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This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
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This collection of literature attempts to compile many of the classic, timeless works that have stood the test of time and offer them at a reduced, affordable price, in an attractive volume so that everyone can enjoy them.
" Lorsque j'étais employé au canal de Suez, en 1865 et les années suivantes, me dit mon ami Goguel, j'avais l'habitude de me lever une ou deux heures avant le travail, pour respirer la fraîcheur du matin et voir si tout était en ordre dans nos environs. Le campement du Sérapéum, - où se trouvaient nos chantiers, - situé sur l'emplacement de l'antique temple de Sérapis ruiné depuis deux mille ans, se composait alors de cinq maisonnettes recou-vertes de béton, de la cantine, grande baraque en briques, d'une vingtaine d'autres baraques plus petites, pour loger les ouvriers, et du village arabe, formé d'un monceau de huttes sur le bord de l'embranchement qui nous amenait l'eau potable du canal d'eau douce, éloigné d'environ deux kilo-mètres..."
" Enfin les effets essayés, payés et mis en ordre dans la vieille malle, le père, la mère et M. le curé, la veille du départ après souper, me firent un long sermon, me recommandant de bien travailler, de remplir toujours mes devoirs religieux, de ne pas oublier mes prières et d'écrire à la maison au moins deux fois par mois; et, le lendemain matin, 5 octobre 1834, au milieu de la moitié du village rassemblé pour me voir partir, mes anciens camarades déguenillés et pieds nus parmi la foule, notre vieille Grisette attelée au char à bancs, mon père et moi assis devant, la malle derrière dans la paille, le fouet se mit à claquer. La mère pleurait; les petits frères et soeurs, les bras levés autour de la voiture, voulaient encore m'embrasser; la vieille servante Babelô, qui m'avait vu venir au monde, accourait le tablier sur les yeux; et moi je trouvais cela bien extraordinaire, puisque je partais pour mon bonheur."
L'histoire d'un paysan se présente d'abord comme l'histoire d'une famille pauvre mais soudée, que la grande Histoire divise inéluctablement au fil des événements, et l'on voit les partisans généreux et fidèles de la République s'opposer aux nostalgiques de l'Ancien régime, aux intrigants opportunistes, puis aux profiteurs de l'après Révolution et de l'Empire. L'époque est rigoureusement délimitée et se décompose en quatre parties correspondant aux quatre volumes: Les États généraux de 1789, La patrie en danger en 1792, L'an I de la République en 1793, Le citoyen Bonaparte, de 1794 à 1815...
This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
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Apres la mort de sa mere, Kasper, joueur de clarinette, a vecu chez son oncle Konrad avec Margredel, sa cousine dont il etait epris. Se rememorant sa jeunesse, il nous conte son histoire poignante..."
L'histoire de ce roman se déroule à Phalsbourg en 1814. Suite à la défaite des troupes napoléoniennes, la place forte assiégée est bombardée par les kaiserlicks mais résiste à leurs assauts grâce à sa vaillante garnison et à sa population civile mobilisée dans la garde nationale. Samuel Moïse, notable de la communauté israélite de la ville, a lui aussi été mobilisé et raconte le déroulement des évènements...
Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilisé de 1847 à 1887 par deux écrivains français: Émile Erckmann (né le 21 mai 1822 à Phalsbourg, en Meurthe (devenue Moselle en 1918), mort le 14 mars 1899 à Lunéville) et Alexandre Chatrian (né le 18 décembre 1826 à Soldatenthal (Grand Soldat), Meurthe (devenue Moselle en 1918), et mort le 3 septembre 1890 à Villemomble). Ils ont également écrit sous leurs patronymes respectifs. Nés en Lorraine et amis, ils ont écrit un grand nombre de romans nationalistes d'inspiration régionale exhalant le sentiment patriotique. Dans leur oeuvre, le réalisme rustique, influencé par les conteurs de la Forêt-Noire, se transfigure en une sorte d'épopée populaire. Le Musée historique et Erckmann-Chatrian de Phalsbourg leur est en partie consacré. Histoire d'un sous-maître est un livre de Erckmann-Chatrian paru en 1871 chez Hetzel. Il évoque l'éducation de l'époque, avec un point de vue anticlérical. Résumé ...poussant ma petite croisée, les coudes sur le toit, j'admirais les grands bois noyés dans l'azur du vallon... je comprenais que j'avais des ennemis et qu'ils venaient de me porter un mauvais coup... En 1816, Jean-Baptiste Renaud devient, sous-maître, puis instituteur, dans un village des Vosges Mosellanes. Il y invente un enseignement pertinent qui s'affranchit de la pensée unique imposée par la Restauration. Jean-Baptiste devient subversif pour un pouvoir politique, auquel la religion va s'allier, afin de tenter d'anésthésier l'esprit de 1789. On harcèlera celui qui n'a pas accepté de comprendre qu'il a été promu pour préserver le retour de l'ordre ancien; il est dangereux parce que compétent, sympathique. Qu'il abandonne !...
Souvarof, en réprimant une insurrection de la Pologne, a mis à sac le château du comte Ogiski et massacré sa femme et ses enfants, sauf le petit Ivanowitch, qui est sauvé et recueilli par la cantinière Atwine. La bonne femme, qui le croit orphelin, l'emmène avec elle dans les fourgons de Souvarof. Ogiski, rentrant dans sa maison incendiée, jure de se venger... La Guerre devait être une pièce à grand spectacle pour le Châtelet. Le directeur de ce théâtre trouva le drame trop long, trop réel, trop historique et peut-être surtout trop coûteux à mettre en scène...
Erckmann et Chatrian ont publié pendant presque cinquante ans des récits rustiques et patriotiques. Ces conteurs hors-pairs, qui ont donné leur nom au Prix Erchman-Chatrian, sorte de Goncourt Lorrain, nous offrent ce recueil d'une trentaine de contes mêlant de très belles descriptions des paysages français à des morales modernes et scientifiques. Un ouvrage historique et extrêmement intéressant, qui ravira sans doute les amateurs d'Histoire et ceux désireux de faire une immersion dans la France du XIXème siècle !
This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work was reproduced from the original artifact, and remains as true to the original work as possible. Therefore, you will see the original copyright references, library stamps (as most of these works have been housed in our most important libraries around the world), and other notations in the work.This work is in the public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.As a reproduction of a historical artifact, this work may contain missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Michel bastien, cultivateur au Valtin, à ses amis Mes chers amis, Permettez-moi d'abord de vous dire que mon histoire va très bien; que le libraire, après en avoir vendu beaucoup de volumes, veut la mettre en petits cahiers à deux sous, avec de belles images de mon ami Théophile Schuler, pour en faire jouir tout le monde à bon marché. Naturellement, cela m'encourage, et je vais continuer d'écrire tout ce que j'ai vu, soit à la guerre, soit au pays, jusque vers le temps où je me suis retiré à la ferme du Valtin. Beaucoup d'autres, je le sais, ont raconté l'histoire de la Révolution à leur manière. Les uns ont dit que le peuple était bien plus heureux avant 89 ! - Ceux-là étaient des nobles, et je suis sûr que leurs idées ne s'étendront jamais chez nous. - D'autres, de soi-disant Jacobins, ont raconté les massacres, les déportations, le changement des églises en écuries, comme les plus belles choses de la Révolution. Ça n'a pas le sens commun ! Les massacres ont toujours été et seront toujours des choses épouvantables. L'égoïsme des nobles et des évêques a provoqué ces grands malheurs; ils voulaient rétablir l'ancien régime, au moyen de la guerre civile et de l'invasion étrangère: la Révolution s'est défendue, comme on se défend lorsqu'il faut vaincre ou mourir. D'autres ont dit que le grand homme avait tout fait, tout sauvé les lois, les armées, les conquêtes et la gloire de la France ! Que sans lui, la Révolution n'aurait rien été; qu'elle aurait péri dans le désordre; que c'était un génie, une Providence !... Malheureusement pour eux, tout était fait, tout était décrété avant l'arrivée de Bonaparte. Quand la nation repoussait l'invasion des Prussiens et des Autrichiens; quand l'Assemblée constituante proclamait les Droits de l'homme, rédigeait la constitution de 91, et décrétait le Code civil, Napoléon Bonaparte était encore sous-lieutenant. Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilisé de 1847 à 1887 par deux écrivains français: Émile Erckmann (né le 21 mai 1822 à Phalsbourg, en Meurthe (devenue Moselle en 1918), mort le 14 mars 1899 à Lunéville) et Alexandre Chatrian (né le 18 décembre 1826 à Soldatenthal (Grand Soldat), Meurthe (devenue Moselle en 1918), et mort le 3 septembre 1890 à Villemomble). Ils ont également écrit sous leurs patronymes respectifs. Nés en Lorraine et amis, ils ont écrit un grand nombre de romans nationalistes d'inspiration régionale exhalant le sentiment patriotique. Dans leur oeuvre, le réalisme rustique, influencé par les conteurs de la Forêt-Noire, se transfigure en une sorte d'épopée populaire. Le Musée historique et Erckmann-Chatrian de Phalsbourg leur est en partie consacré.
Madame Thérèse, ou les Volontaires de 92, est l'histoire d'une vivandière de l'armée de la Moselle, laissée pour morte sur le champ de bataille d'Anstatt, recueillie et sauvée par un brave docteur allemand. Ce roman ressuscite des temps glorieux, la lutte de trente mille volontaires de Hoche contre les quatre-vingt mille soldats de Brunswick et de Wurmser. Un souffle patriotique l'anime d'un bout à l'autre. On croirait, en le lisant, vivre au milieu de ces hommes intrépides, de ces immortels volontaires en guenilles, qui fondèrent pour tous l'égalité des droits, et sauvèrent la France de l'invasion. Madame Thérèse, après le Conscrit, c'est la guerre sainte de la liberté, après les inutiles batailles de la conquête.
Apres la debacle des armees napoleoniennes relatees dans Le conscrit de 1813, les armees coalisees apparaissent en France. Le sabotier Hullin et sa cousine Catherine Lefevre suscitent chez les montagnards un mouvement de resistance qui contribue pendant un temps a arreter l'ennemi. Mais le mouvement echoue a cause du fou Yegof, qui predit depuis trente ans le triomphe des hordes germaniques..."
Résumé Phalsbourg, 1813. Joseph Bertha est horloger dans son village et s'apprête à épouser Catherine, sa bien-aimée. Mais les événements vont en décider autrement. Pendant l'année 1812, l'empereur Napoléon Ier a envoyé son armée en Russie pour prendre Moscou. Mais à leur arrivée, les soldats français trouvent la ville totalement détruite. Les Russes l'ont brûlée. Les soldats de la Grande Armée sont alors obligés de rebrousser chemin car l'hiver arrive à grands pas. La plupart d'entre eux périssent dans l'aventure. Napoléon se trouve alors dans la nécessité de reconstituer une armée. Il organise donc une conscription qui transforme Joseph en soldat bien qu'il soit un peu boiteux. Il doit quitter Catherine et ses amis de Phalsbourg pour partir à la guerre. Après quelques entraînements rapides, Joseph et ses nouveaux amis sont envoyés sur le front et découvrent l'horreur de la guerre. Malgré son handicap, qui le désavantage beaucoup par rapport aux autres soldats, il tient bon et suit la cadence. Après quelques batailles, Joseph perd certains de ses amis avant d'être lui aussi légèrement blessé... Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilisé de 1847 à 1887 par deux écrivains français: Émile Erckmann (né le 21 mai 1822 à Phalsbourg, en Meurthe (devenue Moselle en 1918), mort le 14 mars 1899 à Lunéville) et Alexandre Chatrian (né le 18 décembre 1826 à Soldatenthal (Grand Soldat), Meurthe (devenue Moselle en 1918), et mort le 3 septembre 1890 à Villemomble). Ils ont également écrit sous leurs patronymes respectifs. Nés en Lorraine et amis, ils ont écrit un grand nombre de romans nationalistes d'inspiration régionale exhalant le sentiment patriotique. Dans leur oeuvre, le réalisme rustique, influencé par les conteurs de la Forêt-Noire, se transfigure en une sorte d'épopée populaire. Le Musée historique et Erckmann-Chatrian de Phalsbourg leur est en partie consacré.
Monsieur Florence est instituteur dans le petit hameau des Chaumes. Dans ce village vivent les freres Rantzau, les deux plus riches proprietaires de la region, qui se detestent et se jalousent mutuellement. Tout le village subit cet affrontement entre les deux hommes, qui inculquent cette animosite a leurs enfants. Seuls Monsieur Florence, ainsi que Monsieur Jannequin, le cure, essaient tant bien que mal de se maintenir entre les deux camps et de les reconcilier..."
Il s'agit de l'histoire de Jean-Pierre Clavel, ouvrier de Saverne et orphelin élevé par une brave marchande des quatre saisons, la mère Balais, pauvre mais généreuse, qui a fait de lui un bon artisan et l'a envoyé à Paris pour se perfectionner dans son état de menuisier. À Paris, Jean-Pierre se loge dans le quartier des Écoles, où il retrouve Emmanuel, un de ses anciens camarades, étudiant en droit, qui lui fait découvrir la capitale. Il est embauché dans l'atelier de menuiserie Braconneau dont le principal ouvrier, le père Perrignon, lui fait petit à petit partager ses idées révolutionnaires. Notre héros assiste aux débuts de la Révolution de 1848 et finit par y prendre une petite part en combattant sur une barricade. Mais, plus qu'un acteur, il est pour nous un témoin de première main, relatant les seuls événements qu'il a pu voir...
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
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Le Grand-père Lebigre est une collection de souvenirs et d'anecdotes, dans lesquels le narrateur, son petit-fils Lucien, nous fait connaître un vieillard sympathique, le grand-père Lebigre. Ce dernier tient un cabinet littéraire sur la place des Acacias dans la petite ville de Sainte-Suzanne, sous Louis-Philippe. Alors que sa soeur Clarisse, confite en dévotion, accueille avec joie le retour des jésuites, son bréviaire à lui serait plutôt le Dictionnaire Philosophique de Voltaire. Le narrateur, son petit-fils Lucien, part faire ses études de droit à Paris...
En 1813, à Phalsbourg (Alsace), le jeune Joseph Bertha est le compagnon horloger du brave Monsieur Goulden. Il est amoureux de la belle et tendre Catherine qu'il pense pouvoir l'épouser bientôt. Mais, Napoléon ayant subi de terribles revers en Russie, relance la conscription, cet injuste tirage au sort servant de critère à un engagement de sept ans. Malgré qu'il soit handicapé (boiteux, il marche très mal car il a une jambe plus courte que l'autre), il n'est pas réformé. Il tire même un mauvais numéro et se retrouve pris dans des marches forcées à travers l'Allemagne puis engagé dans des batailles particulièrement sanglantes. Il sera blessé à l'épaule à la bataille de Lutzen, soigné quelque temps et renvoyé au combat dans une ambiance apocalyptique...
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