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  • - Translated From the French of Camille Bellaigue
    af Camille Bellaigue
    262,95 kr.

    A fascinating exploration of the relationship between music and society, providing unique insights into the cultural context and significance of different musical forms and styles.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.

  • af Camille Bellaigue
    462,95 kr.

    Le livre intitul����� ""Psychologie Musicale Et Un Si�����cle De Musique Fran�����aise"" a �����t����� �����crit par Camille Bellaigue en 1893. Il s'agit d'un ouvrage qui traite de la psychologie de la musique et de l'�����volution de la musique fran�����aise au cours du 19�����me si�����cle. L'auteur y explore les diff�����rentes �����motions et sensations que la musique peut susciter chez l'auditeur, ainsi que les techniques et les styles musicaux qui ont marqu����� cette p�����riode en France. Le livre est divis����� en plusieurs parties, chacune abordant un aspect diff�����rent de la musique fran�����aise, depuis le classicisme jusqu'au romantisme. Camille Bellaigue y partage �����galement ses r�����flexions personnelles sur la musique et son impact sur la soci�����t����� de son �����poque. Ce livre constitue une r�����f�����rence importante pour les �����tudiants et les passionn�����s de musique qui souhaitent approfondir leur connaissance de l'histoire et de la psychologie de la musique fran�����aise.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    " Le p. Gralry a parlé dans les Sources de cet unique travail que l'oracle imposait à Socrate dans sa prison, pendant les quelques jours qui le séparaient de la mort, lorsqu'il lui dit ce mot que nous ne savons pas traduire: Ne faites plus que de la musique; mot qui doit signifier qu'il faut finir sa vie dans l'harmonie sacrée. Ce travail unique a été tout le travail du P. Gratry, le travail de son esprit et de son coeur. Il a pratiqué, dans le sens le plus étendu et le plus noble, le précepte qu'il croyait ne pas savoir traduire, et sa vie ne s'est pas seulement achevée dans l'harmonie: elle s'y est écoulée tout entière. Harmonie de l'homme avec lui-même: accord entre les divers modes de connaître, entre les divers objets de la connaissance, entre les sciences, ou plutôt la science comparée, et la foi; harmonie de tous les hommes et de tous les peuples entre eux par la commune obéissance aux lois évangéliques de justice et de charité tels sont les cercles toujours élargis et comme dilatés, que le P. Gratry a remplis de lumière par sa pensée et de chaleur par son amour..."

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    " ... Son caractère est ouvert, gai, vif quelquefois jusqu'à la pétulance, un peu mobile, néanmoins excellent. À tout considérer, c'est un enfant aimable, qui donnera de la satisfaction à ses maîtres et deviendra la consolation et l'orgueil de sa mère. Voilà le premier portrait de Gounod. Daté du 30 mars 1829, il est signé d'Hallays-Dabot, directeur de la pension que l'écolier de onze ans quittait alors pour entrer au lycée Saint-Louis. Quelques mois plus tard, le soir de la Saint-Charlemagne, après deux heures d'attente sous la neige de janvier, le petit garçon pénétrait pour la première fois dans la salle du Théâtre-Italien. Il y entendit Otello, et la musique lui fut révélée. Par quelle page de l'oeuvre ? On aime à croire que ce fut par la plus belle, par l'immortelle plainte qu'avec admiration, peut-être avec reconnaissance, Gounod devait rappeler un jour, en invoquant sur la tombe de Rossini le triste et doux gondolier de Desdemona ..."

  • af Camille Bellaigue
    283,95 kr.

    This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.

  • af Camille Bellaigue
    324,95 - 463,95 kr.

    This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.

  • af Camille Bellaigue
    137,95 kr.

    " Le p. Gralry a parlé dans les Sources de cet unique travail que l'oracle imposait à Socrate dans sa prison, pendant les quelques jours qui le séparaient de la mort, lorsqu'il lui dit ce mot que nous ne savons pas traduire : Ne faites plus que de la musique ; mot qui doit signifier qu'il faut finir sa vie dans l'harmonie sacrée. Ce travail unique a été tout le travail du P. Gratry, le travail de son esprit et de son c¿ur. Il a pratiqué, dans le sens le plus étendu et le plus noble, le précepte qu'il croyait ne pas savoir traduire, et sa vie ne s'est pas seulement achevée dans l'harmonie : elle s'y est écoulée tout entière.Harmonie de l'homme avec lui-même : accord entre les divers modes de connaître, entre les divers objets de la connaissance, entre les sciences, ou plutôt la science comparée, et la foi ; harmonie de tous les hommes et de tous les peuples entre eux par la commune obéissance aux lois évangéliques de justice et de charité : tels sont les cercles toujours élargis et comme dilatés, que le P. Gratry a remplis de lumière par sa pensée et de chaleur par son amour..."

  • af Camille Bellaigue
    137,95 kr.

    "... Nietzsche d'abord est le plus proche de nous. Quelques-uns d'entre nous peuvent encore le revoir en personne à travers ses ouvrages et retrouver dans ses écrits l'accent avec le timbre, - musical, dit-on, - de sa voix. Et parce qu'il fut notre contemporain, il eut sur ses devanciers, même les plus éminents, sur un Hegel, par exemple, l'avantage de connaître toute musique, y compris celle d'un âge musical entre tous, le nôtre, et de pouvoir ainsi fonder, élever sur une base pratique plus large l'appareil ou l'édifice idéal de ses spéculations..."

  • af Camille Bellaigue
    147,95 kr.

    "... Music is the food of love, la musique est l'aliment de l'amour, a dit Shakspeare. Langue que pour l'amour inventa le génie, a dit Musset. Avec moins de poésie et plus de finesse, Berlioz a remarqué que, si l'amour ne pouvait donner aucune idée dis la musique, la musique, au contraire, pouvait donner une certaine idée de l'amour. Oui, sans doute, une idée de l'amour, et même des idées d'amour ; elle exprime l'amour, et l'inspire.Il n'est pas étonnant que l'amour tienne dans la musique plus de place que dans les autres arts. d'abord la peinture, la sculpture, l'architecture, savent exprimer des idées et des faits. La musique, non pas ; les sentimens seuls sont de son domaine, et, de tous les sentimens, le premier, à l'ancienneté comme au choix, c'est l'amour. De plus, les sons produisent sur les nerfs un effet spécial que ne produisent ni les formes ni les couleurs, et la musique est de la sorte à la fois conseillère et interprète d'amour..." C.B.

  • af Camille Bellaigue
    147,95 kr.

    "...On comprend qu'au spectacle du monde physique, intellectuel et moral les philosophes aient conçu l'idée de l'évolution, et qu'ils aient dit: le changement est la loi. La nature extérieure, l'esprit et le c¿ur humain sont dans un perpétuel devenir ; hommes et choses semblent entraînés par un mouvement, par une tendance incessante. Toutes les grandes voies de l'humanité sont faites d'étapes successives et toujours renouvelées ; semées, comme les voies romaines, de pierres où les passans se reposent avant de repartir. Il est des passans qui ne reprennent pas leur chemin, qui tombent pour ne plus se relever. Les civilisations, les religions, les arts peuvent mourir; mais la civilisation, la religion et l'art ne meurent jamais. Leurs formes passagères s'usent, comme les sandales d'un éternel voyageur ; le voyageur marche toujours. Il sait que la course est longue, mais qu'un jour peut-être il touchera la terre promise..." C.B.

  • af Camille Bellaigue
    147,95 kr.

    " ... Son caractère est ouvert, gai, vif quelquefois jusqu'à la pétulance, un peu mobile, néanmoins excellent. À tout considérer, c'est un enfant aimable, qui donnera de la satisfaction à ses maîtres et deviendra la consolation et l'orgueil de sa mère. Voilà le premier portrait de Gounod. Daté du 30 mars 1829, il est signé d'Hallays-Dabot, directeur de la pension que l'écolier de onze ans quittait alors pour entrer au lycée Saint-Louis. Quelques mois plus tard, le soir de la Saint-Charlemagne, après deux heures d'attente sous la neige de janvier, le petit garçon pénétrait pour la première fois dans la salle du Théâtre-Italien. Il y entendit Otello, et la musique lui fut révélée. Par quelle page de l'¿uvre ? On aime à croire que ce fut par la plus belle, par l'immortelle plainte qu'avec admiration, peut-être avec reconnaissance, Gounod devait rappeler un jour, en invoquant sur la tombe de Rossini le triste et doux gondolier de Desdemona ..."" ... Son caractère est ouvert, gai, vif quelquefois jusqu'à la pétulance, un peu mobile, néanmoins excellent. À tout considérer, c'est un enfant aimable, qui donnera de la satisfaction à ses maîtres et deviendra la consolation et l'orgueil de sa mère. Voilà le premier portrait de Gounod. Daté du 30 mars 1829, il est signé d'Hallays-Dabot, directeur de la pension que l'écolier de onze ans quittait alors pour entrer au lycée Saint-Louis. Quelques mois plus tard, le soir de la Saint-Charlemagne, après deux heures d'attente sous la neige de janvier, le petit garçon pénétrait pour la première fois dans la salle du Théâtre-Italien. Il y entendit Otello, et la musique lui fut révélée. Par quelle page de l'¿uvre ? On aime à croire que ce fut par la plus belle, par l'immortelle plainte qu'avec admiration, peut-être avec reconnaissance, Gounod devait rappeler un jour, en invoquant sur la tombe de Rossini le triste et doux gondolier de Desdemona ..."

  • af Camille Bellaigue
    147,95 kr.

    " En 1524 selon le témoignage déjà ancien de l'abbé Baini, en 1526 d'après les plus récentes recherches du docteur Haberl, Clément VII étant pape et Charles-Quint empereur, naquit à Palestrina, au pied des montagnes de Sabine, l'enfant qui devait faire un jour sien et célèbre à jamais le nom de sa ville natale. Il s'appelait Giovanni Pierluigi. Ses parents, Santi Pierluigi et Maria Ghismondi, étaient de petits bourgeois et possédaient un peu de bien : une maisonnette avec quelques châtaigniers, sur les pentes escarpées d'où la bourgade qui fut Préneste regarde encore les horizons romains..."

  • af Camille Bellaigue
    249,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Camille Bellaigue
    241,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Camille Bellaigue
    350,95 kr.

    This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    " En 1524 selon le témoignage déjà ancien de l'abbé Baini, en 1526 d'après les plus récentes recherches du docteur Haberl, Clément VII étant pape et Charles-Quint empereur, naquit à Palestrina, au pied des montagnes de Sabine, l'enfant qui devait faire un jour sien et célèbre à jamais le nom de sa ville natale. Il s'appelait Giovanni Pierluigi. Ses parents, Santi Pierluigi et Maria Ghismondi, étaient de petits bourgeois et possédaient un peu de bien: une maisonnette avec quelques châtaigniers, sur les pentes escarpées d'où la bourgade qui fut Préneste regarde encore les horizons romains..."

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    Nous nous proposons d'étudier ici non pas un élément de la musique: récitatif, mélodie ou polyphonie; mais un genre musical où se rencontrent, soit isolés, soit ensemble, ces éléments divers. L'ordre du sentiment religieux, ou, comme eût dit Renan, la catégorie du divin, comporte en musique deux modes principaux d'expression. Le chant grégorien et la polyphonie vocale alla Palestrina constituent, - nous l'avons vu naguère, - la musique liturgique ou d'église. Plus libre, bien que parfois aussi sainte; faite au commencement pour le théâtre, ensuite pour le concert, plutôt que pour le culte (bien qu'elle y ait été parfois associée), la musique sacrée va nous occuper maintenant. Elle consiste surtout dans la Cantate et l'Oratorio. Bach et Hændel en furent les dieux au XVIIIe siècle. Au XVIIe, Schütz et Carissimi avaient été leurs précurseurs, et leur prophète, en la dernière année du XVIe, est Emilio del Cavalière...

  • - Et Nouvelles Silhouettes De Musiciens (1898)
    af Camille Bellaigue
    373,95 kr.

    Le livre ""Etudes Musicales: Et Nouvelles Silhouettes De Musiciens (1898)"" de Camille Bellaigue est une collection d'essais sur la musique et les musiciens de son �����poque. L'auteur explore diff�����rents aspects de la musique, tels que la composition, l'interpr�����tation et la th�����orie musicale, tout en pr�����sentant des portraits de musiciens c�����l�����bres tels que Wagner, Chopin et Berlioz. Bellaigue offre �����galement des commentaires sur la musique contemporaine et les tendances �����mergentes de son temps. Ce livre est une ressource pr�����cieuse pour les �����tudiants de musique et les amateurs de musique qui cherchent ������ approfondir leur compr�����hension de l'histoire de la musique et des musiciens.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.

  • af Camille Bellaigue
    224,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Camille Bellaigue
    303,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    " S'il n'est jamais indifférent de savoir ce que de grands penseurs, - les plus grands, auxquels rien d'humain n'est étranger, - ont pensé de la musique, Frédéric Nietzsche est peut-être celui dont le cas musical, pour parler son propre langage, est le plus digne de nous intéresser et même de nous émouvoir. Nietzsche d'abord est le plus proche de nous. Quelques-uns d'entre nous peuvent encore le revoir en personne à travers ses ouvrages et retrouver dans ses écrits l'accent avec le timbre, - musical, dit-on, - de sa voix. Et parce qu'il fut notre contemporain, il eut sur ses devanciers, même les plus éminents, sur un Hegel, par exemple, l'avantage de connaître toute musique, y compris celle d'un âge musical entre tous, le nôtre, et de pouvoir ainsi fonder, élever sur une base pratique plus large l'appareil ou l'édifice idéal de ses spéculations. À ce premier attrait qu'elle nous offre: le voisinage, la figure musicale de Nietzsche en ajoute un second: l'unité. J'entends par là que, malgré la rupture éclatante qui partage en deux la pensée de Nietzsche musicien et qui la divise ou la retourne contre elle-même, cette pensée garde jusqu'au bout un objet et comme un pôle unique. Une force agit sur elle en un sens, puis dans le sens contraire; mais c'est la même force, qui l'attire et la repousse tour à tour. L'évolution ou la révolution esthétique de Nietzsche s'est accomplie autour du génie de Wagner et comme dans son orbite, et pour la première fois peut-être on a, pu voir un philosophe, un métaphysicien de la musique se dévouer tout entier à la gloire, puis à la ruine d'un seul musicien..."

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    "... Music is the food of love, la musique est l'aliment de l'amour, a dit Shakspeare. Langue que pour l'amour inventa le génie, a dit Musset. Avec moins de poésie et plus de finesse, Berlioz a remarqué que, si l'amour ne pouvait donner aucune idée dis la musique, la musique, au contraire, pouvait donner une certaine idée de l'amour. Oui, sans doute, une idée de l'amour, et même des idées d'amour; elle exprime l'amour, et l'inspire. Il n'est pas étonnant que l'amour tienne dans la musique plus de place que dans les autres arts. d'abord la peinture, la sculpture, l'architecture, savent exprimer des idées et des faits. La musique, non pas; les sentimens seuls sont de son domaine, et, de tous les sentimens, le premier, à l'ancienneté comme au choix, c'est l'amour. De plus, les sons produisent sur les nerfs un effet spécial que ne produisent ni les formes ni les couleurs, et la musique est de la sorte à la fois conseillère et interprète d'amour..." C.B.

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    "...On comprend qu'au spectacle du monde physique, intellectuel et moral les philosophes aient conçu l'idée de l'évolution, et qu'ils aient dit: le changement est la loi. La nature extérieure, l'esprit et le coeur humain sont dans un perpétuel devenir; hommes et choses semblent entraînés par un mouvement, par une tendance incessante. Toutes les grandes voies de l'humanité sont faites d'étapes successives et toujours renouvelées; semées, comme les voies romaines, de pierres où les passans se reposent avant de repartir. Il est des passans qui ne reprennent pas leur chemin, qui tombent pour ne plus se relever. Les civilisations, les religions, les arts peuvent mourir; mais la civilisation, la religion et l'art ne meurent jamais. Leurs formes passagères s'usent, comme les sandales d'un éternel voyageur; le voyageur marche toujours. Il sait que la course est longue, mais qu'un jour peut-être il touchera la terre promise..." C.B.

  • af Camille Bellaigue
    112,95 kr.

    Voici le dernier âge de la musique. J'entends sa forme la plus récente, celle d'hier, celle encore d'aujourd'hui, sinon peut-être, comme on l'a trop dit, celle de l'avenir, ou seulement (déjà certains signes le montrent) celle de demain. Le nom d'opéra symphonique, mieux que celui de drame lyrique, nous paraît propre à désigner le genre que nous allons étudier. Un opéra, par définition, et par une définition aussi large qu'ancienne, c'est toute pièce, toute action, sérieuse, tragique même, ou légère, - Tristan comme Falstaff, le Barbier de Séville ou Fidelio, - représentée par les sons. De plus, il semble bien que cette expression: lyrique, risque de conserver au lyrisme, c'est-à-dire au chant pour le chant, à la mélodie autonome, une part que, dans le drame musical, elle ne possède plus. L'épithète de symphonique, au contraire, met tout de suite au premier rang, dans le titre, l'élément qui, dans la réalité, s'est fait la première place. Ainsi les mots s'accordent mieux avec les choses. Ils leur ressemblent davantage. La poésie elle-même ne s'y est pas trompée...

  • af Camille Bellaigue
    173,95 kr.

    " Le 4 août dernier, quand le Conclave, par un vote qüon n¿attendait pas, donna pour successeur au Pape Léon XIII le cardinal Sarto, les musiciens ne furent pas les derniers à se réjouir. Une cause qui leur est chère deux fois, étant deux fois sacrée, avait trouvé naguère dans le patriarche de Venise un de ses plus fervens et de ses plus heureux défenseurs. On aimait à penser que le Pontife universel s¿en déclarerait bientôt le juge unique et souverain. C¿est aujourd¿hui chose faite. En cette importante matière, le nouveau Pape a confirmé, bien plus, étendu ses promesses anciennes et rempli toutes les espérances. « In peritiâ suâ requirentes modos musicos. » Recherchant lui aussi dans sa sagesse les modes de la musique. Pie X a déjà mérité l¿hommage que rendait l¿Ecclésiaste aux chefs du peuple de Dieu."

  • af Camille Bellaigue
    235,95 - 338,95 kr.

  • af Camille Bellaigue
    338,95 kr.

  • af Camille Bellaigue
    182,95 - 302,95 kr.

  • af Camille Bellaigue
    181,95 - 301,95 kr.

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