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Written by renowned French author Augustin Filon, this memoir provides an intimate glimpse into the life of Empress Eugénie, wife of Napoleon III, and her experiences during the Second Empire. Filled with fascinating anecdotes and insights into the politics and social structures of nineteenth-century France, this book is a must-read for anyone interested in the history of European royalty and aristocracy.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
... Ne serait-il pas plus simple de retenir une cabine à bord d'un bateau de la Compagnie Péninsulaire et Orientale et d'aller étudier l'Inde chez elle en la traversant de part en part de Bombay à Calcutta ? L'expérience personnelle et la vision locale ont des avantages qu'on ne peut contester et, dans un âge comme le nôtre, cette méthode est d'un emploi relativement facile. Est-elle applicable à l'Inde ? J'en doute. Pour une foule de raisons, dont quelques-unes vont être expliquées dans les pages qui suivent, l'Inde se dérobe au passant. Un touriste qui a visité les parties les plus intéressantes du pays, dans des conditions exceptionnellement favorables, c'est-à-dire avec les poches bourrées de lettres de crédit et de lettres d'introduction, rapportera de la terre des rajahs des albums pleins de croquis, des herbiers pleins d'échantillons et le souvenir des bons dîners européens faits chez les fonctionnaires anglais. Entre le sorbet et le café, on lui aura expliqué l'Inde et ce sera absolument la même chose que s'il était resté au coin de son feu et s'il s'était assimilé la littérature optimiste dont je parlais tout à l'heure...
... Ainsi, les rues de Londres ont fait l'éducation de William Hogarth. Qu'on ne méprise pas trop ce genre d'instruction: Charles Dickens étudiera à la même université. Sur l'origine et les commencements de la vocation artistique de Hogarth, on racontait plus tard, dans son entourage, quelques-unes de ces anecdotes qui plaisaient tant aux biographes d'autrefois. Laissons Orford, Ireland, Nickolls, et autres ramasseurs de miettes, recueillir pieusement ces puérils récits des lèvres de la bonne mistress Hogarth. Vrais ou apocryphes, nous ne leur accordons aucune portée. Il n'y a point de crise, d'heure décisive dans la carrière de Hogarth, aucune de ces lueurs fulgurantes qui illuminent tout à coup la route d'un homme de génie. Sa vocation est de regarder; elle date de l'instant où il a ouvert les yeux. Elle a grandi chaque jour par un progrès insensible et lent, par des additions patientes au trésor d'observations déjà recueillies...
This Is A New Release Of The Original 1898 Edition.
... Par quel miracle assurer au parti conservateur le vote des nouvelles couches ? Par quel raisonnement subtil persuader à ces douze cent mille paysans, nouveau-venus dans la vie politique, que tout est au miens dans un monde où ils ne gardent et ne consomment, eux et leurs familles, que le sixième de ce qu'ils produisent. Faut-il encore les payer de mots, les entraîner par des phrases, les leurrer avec des mensonges ? Ou ne vaut-il pas mieux, puisque aussi bien on les a invités à entrer dans la constitution, leur y faire honnêtement leur place, à eux comme à leurs frères, les travailleurs des villes ? Ne convient-il pas de les intéresser au maintien des institutions, et quelle meilleure façon de les rendre conservateurs que de leur donner quelque chose à conserver ? Cet élément de stabilité que la grande propriété donne aux gouvernements aristocratiques, la petite propriété doit l'apporter aux démocraties modernes. Vérité déjà vieille chez nous, mais qui commence seulement à poindre dans les esprits du grand nombre, en Angleterre !...
... L'Angleterre fera-t-elle l'économie d'une révolution ? Résoudra-t-elle, sans verser une goutte de sang, la question politique et la question sociale ? Une oligarchie, fondée sur la grande propriété territoriale, ayant pour organe un parlement omnipotent, s'évanouira-t-elle sans secousse, usée, amincie chaque jour, et, disparaissant enfin comme un rideau de gaze, laissera-t-elle voir un état populaire, vigoureusement décentralisé, se gouvernant lui-même, où la puissance publique sera d'autant plus forte qu'elle se retrempera sans cesse à sa source et s'exercera sans intermédiaires ? Ce n'est pas à un étranger de risquer des prophéties: c'est beaucoup pour lui s'il réussit à poser le problème dans ses termes exacts et à présenter les caractères dans leurs lignes véritables. Ce qui est certain, c'est que la tâche dont je parle est à demi accomplie, et que Chamberlain en est le plus robuste et le plus intelligent ouvrier...
J'ai essayé ici, à plusieurs reprises, d'esquisser la physionomie des hommes d'État anglais qui ont, depuis vingt-cinq ans, occupé le devant de la scène politique. M. Balfour, qui commande, depuis 1891, les forces conservatrices dans la Chambre des Communes, qui a été trois ans premier ministre et qui semble appelé à le redevenir, M. Balfour que la mort de lord Salisbury et la retraite, peut-être définitive, de M. Chamberlain ont laissé seul en vue et en avant, loin en avant de ceux qui le suivent, M. Balfour était, dès longtemps, indiqué pour figurer au premier rang dans cette galerie. J'hésitais à l'aborder parce que je craignais de ne pas le comprendre. Vu à grande distance et d'après les mille impressions contradictoires que laissent dans l'esprit les propos de la conversation courante, M. Balfour m'apparaissait comme un problème vivant, une personnalité faite d'éléments inconciliables: un réactionnaire qui prêche la démocratie, un sceptique enragé de théologie, un politicien profondément dégoûté de la politique. Laquelle de ces deux manières d'être est la vraie ? S'il est sincère, quelle énigme, et, s'il ne l'est pas, quelle comédie ! Si l'attitude est voulue, le geste artificiel, où cesse la nature, et où commence le rôle appris par coeur ? La curiosité, finalement...
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Amours Anglais: Nouvelles Augustin Filon Hachette et cie., 1888
This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
De Dumas ������ Rostand: Esquisse du Mouvement Dramatique Contemporain (1898) est un livre �����crit par Augustin Filon. L'ouvrage est une analyse compl�����te du th����������tre fran�����ais contemporain de l'�����poque, de l'�����re romantique de Dumas ������ la p�����riode moderne de Rostand. Filon explore les diff�����rentes tendances et �����volutions du th����������tre fran�����ais, en examinant les �����uvres des principaux dramaturges de l'�����poque, tels que Victor Hugo, �����mile Zola et Edmond Rostand. Il examine �����galement les styles de mise en sc�����ne, les techniques d'�����criture et les th�����mes abord�����s dans les pi�����ces de th����������tre de cette p�����riode.Le livre est consid�����r����� comme une r�����f�����rence importante pour les �����tudiants et les chercheurs en litt�����rature et en th����������tre, car il offre une perspective historique et critique sur le th����������tre fran�����ais du XIXe si�����cle.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
The Modern French Drama: Seven Essays is a collection of critical essays written by Augustin Filon, a French author and critic. The book explores the evolution of French drama from the 19th century to the early 20th century, analyzing the works of prominent playwrights such as Victor Hugo, Emile Zola, and Maurice Maeterlinck. Filon's essays delve into the social, political, and cultural contexts that influenced the development of French drama during this period. He examines the themes and styles of each playwright, as well as their impact on the theater of their time. The first essay in the collection focuses on Victor Hugo's role in shaping the modern French drama, while the second essay analyzes the naturalistic style of Emile Zola. The third essay explores the symbolism of Maurice Maeterlinck, and the fourth essay discusses the influence of Henrik Ibsen on French drama. The final three essays in the book examine the works of lesser-known playwrights, such as Paul Hervieu, Francois de Curel, and Eugene Brieux. Filon provides insightful commentary on their contributions to the French theater scene and their unique perspectives on society and culture. Overall, The Modern French Drama: Seven Essays is a valuable resource for anyone interested in the history and evolution of French drama. Filon's thoughtful analysis and engaging writing style make this book an accessible and informative read for both scholars and casual readers alike.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Le livre ""Le Theatre Anglais"" �����crit par Augustin Filon en 1896 est une �����tude approfondie sur le th����������tre anglais. L'auteur explore l'histoire du th����������tre anglais depuis ses d�����buts jusqu'������ l'�����poque contemporaine. Il examine �����galement les diff�����rentes formes de th����������tre, y compris les pi�����ces de Shakespeare, les com�����dies de la Restauration et les �����uvres modernes. Filon analyse �����galement les acteurs et les actrices les plus c�����l�����bres du th����������tre anglais, tels que Garrick, Kean et Irving. Enfin, il examine l'influence du th����������tre anglais sur la culture et la soci�����t����� britanniques. Ce livre est une lecture essentielle pour tous ceux qui s'int�����ressent ������ l'histoire du th����������tre anglais et ������ son impact sur la culture britannique.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
... Et c'est dans de telles conditions que se produirait l'ostracisme dont M. Bernard Shaw est victime ! Ce théâtre qui se meurt repousserait le seul homme qui puisse lui rendre la vie ! La chose est bizarre, si elle est vraie, et vaut la peine d'être examinée. Il faut se hâter d'étudier le phénomène, car il va cesser. La dernière pièce de M. Shaw, bien qu'écrite absolument d'après le même système que les précédentes, a entraîné le public, et toutes les autres, jusque-là confinées dans de gros volumes où très peu de gens allaient les chercher, se sont mises à vivre de la vraie vie théâtrale, entre la rampe et la toile de fond. Au moment où j'écris, il y a un théâtre à Londres, et l'un des plus fashionables, qui ne joue, cette saison, que du Bernard Shaw et qui s'en trouve bien. Bernard Shaw fait de l'argent; Bernard Shaw fait salle comble. En sorte que j'ai à expliquer ici, à la fois, et le long dédain du public et sa faveur présente qui va tourner à l'engouement...
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Une des tâches que s'est données le XIXe siècle (et, sur ce point, le XXe paraît destiné à aller encore plus loin) a été de substituer, dans la littérature et dans l'art, à la critique directe des oeuvres, d'après certains principes d'esthétique absolue, que les modernes avaient hérités d'Aristote et de Longin, l'étude psychologique des auteurs et du milieu où ils ont vécu, de la société qui les a inspirés et sur laquelle, à leur tour, ils ont agi. Pour cette nouvelle critique, - aujourd'hui seule maîtresse du terrain, - tout roman a une clef, tout poème est une confession. Rien ne caractérise mieux ces tendances que le désappointement furieux quelle éprouve en présence d'une personnalité qui se dérobe à ses investigations. Par exemple, lorsqu'elle veut soumettre Shakespeare à ses procédés de juge d'instruction, que trouve-t-elle ? Des extraits de registres baptismaux ou mortuaires, des contrats d'achat et de vente, une ligne dans l'armorial d'Angleterre et un testament qui ressemble au testament de tous les bourgeois de 1610. A côté de ces maigres documents, quelques légendes, plus ou moins apocryphes, et les Sonnets qui pourraient bien, après tout, n'être que des exercices littéraires. Cette impossibilité de réaliser, de voir Shakespeare a conduit certains de ses admirateurs dépités à lui arracher la paternité de ses drames pour la transférer à un personnage qu'ils croient mieux connaître; elle a conduit d'autres esprits, beaucoup plus avertis, à lui fabriquer une psychologie, qui est une mosaïque de traits empruntés aux héros qu'il a créés...
Il ne serait pas impossible d'écrire une histoire de la politique anglaise pendant ces trente dernières années sans y mentionner le nom d'Henry Labouchère. J'entends une certaine histoire, celle qui enregistre les faits accomplis et se fabrique avec des documents officiels, celle qui accepte les déclarations des hommes publics comme l'expression de leur pensée et leurs actes comme la conséquence de leurs principes. Labouchère, en effet, n'a été ni chef de parti, ni ministre; il n'a attaché son nom à aucune mesure législative, à aucun mouvement parlementaire; son rôle a été purement négatif. Mais, quand viendra l'heure de l'histoire définitive, qui voudra retrouver les masques sous les visages, connaître les vrais sentiments des hommes et les causes véritables de leurs actes, il faudra revenir à Labouchère, dont les boutades seront d'autant plus précieuses que les secrets de Polichinelle seront redevenus de véritables secrets...
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"Le Théâtre anglais contemporain" par Augustin Filon. Augustin Filon était un écrivain français (1841-1916).
L'Irlande aura-t-elle son parlement ? Ajournée, mais non tranchée par le vote négatif des communes d'Angleterre, la question demeure ouverte; chaque jour, chaque heure qui s'écoule en accroît l'actualité redoutable. La loi est morte, - a pu dire le premier ministre devant ses électeurs d'Edimbourg, - le principe survit. L'Ile-soeur a touché de trop près à son indépendance pour y renoncer sans lutte. Du domaine des chimères dont on sourit, l'autonomie irlandaise passe au rang des problèmes qu'il faut résoudre. Je ne prétends point traiter cette question, mais je voudrais, dans une rapide esquisse historique, montrer ce que fut l'ancien parlement de Dublin: ses origines, ses droits péniblement et graduellement conquis, sa physionomie à part et sa rhétorique spéciale, ses figures caractéristiques, ses jours mémorables, ses vicissitudes de grandeur et de décadence, couronnées par un suicide qui n'eut rien de volontaire. Le problème irlandais, qui tracasse si cruellement le parlement de Gladstone, ressemble peu, je le sais, au problème irlandais tel qu'il se posait devant le parlement de Pitt: ce sont d'autres hommes, d'autres passions, d'autres affaires...
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