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Genudgivelse af Eskil Halbergs Madpakker til revolution,hvori det vises, at kapitalismen har taget kontrol over maden til skadefor klimaet og alt levende, og at vi derfor står i en livsnødvendig kamp for at skabe en anden økologi.I vores del af verden, men i stigende grad overalt i verden, er mad i dag formidlet gennem verdensmarkedet. Vi er, paradoksalt nok,livsvigtigt afhængige af det system, som samtidig smadrer vores egnelivsbetingelser.— Eskil HalbergHalberg tager os med ud pålandet. Vi har vist ikke lyst til at blive derude, som det ser ud ligenu. Men det kan vi ændre på. “Det er næsten umuligt at gøre oprør fra en rapsmark.” Men det kan gøres fra et vildnis, fra et landbrugskollektiv, fra en byhave. Jeg fristes til at slutte af med et kampråb: Ingenklassekamp uden madkamp!— Mikkel ThorupMadpakker tilRevolutionen er lige præcis det øko-kommunistiske manifest vi har brugfor til at orientere os i kampen mod kapitalismens destruktiveorganisering af vores fælles naturgrundlag. En enestående analyse fra en af vor tids mest interessante kommunistiske tænkere!— Søren Mau
An exhilarating journey through the subcultures, the occupied squats, and late-night scenes in the anarchic first few years of Berlin after the fall of the Wall Berlin Calling is a never-before-told account of the Berlin Wall's momentous crash, seen through the eyes of the divided city's street artists and punk rockers, impresarios and underground agitators. Berlin-based writer Paul Hockenos offers us an original chronicle of 1989's "peaceful revolution," which upended communism in East Germany, and the wild, permissive years of artistic ferment and pirate utopias that followed when protest and idealism, techno clubs and sprawling squats were the order of the day. This is a story stocked with larger-than-life characters from Berlin's highly political subcultures--including David Bowie and Iggy Pop, the internationally known French Wall artist Thierry Noir, cult figure Blixa Bargeld of the industrial band Einstürzende Neubauten, and a clandestine cell of East Berlin anarchists. Hockenos argues that the do-it-yourself energy and raw urban vibe of the early 1990s shaped the new Berlin and still pulses through the city today.
"The Federalist Papers" written by Alexander Hamilton, James Madison, and John Jay, were a series of 85 essays published between 1787 and 1788 to promote the ratification of the United States Constitution. These influential essays served as a comprehensive explanation and defense of the principles and structure of the Constitution, addressing concerns about the proposed system of government. The authors passionately argued for the benefits of a strong central government, emphasizing the necessity of a balanced and well-structured union to ensure national stability and security. Through astute political and philosophical analysis, the papers elucidated the significance of checks and balances, the separation of powers, and the importance of representative government. The Federalist Papers remain an enduring classic in political thought, offering invaluable insights into the framers' intentions and the foundations of American constitutional democracy.
A moving political memoir through Berkeley radicalism, socialist organising in Australia in the Whitlam and Fraser eras and international mass struggles. This is not a nostalgic memoir of reminiscence, but an inspiration for all activists.
Lorsque, en 1925, Bouglé publie Qu'est-ce que la sociologie ?, il ne propose pas seulement un manuel, mais aussi et surtout un ouvrage traitant, à travers différents écrits, tant de la division du travail que des rapports de l'histoire et de la science sociale, ou des théories de Cournot et l'idée avant-gardiste de "sociologie populaire". Un regard jeté en passant sur les aphorismes de la sagesse des nations, sur les formules de nos littérateurs, sur les maximes courantes de notre propre conduite suffit à le constater il existe d'ores et déjà, aussi bien qu'une météorologie, une "sociologie populaire" .
Le "solidarisme" semble en passe de devenir, pour la troisième République, une manière de philosophie officielle. Il est le fournisseur attitré de ces grands thèmes moraux qui font l'accord des consciences, et que le moindre personnage public se sent obligé de répéter aux occasions solennelles. Célestin Bouglé
The Communist Party in the Tradition of the Left is a comprehensive journey through our party's rich history, born out of the pivotal moments of internal strife that defined our path. It emerged as a response to the significant splits that shaped our trajectory. It all started with the schism in 1951, followed by the emergence of a separate organization aligned with "Il Programma Comunista," and culminating in the tumultuous 'dirty' split of 1973. These events are the backdrop against which this text was written, tracing the evolution of our party's core principles and our steadfast dedication to revolutionary Marxism.This book serves a dual purpose: firstly, it acts as a meticulous historical record, chronicling our passage through turbulent times marked by ideological shifts and organizational transitions. Secondly, it underscores our resolute dedication to preserving the essence of our party-the unique program that has guided us for decades. Through this exploration, we aim to offer readers profound insights into our party's history, characterized by an unwavering pursuit of doctrinal unity and continuity, regardless of the challenges we have faced.This book is more than a historical account. It's a manifesto for a new generation of readers, a testament to the enduring strength of a party that seeks to shape the future. It calls for the study of Marx and Lenin, those luminaries who have guided the party's course throughout history. This work is a call to action, a rallying cry for the preservation of the revolutionary spirit.
Quelle idée les Français se font-ils de la culture générale et quel est, sur la façon dont ils comprennent l'organisation et les méthodes de l'enseignement, le retentissement de cette idée ? Grand problème aux aspects divers. Je me garderai d'essayer de les mettre tous en lumière. Célestin Bouglé
" Vous ne ferez plus un pas sans poser le pied dans les traces que nous avons imprimées. Notre Verbe est au milieu de vous ; vous l'incarnerez en vous. Ainsi, en 1832, vaticinait Barrault, l'orateur saint-simonien, s'adressant aux sages qui croyaient mortes et enterrées la Doctrine et l'École. Et Enfantin, le Père , pape détrôné, mais non pas désabusé, répétait un peu plus tard : Le monde se partagera nos dépouilles. Ces prophéties n'étaient pas si vaines. On commence à s'en rendre compte : parmi les idées sociales , dont le dix-neuvième siècle a vécu ou qu'il a essayé de faire vivre, il en est peu qui ne laissent voir la marque saint-simonienne. Et cela est vrai des plus humbles comme des plus grandioses, de celles qui ont avorté comme de celles qui ont réussi. À tous les titres, assez divers d'ailleurs, dont la postérité honore les fils de Saint-Simon - apôtres de l'industrialisme, annonciateurs du socialisme, chevaliers du pacifisme, poseurs de rails, perceurs d'isthmes, lanceurs de banques, etc., - il convient d'en ajouter un plus modeste, mais révélateur de l'une de leurs tendances profondes : les premiers, ils ont mis en train ce que nous appelons aujourd'hui des Universités populaires..."
Nous avons donc choisi quatre auteurs occupés à la construction de sciences sociales différentes. Nous avons demandé à Lazarus le plan d'une psychologie des peuples, à Simmel, d'une science de la morale, à Wagner, d'une économie politique, à Jhering, d'une philosophie du droit. Nous avons entendu les cours des trois premiers à l'Université de Berlin. Pour le quatrième, mort un peu avant notre séjour en Allemagne, son esprit, que des ouvrages posthumes nous apprennent à mieux comprendre, est toujours vivant, et nous n'avons pas rencontré dans les Universités d'autorité juridique égale à la sienne.
"Aujourd'hui, plus que jamais - dans le désarroi intellectuel et moral qui suit la guerre - les esprits sont nombreux que la sociologie attire. Ils trouveront dans ce livre, ordonnées autour de quelques thèses centrales, un certain nombre d'informations touchant les origines ou l'évolution de la religion et de la morale, de la science et de l'art. À méditer les conclusions qui se dégagent de ces informations mêmes, ils vérifieront que le matérialisme ou même le scientisme ne sont nullement le dernier mot de la sociologie : bien plutôt, nous fournit-elle de nouvelles raisons de respecter les diverses formes de l'idéal que les sociétés ont pour principal office de faire vivre." C.B.
Que devons-nous penser du mouvement démocratique ? Les idées égalitaires, qui le dirigent, sont-elles légitimes ou. illégitimes ? pratiques ou utopiques ? Et nous faut-il, en conséquence, faire tous nos efforts pour le seconder ou pour l'enrayer ?À cette question vitale si nous répondons d'ordinaire sans hésiter, c'est que nous répondons, il faut le reconnaître, un peu à l'aventure. Les hasards de la naissance ou de la situation déterminent notre orientation politique. Nous nous laissons mener par des traditions ou par des impulsions également irraisonnées. Mais vienne une crise de réflexion : on s'aperçoit alors que pour décider rationnellement entre les partis adverses, il faudrait avoir résolu méthodiquement un grand nombre de problèmes préalables.
Dans ce livre Bouglé propose d'expliquer pourquoi les "idéaux égalitaires" affirmant l'égale dignité de tous les hommes et la valeur éminente de l'individu se sont progressivement imposés en Occident. Il montre aussi que ces idéaux humanistes nourrissent les meilleurs courants de la gauche républicaine : Jaurès lui-même n'affirmait-il pas que le "socialisme" est un "individualisme", mais "logique et complet" ? Ainsi, l'analyse sociologique de Bouglé est sous-tendue par un projet politique cohérent qui se revendique du "radicalisme", dans une proximité affichée avec le socialisme républicain. Ses thèmes clés sont la place centrale de la laïcité, le rôle de l'Ecole publique, l'exigence d'une politique active de solidarité, incarnée par la philosophie du "solidarisme".
On réunit dans ce petit livre les résumés de quelques-unes des conférences qui m'ont été demandées depuis la guerre, par divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs.La question reste ouverte : la difficile question des rapports de la science avec l'action, de la sociologie avec la morale proprement dite.J'ai touché pour ma part à cette question, qui obsède tant de philosophes aujourd'hui, en étudiant l'évolution des valeurs ; j'espère pouvoir y revenir quelque jour.
Bilan de la sociologie française contemporaine , le programme paraîtra sans doute ambitieux, les champs où glaner trop vastes. Il est certain que si nous voulions relever seulement tout ce que les savants français ont pu faire, depuis la guerre, pour avancer sous une forme ou une autre la connaissance des sociétés humaines, il y faudrait une longue série de volumes de la taille de celui-ci.Mais il importe de distinguer, et de préciser dès l'abord notre objet. Nous nous plaçons délibérément au point de vue adopté par la sociologie proprement dite, telle qu'elle nous paraît définie le plus nettement par l'équipe des chercheurs groupée dans l'Année Sociologique autour d'Émile Durkheim, lui-même continuateur, sur le terrain scientifique, d'Auguste Comte.
Quelles sont les tendances qui dominent dans l'enseignement français de la philosophie ? On aimerait pouvoir donner une réponse précise à cette question. Nulle part la place de la philosophie dans l'enseignement n'est plus large qu'en France. Dès le lycée on fait défiler les grands systèmes devant les futurs bacheliers, on leur fournit des indications sur les principaux problèmes de la psychologie, de la logique, de la morale, on les incite à la réflexion personnelle qui permet de choisir entre les conceptions de la vie. Nul n'entrera dans notre enseignement supérieur, lui-même vestibule des carrières libérales, sans cette initiation préalable, véritable bain d'idées générales. On voudrait savoir quelle sorte de formation, tant morale qu'intellectuelle, les néophytes retirent de cette expérience, et d'abord vers quelle doctrine leurs maîtres les ont inclinés. Ce serait un moyen, un des moyens possibles, de caractériser l'état actuel de la culture française dont les jeunes philosophes d'aujourd'hui seront demain les représentants, et de pressentir l'orientation prochaine des élites nationales. C.B.
Expression récurrente du discours sur la France, l'"esprit français" renvoie à une construction de l'imaginaire liée à certaines valeurs jugées fondatrices de l'identité nationale et assumant une fonction à la fois narrative, idéologique et symbolique. En 1920, le sociologue Célestin Bouglé voyait dans l'esprit français le "ressort intérieur" et la force profonde de notre civilisation". Il disait: "" Qu'est-ce donc que l'esprit français ? " C'est la question que tous ont sur les lèvres. Question singulièrement embarrassante, il faut l'avouer. Le Français qu'on interroge et qui s'interroge sur la façon de penser propre à son pays est le plus souvent frappé, pour sa part, des diversités, sinon des contradictions que présentent les façons de penser des Français, de ceux d'autrefois comme de ceux d'aujourd'hui ; et la peur d'être injuste en étant incomplet l'empêche d'aboutir aux formules synthétiques qu'on attend de lui."
De cet ouvrage fort documenté et remarquablement synthétique sur le régime des castes, on tirera plusieurs enseignements originaux, par exemple lorsque Bouglé utilise le terme de "marché matrimonial" ou lorsqu'il montre que l'hypergamie est une résultante de la domination masculine qui isole des filles d'extraction élevée de toute chance de trouver un prétendant. Par ailleurs, Bouglé profite de son étude pour asséner quelques utiles sentences sur des enjeux vraiment essentiels (et sans rapport avec l'Inde ou les castes) : En un mot, entre les différences physiques, les différences sociales et les différences mentales, les corrélations nettes continuent de nous manquer. Après comme avant l'observation du monde hindou, les thèses maîtresses de la philosophie des races, transformée en anthroposociologie, restent indémontrables, et invraisemblables .
" La propriété, C'est le vol ; c'est par ce coup de pistolet que Proudhon, en 1840, entre en scène. Du jour au lendemain il est classé. Tous les hommes d'ordre le regardent comme leur adversaire personnel. Ils conserveront pendant des années le souci d'écraser de leurs arguments ou de leurs injures ce nouvel Érostrate. En attendant, l'Académie de Besançon le maudit, le gouvernement s'efforce de lui fermer la bouche. Un instant arrêté par l'intervention de l'économiste Blanqui, l'action publique s'abat, après la Lettre à Considérant, sur la tête de Proudhon..." Célestin Bouglé.
Ainsi, de plus en plus vivement, Proudhon proteste et se redresse contre l'autoritarisme sans cesse renaissant des organisateurs d'où qu'ils viennent. Et de tous les groupements qui se constituent aujourd'hui pour défendre telle ou telle forme de l'idéal social, ceux-là sans doute pourraient se vanter d'avoir recueilli le meilleur de son creuset qui, invoquant les Droits de l'Homme comme la valeur supérieure, s'efforcent de maintenir, contre les offensives variées de l'instinct de dictature, la nécessité du libéralisme. C.B.
Plus éclectique que d'autres durkheimiens, Bouglé s'appuie souvent sur Simmel et même sur des libéraux tels que Tocqueville (qu'il considère comme "faisant de la sociologie avant la lettre") ou Tarde. Beaucoup de ses livres sont des cours ou des conférences compilés en alignant des auteurs ; voir en particulier les textes sur les socialismes ou sur l'esprit français.Si Bouglé reste aujourd'hui méconnu, il n'en demeure pas moins un protagoniste capital dans l'institutionalisation de la sociologie en France et dans le développement de celle-ci comme science autonome.
"The Fidel Castro Reader begins with Fidel's famous courtroom defense ("History will Absolve Me"), includes his speech on learning of Che Guevara's death in Bolivia, his analysis of the collapse of the Soviet Union, and his response to the 9/11 terrorist attacks. Fidel Castro demonstrates here his intellectual genius and his lifelong commitment to the Cuban revolution as well as his observations about events elsewhere in the world"--
Irvine's memoir is a powerful testament to the resilience of the human spirit. Born into poverty in early 20th century Scotland, Irvine overcame tremendous obstacles to become a successful writer and pastor in the United States. This book is an inspiring read that will resonate with anyone who has ever faced adversity.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Equality of nations is a profound principle that encapsulates the essence of fair treatment, mutual respect, and balanced interactions between all sovereign states across the globe. It is rooted in the belief that every nation, regardless of its size, history, or socio-economic status, deserves an equal voice, opportunity, and recognition on the international stage. This concept goes beyond the mere absence of discrimination or bias; it aspires to create a world where nations cooperate, coexist, and thrive in a collaborative ecosystem that nurtures global equity and solidarity.In a dynamic and interconnected world, the concept of equality among nations takes center stage as an essential cornerstone of international relations. This principle underscores the crucial endeavor to foster a harmonious and sustainable global society where nations come together to address shared challenges, harness collective strengths, and celebrate the rich tapestry of human diversity. Beyond its theoretical implications, the equality of nations is a pragmatic approach that acknowledges the interdependence of our planet's inhabitants and seeks to ensure that no nation is left behind in the pursuit of progress.The essence of equality among nations lies in its ability to transcend borders, ideologies, and historical narratives. It is recognition that each nation possesses intrinsic value and potential regardless of its past or present circumstances. This principle engenders a mindset of inclusivity and empathy, fostering an environment where nations cooperate not out of compulsion but out of a genuine desire to uplift one another and contribute to the greater common good.
The purpose of this book is to offer those who identify with America's democratic political left (broadly defined to include Democrats, Democratic Socialists, Greens, Libertarians, and even liberal Republicans) a guide to understanding how rigorous analysis can be applied in order to identify public policies that are both consistent with their values, and likely to actually work. The book argues the importance of reference to basic scientific principles (in particular, social science and economic principles) and factual evidence for people who identify with the political left, rather than them assuming automatic positions on issues. Foundational scientific principles such as general equilibrium, Keynesian economics, asymmetric information, the use of proxy variables, and causal inference, are discussed and explained.The book consists of 12 chapters. Following two foundational chapters, the book addresses areas including monetary policy, income redistribution, healthcare, social security, education, immigration, climate change, the proper roles of the public and private sectors of the economy, and race relations.Written in accessible, engaging and non-technical language, Public Policy for Progressives will be of interest to scholars and students of economics, philosophy, political science, and public policy, as well as policy makers themselves.
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