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Tour de France. 1924. 5.425 km. Frankrig rundt på støvede landeveje, bjergstier, drabelige nedkørsler og endeløse strækninger i hede, sne, regn og blæst. Fordelt på 15 vanvittige etaper. Hele turen dækket af én mand for dagbladet Le Petit Parisien i 12 nu legendariske reportager. For første gang samlet og udgivet på dansk.Albert Londres fulgte i kølvandet på "Landevejens galejslaver" i en sky af alkohol, kokain, søvnløshed, umenneskelige lidelser og rigide løbsregler, der tvang rytterne ud på det muliges overdrev. Den berømte betegnelse "Landevejens galejslaver" er født og en af urteksterne om Tour de France ser dagens lys.Londres stod fader til den store journalistiske reportage og er en af grundlæggerne af den undersøgende journalistik. Han omkom på tragisk vis kun 47 år gammel i 1932 om bord på oceandamperen Georges Philippar, der brød i brand i Adénbugten og sank.
★★★★★ Jyllands-Posten- En inciterende skildringEn klassisk og en moderne skildring af cykelsportens overmenneskelige strabadser. Man tøver ikke med at kalde udgivelsen en klassiker på sit felt. Mikael JalvingForrygende læsning, WEEKENDAVISEN- Londres’ reportager – en af de centrale sokler i Tour de France-mytologien –er nu udkommet i dansk oversættelse. Og det er forrygende læsning. Aske MunckEt absolut must, INFORMATION- Reportagerne i Le Petit Parisien satte nye standarder for genren, akkurat som 1924-udgaven er skelsættende i tourhistorien. Tonny VormTour de France. 1924. 5.425 km. Frankrig rundt på støvede landeveje, bjergstier, drabelige nedkørsler og endeløse strækninger i hede, sne, regn og blæst. Fordelt på 15 vanvittige etaper. Hele turen dækket af én mand for dagbladet Le Petit Parisien i 12 nu legendariske reportager.For første gang samlet og udgivet på dansk.Albert Londres fulgte i kølvandet på "Landevejens galejslaver" i en sky af alkohol, kokain, søvnløshed, umenneskelige lidelser og rigide løbsregler, der tvang rytterne ud på det muliges overdrev. Den berømte betegnelse "Landevejens galejslaver" er født og en af urteksterne om Tour de France ser dagens lys.
Albert Londres se plonge dans l'effervescence de Marseille, décrivant la ville comme la porte du Sud, une porte d'entrée vers de nouveaux horizons. À travers ses observations, il explore la diversité culturelle et sociale de Marseille, mettant en lumière les différentes communautés qui coexistent dans ce melting-pot méditerranéen.L'auteur se penche sur l'activité du port, décrivant le va-et-vient incessant des navires, des marchandises et des personnes qui contribuent à la vitalité de la cité portuaire. Il examine également les défis et les opportunités économiques auxquels Marseille est confrontée en tant que plaque tournante commerciale.Londres ne se contente pas de décrire la ville sur le plan matériel ; il s'intéresse également aux histoires humaines qui se déroulent dans ses rues. Il donne la parole aux habitants, aux travailleurs portuaires, aux commerçants, et aux divers acteurs qui façonnent la vie quotidienne à Marseille.En résumé, "Marseille, porte du Sud" offre une plongée immersive dans la vie trépidante de la ville portuaire, explorant son dynamisme économique, sa diversité culturelle et les multiples facettes de son identité méditerranéenne.
" C'est un port, l'un des plus beaux du bord des eaux. Il est illustre sur tous les parallèles. À tout instant du jour et de la nuit, des bateaux labourent pour lui au plus loin des mers. Il est l'un des grands seigneurs du large. Phare français, il balaye de sa lumière les cinq parties de la terre. Il s'appelle le port de Marseille. Il a plus de cinq kilomètres de long. Il n'en finit pas. Peut-être bien a-t-il six, ou même sept kilomètres. Môle A, Môle B, Môle C. Il va presque jusqu'au milieu de l'alphabet, le port de Marseille... C'est le marché offert par la France aux vendeurs du vaste monde. Les chameaux portant leur faix vers les mahonnes d'au-delà nos mers, sans le savoir, marchent vers lui. Port de Marseille: cour d'honneur d'un imaginaire palais du commerce universel..."
Dans ce reportage, Londres suit le Tour de France 1924 pour le Petit Parisien. Il décrit les événements tels qu'il les voit depuis son automobile. Il décrit de façon poignante la vie du tour et des villes-étapes ainsi que l'immense engouement populaire pour grand événement sportif.
Albert Londres raconte l'histoire Eugène Dieudonné, un menuisier anarchiste condamné sans preuve lors du procès qui jugea la bande à Bonnot. Quelques années plus tard, L'auteur apprend que le forçat s'est échappé, il le retrouve au Brésil où il a refait sa vie. Londres nous conte les péripéties de l'évasion, nous décrit l'hostilité de l'environnement, la mer, la forêt, la solidarité mais aussi l'égoïsme des bagnards, les chasseurs d'évadés, etc. Albert Londres fera tout pour que Dieudonné soit gracié et il obtiendra gain de cause. Un grand roman humaniste d'une beauté saisissante.
Ce livre rassemble vingt-sept articles sur les juifs qu'Albert Londres écrit lors d'un périple qui débute à Londres, se poursuit à Prague, en passant par les ghettos de Varsovie et de Transylvanie, et qui prend fin en Palestine.
Une aventure à couper le souffle. Tout pour appeler l'attention: Dieudonné, la bande à Bonnot, Cayenne, une évasion extraordinaire avec plein surprises et des retrouvailles au Brésil...
En 1923 Albert Londres s'intéresse au bagne de Cayenne, en Guyane française. Il prépare cet essai qui raconte de façon bouleversante comment des humains ordinaires peuvent composer une administration inhumaine et comment des bourreaux peuvent devenir des victimes. Cet essai passionnant entraînera une amélioration de la situation des bagnards et en septembre 1924 la suppression du bagne.
Dans cette enquête de terrain sur la Folie, au coeur des institutions asilaires de son époque, le thème de l'enfermement apparaît comme central. L'auteur y interroge aussi la notion de pouvoir. Car il ne faut pas négliger la force, potentiellement dangereuse, que possèdent celles et ceux que la société a chargé de définir et de mesurer la folie. Le texte qui suit est à cet égard exemplaire puisqu'il suscita une polémique telle que le corps médical en fut tout entier révolutionné.
Ce récit de 1924 dénonce les pratiques cruelles dans pénitenciers militaires français au Maghreb. Des pratiques perpétrées par des sous-officiers sadiques, ignorées du commandement, et racontées ici par des détenus dans des récits poignants, à peine commentés par l'auteur...
Albert Londres suit le Tour de France 1924 pour le Petit Parisien. Ses articles sont datés des villes d'étape et vont du 22 juin au 20 juillet. Il s'intéresse aux petits et grands événements tel qu'il les voit depuis son automobile plutôt qu'aux résultats sportifs, et surtout aux hommes dont il fait le portrait. Il décrit de façon poignante la vie dure des coureurs sur les routes de l'époque, des gravillons de silex en Bretagne à la boue des cols pyrénéens et alpins. Il nous fait assister aussi à l'immense engouement populaire.
«Biribi» désigne l'ensemble des pénitenciers militaires français Ce reportage de 1924 dénonce les pratiques cruelles dans ces unités au Maghreb. Perpétrés par des sousoffs sadiques, «ignorés» du commandement, ces faits sont racontés par des détenus dans des récits poignants, à peine commentés par l'auteur. À la fin de cet article l'auteur s'adresse au ministre de la guerre pour réclamer la suppression de ces établissements.Le succès de son reportage sur le bagne de Cayenne (Au bagne) décide Albert Londres à s'intéresser à d'autres geôles de la République. Il s'agit cette fois d'enquêter sur les bagnes militaires, situés pour la plupart en Afrique du Nord et dépendant du ministère de la Guerre. Malgré l'hostilité de la hiérarchie militaire, le grand reporter sillonne le Rif, recueillant les doléances des soldats bagnards. Sous le titre Biribi, son reportage est publié au printemps 1924. Pour répondre à la pression de l'opinion publique, le ministre de la Guerre se voit contraint d'envoyer sur place une commission d'enquête, et ce sera bien grâce à Albert Londres que les bagnes militaires et leurs odieux " travaux publics " seront définitivement supprimés en France.
Ce reportage passionnant, vivant, de très grande qualité, entraînera une amélioration de la situation des bagnards et à terme la fermeture du bagne. Écrit en 1924, il raconte de façon bouleversante comment des humains ordinaires peuvent composer une administration inhumaine et comment des bourreaux peuvent devenir des victimes.
Ce livre rassemble vingtsept articles sur les juifs qu'Albert Londres écrit lors d'un périple qui débute à Londres, se poursuit à Prague, en passant par les ghettos de Varsovie et de Transylvanie, et qui prend fin en Palestine.
Lors du reportage qu'il effectue en Guyane sur le bagne, Albert Londres rencontre Eugène Dieudonné, un menuisier anarchiste condamné sans preuve lors du procès qui jugea «la bande à Bonnot». Quelques années plus tard, le journaliste apprend que le forçat s'est échappé, il le retrouve au Brésil où il a refait sa vie. L'auteur nous conte les péripéties de l'évasion, nous décrit l'hostilité de l'environnement, la mer, la forêt, la solidarité mais aussi l'égoïsme des bagnards, les chasseurs d'évadés, etc. Albert Londres fera tout pour que Dieudonné soit gracié et il obtiendra gain de cause.
En 1927, Albert Londres embarque pour un périple de quatre mois dans les colonies françaises d'Afrique. Il a déjà écrit quelques articles sur les " petits Blancs " de Dakar, mais s'engage cette fois dans une enquête d'envergure sur les pratiques des colons usagers du " moteur à banane ". Il en rapporte un récit virulent, caustique, dont le lecteur sort tour a tour réjoui et atterré, dénonçant les milliers de morts survenue au nom de l'exploitation des forts et de la mise en valeur du territoire. Par la violence de ses dénonciations, Terre d'ébène suscitera furieuses polémiques et démentis violents. " Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie " écrit Albert Londres.
" En 1927, Albert Londres embarque pour un périple de quatre mois dans les colonies françaises d'Afrique. Il a déjà écrit quelques articles sur les " petits Blancs " de Dakar, mais s'engage cette fois dans une enquête d'envergure sur les pratiques des colons usagers du " moteur à banane ". Il en rapporte un récit virulent, caustique, dont le lecteur sort tour a tour réjoui et atterré, dénonçant les milliers de morts survenue au nom de l'exploitation des forts et de la mise en valeur du territoire. Par la violence de ses dénonciations, Terre d'ébène suscitera furieuses polémiques et démentis violents. " Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie " écrit Albert Londres.
Adieu Cayenne! d'Albert Londres est un autre texte dont nous ne sommes pas peu fiers. Déjà qu'Albert Londres n'est plus vraiment lu de nous jours, voici en plus un livre peu connu parmi ses livres. Il raconte l'évasion de Dieudonné, anarchiste, membre supposé de la bande à Bonnot, du bagne de Cayenne. Londres vient jusqu'à Rio pour le rencontrer une deuxième fois, écouter son histoire ahurissante, et clamer son innocence auprès des autorités françaises qui le condamnèrent. Un récit d'une simplicité et d'une beauté saisissantes. Un grand roman humaniste.
En 1929, au faîte de sa gloire, Albert Londres se lance dans une grande enquête sur un sujet qu'il connaît mal : les juifs. Il rassemble ses trouvailles dans vingt-sept articles qu'il écrit lors d'un périple qui débute à Londres, se poursuit à Prague, en passant par les ghettos de Varsovie et de Transylvanie, et qui prend fin en Palestine là où il chronique l'aventure sioniste dix-huit ans avant la création de l'État d'Israël.
Après avoir dénoncé les pénitenciers de Guyane et les bagnes militaires de Biribi, c'est à une autre cause humaine qu'Albert Londres entend désormais s'attaquer: les asiles d'aliénés. Dans ce récit, Londres nous décrit le milieu des «fous» avec toute son invraisemblante réalité. Le récit fourmille de portraits et d'anecdotes dont plusieurs sont pénibles, car les malades sont souvent traités de manière déplorable et révoltante.
Dante n'avait rien vu (Biribi) / Albert LondresDate de l'édition originale: 1924Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
In 1929 Albert Londres, a non-Jew and renowned journalist, set out to document the lives of Jews at this time. His travels to England, Eastern Europe and finally Palestine produced the literary masterpiece, "The Wandering Jew has Arrived."
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