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Il se produit actuellement en Allemagne, en Angleterre, en Suisse, un mouvement de philosophie religieuse auquel notre pays aurait tort de demeurer indifférent. La philosophie de la religion a toujours sa terre classique en Allemagne ; en Angleterre, elle paraît être l'objet principal auquel tendent et l'école néokantienne et la nouvelle école hégélienne; celle-ci, par un phénomène curieux outre Manche, s'efforce de rendre quelque éclat à un système presque abandonné en Allemagne : on peut comparer cette école à une fusée retardataire qui part après le feu d'artifice. En Suisse, un métaphysicien fidèle à la plus haute et à la plus pure tradition du christianisme, M. Secrétan, s'est efforcé récemment de tourner les principes de la philosophie et de la science moderne au profit des dogmes religieux...
Les disciples contemporains de Descartes ou de Leibniz, et ceux mêmes de Kant, sont tous au fond platoniciens, car ils s'accordent avec Platon pour opposer absolument le monde de la sensation à celui de la pensée. Ici même, M. Caro, dans un éloquent tableau, tour à tour un peu pessimiste et un peu optimiste, de la dissolution et de la renaissance des croyances philosophiques, appelait avec raison platonisme à ce fonds d'idéalisme né avec l'homme et qui ne disparaîtra qu'avec lui. Ouvrez les livres des spiritualistes et des criticistes, ceux de M. Caro lui-même, de MM. Ravaisson, Janet, Lachelier, comme ceux de M. Renouvier, vous y trouverez reproduite, presque dans les mêmes termes, la critique profonde autrefois dirigée par Platon, dans son Théètète, contre Protagoras et Héraclite...
Les questions de l'assistance publique, de la population et de la sélection naturelle sont si inséparables que, dans notre siècle, l'esprit a été logiquement conduit de l'une à l'autre et amené par là à d'importantes découvertes. C'est le problème de l'assistance publique et l'observation des effets produits par la taxe des pauvres qui inspira à Malthus sa loi de la population ; c'est la loi de la population, à son tour, qui fit découvrir à Darwin d'abord celle de la lutte pour la vie, puis celle de la sélection naturelle. On peut donc dire (et la chose est digne de remarque), que c'est un problème social et économique qui a provoqué une des plus grandes révolutions de l'histoire naturelle...
Trois grands principes tendent à dominer toute la philosophie moderne et s'imposent à la morale naturaliste : le premier est la relativité de notre savoir. L'antiquité et le moyen âge, dans leur religion, dans leur philosophie, dans leur science, se croyaient volontiers en possession de la réalité absolue; nous, nous voyons l'absolu reculer dans un lointain de plus en plus inaccessible : Hume et Kant nous ont enseigné le caractère relatif de ce qui se passe en nous comme de ce qui se passe au dehors de nous, de nos sensations et de nos pensées comme des objets auxquels elles s'appliquent...
This book explores the delicate interconnections between law and economics, especially as regards island entitlements under international maritime law. This is an area in the literature generally overlooked because maritime law has been the domain of legal experts. Maritime boundary disputes are over resources, a vitally important economic subject. Yet, the economics of maritime law has been ignored. Lawyers and legal experts have dominated the field, to the alarming degree of causing needless international conflicts. Our monograph addresses this serious neglect. The methodology would be rational behavior model, one specifically formulated to make the case that dialog and negotiation between these countries is the rational choice leading to win-win outcome in the Aegean and Eastern Mediterranean territorial waters. Public and private sector actors identified as key decision-makers in all phases of hydrocarbon development and monetization, within an overall win-win framework.
Brings Thomas Reid into conversation with contemporary moral philosophy Is morality a subjective matter, dependent on our desires and interests, or are there objective moral truths? And if the latter, can we explain the objectivity of morality without appeal to metaphysics, a robust teleology or divine command? James J. S Foster argues that we find such an account of moral objectivity in Thomas Reid's defence of duty. This book provides an explanation of Reid's way of philosophy and his reasons for rejecting moral subjectivism, presents Reid's account of the concept, perception and motivational force of duty, and responds to contemporary challenges of moral subjectivism and pessimism from the perspective of Reid's moral philosophy. By illustrating how Thomas Reid provides this compelling interpretation of moral objectivism - which is both metaphysically modest and chimes with lived experience - Foster concludes that if Reid is correct, then there is an urgent need to reform current pedagogical practice and return to the teaching of practical ethics. Key Features Appeals to readers interested in Reid and Scottish philosophy; and to those broadly interested in moral philosophy Draws from Reid's entire corpus, not just his major published works, including 'Some Thoughts on the Utopian System', his correspondence and 'Lectures on Practical Ethics' Explains Reid's Baconian approach to moral philosophy Discusses the implications of Reid's understanding of practical ethics and the limitations of speculative philosophy for moral education James J. S. Foster is Associate Professor of Philosophy and Theology and Director of the Honours Program at the University of Sioux Falls.
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