelques années, deux hommes au caractère, aux m¿urs, aux habitudes diamétralement opposés ; et, providence ou hasard, leurs habitations étaient presque contiguës ; elles n¿étaient séparées l¿une de l¿autre que par une espèce de ruelle, ou cul-de-sac très étroit. L¿un, Paul B..., affectait, en matière de religion, un rigorisme qui eût paru ridicule aux yeux des personnes éclairées ; mais que l¿ignorance et le fanatisme de l¿endroit regardaient quasi comme un rayon de la sainteté du Christ ! En fait de pratique au moins, jamais homme n¿avait été plus assidu, plus régulier, plus irrépréhensible. Aussi, hâtons-nous de le dire, Paul B... tenait bien moins au dogme, dont il se souciait assez peu, qüau culte : tout son catéchisme à lui n¿était qüune affaire d¿apparence : sa religion était toute au dehors. ¿ Ainsi, par exemple, règle invariable, il passait chaque jour des heures entières à l¿Église, marmottant d¿interminables prières...
"Une Conscience Pure" de Paul Bourget plonge dans les méandres de la moralité et de la conscience humaine. L'histoire suit le parcours d'Henriette, une jeune femme à l'âme vertueuse, déchirée entre ses idéaux et les tentations du monde. Bourget explore avec finesse les dilemmes moraux et les conflits intérieurs de son personnage principal, confrontant la pureté idéale à la réalité complexe de la nature humaine. Ce récit captivant offre une réflexion profonde sur l'intégrité, la vertu et les choix qui définissent notre essence morale.
"Dans 'Trois Contes' de Gustave Flaubert, plongez dans un ensemble de récits éblouissants, explorant les profondeurs de l'âme humaine. Ce recueil emblématique comprend 'Un C¿ur Simple', 'La Légende de Saint Julien l'Hospitalier' et 'Hérodias'. Flaubert offre une exploration captivante de la foi, de la culpabilité, et de la destinée humaine à travers des personnages aux destins poignants. Ces contes intemporels transportent le lecteur à travers des univers riches en émotions, mêlant réalisme, symbolisme et poésie pour dévoiler la complexité de l'existence."
MM. Jacques Le Maître et Guillaume Vignal quittèrent la France le 2 juillet 1659, fête de la Visitation. Sur le vaisseau qui les emportait, se trouvaient Mlle Mance, revenant après sa guérison miraculeuse et amenant trois soeurs hospitalières; les soeurs de Brésoles, Macé, Maillet; la soeur Bourgeoys et les soeurs Aimée Chatel, Catherine Crolo et Marie Raisin qui avec la soeur Bourgeoys formèrent le noyau de cette congrégation de Notre-Dame qui a rendu à notre pays des services si inappréciables, et près de deux cents passagers.
Justement, les Boche, depuis le terme d'avril, avaient quitté la rue des Poissonniers et tenaient la loge de la grande maison, rue de la Goutted'Or. Comme ça se rencontrait, tout de même! Un des ennuis de Gervaise, qui avait vécu si tranquille sans concierge dans son trou de la rue Neuve, était de retomber sous la sujétion de quelque mauvaise bête, avec laquelle il faudrait se disputer pour un peu d'eau répandue, ou pour la porte refermée trop fort, le soir. Les concierges sont une si sale espèce! Mais, avec les Boche, ce serait un plaisir. On se connaissait, on s'entendrait toujours. Enfin, ça se passerait en famille.
"Dans 'Un C¿ur de Femme' de Paul Bourget, suivez l'histoire captivante de Jeanne, une jeune femme tourmentée entre ses aspirations profondes et les conventions sociales de son époque. Bourget explore avec finesse les dilemmes intérieurs de Jeanne, confrontée à l'amour, aux interdits et à la morale. Entre passion, sacrifices et désirs inassouvis, ce récit dévoile les tourments d'une âme féminine en quête de liberté et d'accomplissement, offrant une plongée saisissante dans les méandres de l'émotion humaine et des aspirations personnelles."
"Dans 'Un Aquafortiste' d'Edmond De Goncourt, plongez dans le Paris du XIXe siècle, où l'art et la passion se mêlent. L'histoire suit le destin de Lucien, un jeune artiste talentueux découvrant les mystères de la gravure. Entre ambition, rivalités et amours tourmentées, le récit dépeint avec finesse les coulisses artistiques et les tourments intimes. Une exploration captivante de la créativité artistique et des affres de la vie bohème, où chaque trait révèle les nuances de l'âme humaine."
Saint-Sébastien, 12 septembre 1894. M¿y voici, en terre d¿Espagne. Ne vous étonnez pas, mon ami, si je ne débute par aucune considération générale. Je ne connais rien du pays, ¿ si ce n¿est la petite Fontarabie, qui dort dans son armure ancienne, ¿ ni rien des gens. Je n¿ai, de plus, fait aucun plan, aucun projet, sauf de bien voir. Et je vous dirai, au jour le jour, ce que j¿aurai visité le matin, entendu l¿après-midi, rêvé le soir en prenant mes notes. S¿il s¿en dégage quelque jugement, ce sont les choses mêmes qui parleront ; car, parmi mes bagages, je n¿emporte aucun préjugé, aucun souvenir bon ou fâcheux, pas même une part d¿action de vingt pesetas, qui m¿engage, pour ou contre, dans les affaires d¿Espagne.
«La chaîne des événements ténébreux que je vais prendre sur moi de retracer (malgré mes cheveux blancs et mon dédain de la gloriole), me paraissant comporter une somme d'horreur capable de troubler de vieux hommes de loi, je dois confesser, in primis, que si je livre ces pages à l'impression, c'est pour céder à de longues prières d'amis dévoués et éprouvés. Je crains même d'être, plus d'une fois, dans la triste nécessité d'atténuer,(par les fleurs de mon style et les ressources d'une riche faconde),leur hideur insolite et suffocante. Je ne pense pas que l'Effroi soit une sensation universellement profitable: le trait d'un vieil insensé ne seraitil pas de la répandre, à la volée, à travers les cerveaux, mû par le vague espoir de bénéficier du scandale? Une découverte profonde n'est pas immédiatement bonne à lancer, au pied levé, parmi le train des pensées humaines. Elle demande à être mûrement digérée et sassée par des esprits préparateurs. Toute grandenouvelle, annoncée sans ménagements, peut alarmer, souvent même affoler bon nombre d'âmes dévotieuses, surexciter les facultés caustiques des vauriens, et réveiller les antiques névroses de la Possession, chez les timorés.
Je ne crois pas que la France puisse songer sérieusement à quitter l'Algérie. L'abandon qu'elle en ferait serait aux yeux du monde l'annonce certaine de sa décadence. Il y aurait beaucoup moins d'inconvénient à nous voir enlever de vive force notre conquête par une nation rivale. Un peuple dans toute sa vigueur et au milieu même de sa force d'expansion, peut être malheureux à la guerre et y perdre des provinces. Cela s'est vu pour les Anglais qui, après avoir été contraints de signer en 1783 un traité qui leur enlevait leurs plus belles colonies, étaient arrivés, moins de trente ans après, à dominer toutes les mers et à occuper les plus utiles positions commerciales sur tous les continents. Mais si la France reculait devant une entreprise où elle n'a devant elle que les difficultés naturelles du pays et l'opposition des petites tribus barbares qui l'habitent, elle paraîtrait aux yeux du monde plier sous sa propre impuissance et succomber par son défaut de c¿ur. Tout peuple qui lâche aisément ce qu'il a pris et se retire paisiblement de lui-même dans ses anciennes limites, proclame que les beaux temps de son histoire sont passés. Il entre visiblement dans la période de son déclin.
Ces pièces de théâtre sont en effet des ¿uvres de Jean-Jacques Rousseau, philosophe, écrivain et compositeur du XVIIIe siècle.- "Narcisse" est une pièce écrite par Rousseau vers 1752, mais elle n'a jamais été représentée de son vivant. Elle explore le thème de la vanité et de l'amour-propre à travers l'histoire mythologique de Narcisse.- "Les Prisonniers de guerre" est une pièce écrite par Rousseau en 1758. Elle aborde les thèmes de la liberté, de l'esclavage et des valeurs humanitaires.- "L'Engagement téméraire" est une pièce écrite par Rousseau en 1759. Elle traite des conflits moraux et de la lutte entre les devoirs et les passions.- "Pygmalion" est une pièce écrite par Rousseau en 1762. Elle s'inspire du mythe de Pygmalion et explore les thèmes de l'amour, de la création artistique et de la relation entre l'art et la réalité.- "Le Devin du village" est une pièce écrite par Rousseau en 1752. Elle est reconnue comme son seul opéra-comique. L'histoire met en lumière la vie simple des villageois et leur quête du bonheur.Ces ¿uvres théâtrales de Rousseau reflètent ses idées sur la nature humaine, la morale et la société, tout en abordant divers thèmes sociaux et philosophiques de son époque.
Une théorie de la connaissance intellectuelle par un antiintellectualiste convaincu ne saurait être qu'intéressante et instructive. Aussi allonsnous essayer d'en faire part au lecteur. Nous lui exposerons d'abord la critique, puis la théorie de l'intelligence, telles que M. Bergson les a comprises. I. La critique de l'intelligence ne ressemblera en rien à celle que Kant en a déjà faite. Sans doute, il faut varier et le public demande toujours du nouveau. Mais le point de vue de M. Bergson est tellement différent de celui de Kant qu'il leur était bien impossible de se rencontrer ici et de risquer de se répéter.
LE meurtre de Calas, commis dans Toulouse avec le glaive de la Justice, le me Mars , est un des plus singuliers événements qui méritent l'attention de notre âge & de la postérité. On oublie bientôt cette foule de morts qui a péri dans des batailles sans nombre, non-seulement parce que c'est la fatalité inévitable de la guerre, mais parce que ceux qui meurent par le sort des armes, pouvaient aussi donner la mort à leurs ennemis, & n'ont point péri sans se défendre. Là où le danger & l'avantage sont égaux, l'étonnement cesse, & la pitié même s'affaiblit: mais si un Pere de famille innocent est livré aux mains de l'erreur, ou de la passion, ou du fanatisme; si l'accusé n'a de défense que sa vertu, si les arbitres de sa vie n'ont à risquer en l'égorgeant que de se tromper, s'ils peuvent tuer impunément par un arrêt; alors le cri public s'éleve, chacun craint pour soi-même; on voit que personne n'est en sûreté de sa vie devant un Tribunal érigé pour veiller sur la vie des Citoyens, & toutes les voix se réunissent pour demander vengeance.
"Stéphanette" est un roman de l'écrivain français René Bazin, publié en 1893. Ce roman explore les thèmes de l'amour, de la famille et des conflits sociaux dans le cadre d'une histoire se déroulant dans un village de province.L'histoire tourne autour de Stéphanette, une jeune femme provenant d'un milieu modeste, qui tombe amoureuse de Jean Herbelin, un homme de condition sociale plus élevée. Leur amour est mis à l'épreuve par les conventions sociales et les attentes familiales.René Bazin, à travers ce récit, offre une analyse subtile des différences de classe et des défis auxquels sont confrontés les amoureux issus de milieux sociaux différents. "Stéphanette" est considéré comme représentatif du style réaliste et régionaliste de Bazin, mettant en lumière les dilemmes moraux et sociaux dans les petites communautés provinciales françaises à la fin du XIXe siècle.
Les "Souvenirs de la Duchesse de Dino" sont des mémoires écrits par Laure Junot, duchesse d'Abrantès, qui a également été connue sous le nom de Duchesse de Dino. Cette ¿uvre est une compilation de souvenirs personnels et d'observations sur la vie politique et sociale de l'époque napoléonienne.Laure Junot était présente à la cour impériale de Napoléon Bonaparte et a été témoin de nombreux événements politiques majeurs de son époque. Ses mémoires offrent un aperçu fascinant de la vie à la cour impériale, des intrigues politiques, des personnages influents et des moments historiques clés de cette période mouvementée de l'histoire française.Ces souvenirs sont souvent utilisés comme une source précieuse pour comprendre la vie à cette époque et les personnalités qui l'ont marquée, offrant un point de vue intime et personnel sur les événements politiques et sociaux de la France du début du XIXe siècle.
Je ne puis voir ces enfans, qui avec une pipe & du savon battu dans de l¿eau, s¿amusent à faire ces belles vessies colorées, que le souffle dilate si prodigieusement, sans les comparer à la nature. Il me semble qüelle prend comme eux, sans y songer, les moyens les plus simples pour opérer. Il est vrai qüelle ne se met pas plus en dépense, pour donner à la terre un prince qui doit la faire trembler, que pour faire éclore l¿herbe qüon foule aux pieds. Un peu de boue, une goutte de morve, forme l¿homme & l¿insecte ; & la plus petite portion de mouvement a suffi pour faire jouer la machine du monde.
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