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Bøger af Donatien Alphonse François de Sade

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  • af Donatien Alphonse François de Sade
    237,95 kr.

    e Marquis était là, il nous encourageait en tripotant, maniant, baisant tout ce que nous mettions au jour l'un et l'autre. Je me présente... je veux au moins quelques apprêts; gardez-vous en bien, me dit le Marquis, vous ôteriez la moitié des sensations que Dolmancé attend de vous; il veut qu'on le pourfende... il veut qu'on le déchire; il sera satisfait, dis-je, en me plongeant aveuglément dans le gouffre... et tu crois peut-être, ma soeur, que j'eus beaucoup de peine... pas un mot; mon vit, tout énorme qu'il est, disparut sans que je m'en doutasse, et je touchais le fond de ses entrailles sans que le bougre eût l'air de le sentir. Je traitai Dolmancé en ami, l'excessive volupté qu'il goûtait, ses frétillemens, ses propos délicieux, tout me rendit bientôt heureux moi-même, et je l'inondai.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    397,95 kr.

    Granwel vole aussi-tôt chez le maître du carrosse, qui doit être loué à Henriette, et obtient facilement qu'une roue de ce carrosse se brisera à trois ou quatre rues de distance du point où doivent partir ces dames, et sans réfléchir qu'un tel accident peut coûter la vie à celle qu'il chérit; uniquement occupé de son stratagême, il en paie largement l'exécution, et revient tout joyeux chez lui, d'où il repart à l'heure juste où l'on lui apprend qu'Henriette doit sortir, en ordonnant au cocher qui le conduit, d'aller attendre aux environs de Cecil-Stret, qu'un carrosse de telle et telle manière sorte de chez lady Wateley, de suivre immédiatement cette voiture dès qu'il la verra, et de ne se laisser couper par aucune autre. Granwel se doutait bien qu'en sortant de chez lady Wateley, les dames iraient prendre Williams à l'hôtel de Pologne. On n'y manqua pas; mais on ne fut pas loin sans aventure; la roue casse...

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    327,95 kr.

    Allons, allons, que tout se calme, je les prends tous trois sous mon aîle, et si la moindre infortune les menace encore, j'y expose plutôt ma tête que de les en voir accablés l'un ou l'autre; et tous les bras unanimement, se sont tournés vers ce tendre et honnête militaire; on l'a entouré, on l'a remercié, caressé; madame de Blamont dans l'excès de sa joie, lui a sauté au col, et lui a dit: Ô mon cher comte, oui, ou vous ne m'avez jamais aimée, ou vous arracherez au malheur ces trois intéressantes créatures. - J'en donne ma parole, a répondu le comte tout ému, et comment ne l'entreprendrais-je pas, quand je vois autour de moi, l'hymen, l'amour et l'amitié m'en conjurer au nom de tous leurs droits; Kermeuil est mon ami depuis trente ans, nous avons guerroyé ensemble en Allemagne, en Corse... Ce sont les cent mille écus qui le désespèrent...

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    367,95 kr.

    L'impuissance où est l'entendement humain, par rapport à la faculté de se connaître lui-même, vient moins de l'inexplicabilité de l'énigme, que de la manière dont elle est proposée. D'anciens préjugés ont prévenu l'homme contre sa propre nature; il veut être ce qu'il n'est pas; il s'épuise en efforts pour se trouver dans une sphère illusoire, et qui, quand même elle existerait, ne saurait être la sienne. Comment, d'après cela, peut-il se retrouver ? N'a-t-on donc pas suffisamment démontré le mécanisme de l'instinct chez les bêtes, par le seul moyen de l'accord parfait de leurs organes ? L'expérience ne nous prouve-t-elle pas que l'instinct, dans ces mêmes bêtes, s'affaiblit en raison de l'altération qui survient en elles, soit par accident, soit par vieillesse, et que l'animal est enfin détruit, quand cesse l'harmonie dont il n'était que le résultat ? Comment peut-on s'aveugler au point de ne pas reconnaître que ce qui arrive chez nous est absolument la même chose ? Ce que vous venez de faire souffrir à cette femme dont voilà le cadavre sous vos yeux, ne vous le prouve-t-il pas évidemment ?

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    122,95 kr.

    Aline et Valcour, roman épistolaire, a pour sujet l'amour vertueux entre deux jeunes gens. La mère de la demoiselle approuve cette relation vertueuse, tandis que le père, libertin, tente de débrider sa fille par tous les moyens. Sade a toujours été un auteur clandestin. Il ne publia des textes sous son nom que vers la fin de sa vie. Sa liberté de penser, son athéisme et sa plume lui ont valu vingt-sept années d'emprisonnement, et ses ouvres pornographiques, objets de scandale et d'effroi, ont été systématiquement interdites à leur parution.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    122,95 kr.

    En dépit d'avoir été écrit après les 120 journées de Sodome de Sade ou l'école du libertinage et Justine, la collection présente peu de l'affichage graphique, la torture élaborée et le sadisme général qui caractérisent généralement l'écriture de Sade. Les histoires vont de contes anecdotiques simples avec des tours d'intrigue à une comédie intelligente et même à une littérature fantastique. Néanmoins, le dédain de la religion, de la moralité et du gouvernement français de Sade reste néanmoins, tout comme son récit à thème sexuel et son dévouement à la nature comme excuse pour les voies du libertin.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    297,95 kr.

    Avec quelques patenotres, dévotement récitées au bas de son autel, on était sûr de la béatitude céleste. Résolu de tout hasarder, je m'approchai de l'artiste, et après quelques génuflexions préliminaires, je demandai à cet homme, s'il avait autant de foi que ces dames au crédit de la sainte qu'il rajustait. Je suis étrangère dans cette maison, ajoutai-je, et je serais bien aise d'entendre raconter par vous quelques hauts faits de cette bienheureuse. - Bon, dit le sculpteur, en riant, et croyant pouvoir parler avec plus de franchise, d'après le ton qu'il me voyait prendre avec lui. - Ne voyez-vous pas bien que ce sont des béguines, qui croyent tout ce qu'on leur dit. Comment voulez-vous qu'un morceau de bois fasse des choses extraordinaires ? Le premier de tous les miracles devrait être de se conserver, et vous voyez bien qu'elle n'en a pas la puissance, puisqu'il faut que je la raccommode. Vous ne croyez pas à toutes ces momeries-là, vous, mademoiselle. - Ma foi, pas trop, répondis-je; mais il faut bien faire comme les autres.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    377,95 kr.

    S'étant nommé à Cécile, il ne doute pas qu'elle ne mande à ce Saint-Surin, dont elle lui a vanté la fidélité, quelle est la personne qui vient s'intéresser à son sort. Il remet en conséquence sa lettre, et Saint-Surin ne l'a pas plutôt lue, qu'il s'écrie avec une sorte d'émotion dont il n'est pas le maître... quoi ! c'est vous, monsieur ?... c'est monsieur Dorgeville qui est le protecteur de notre malheureuse maîtresse. Je vais vous annoncer à ses parens, monsieur; mais je vous préviens qu'ils sont cruellement en colère; je doute que vous réussissiez à les raccommoder avec leur fille; quoiqu'il en soit, monsieur, continua Saint-Surin, qui paraissait un garçon d'esprit, et d'une figure agréable, ce procédé fait trop d'honneur à votre âme pour que je ne vous mette pas le plutôt possible à même d'en hâter le succès... Saint-Surin monte aux appartemens, il prévient à l'instant ses maîtres, et reparaît au bout d'un quart-d'heure. On consentait à voir monsieur Dorgeville, puisqu'il s'était donné la peine de venir d'aussi loin pour une telle affaire; mais on était d'autant plus peiné qu'il s'en fût chargé, qu'on ne voyait aucun moyen de lui accorder ce qu'il venait solliciter en faveur d'une fille maudite, et qui méritait son sort par l'énormité de sa faute.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    277,95 kr.

    Mais de tous les désagrémens qu'elle eut à essuyer dans les commencemens de sa malheureuse histoire, nous ne citerons que celui qu'elle éprouva chez Dubourg, un des plus durs, comme l'un des plus riches traitans de la capitale. La femme chez qui Justine logeait, l'avait adressée chez lui comme chez quelqu'un dont le crédit et les richesses pouvaient le plus sûrement adoucir la rigueur de son sort; après avoir attendu très-long-tems dans l'anti-chambre, on introduisit à la fin Justine. M. Dubourg, gros, court et insolent comme tous les financiers, sortait de son lit, entortillé d'une robe de chambre flottante qui cachait à peine son désordre; on s'apprêtait à le coîffer, il fit retirer son monde, et s'adressant à la jeune fille, que me demandez-vous, mon enfant, lui dit-il ? Monsieur, lui répondit notre petite niaise, toute confuse, je suis une pauvre orpheline à peine âgée de quatorze ans, et qui connais déjà toutes les nuances de l'infortune; j'implore votre commisération, ayez pitié de moi, je vous conjure, et Justine, les larmes aux yeux, détaille avec intérêt au vieux scélérat les maux qu'elle endure, les difficultés qu'elle a de trouver une place...

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    267,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    267,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    297,95 kr.

    Il semble que ces inspirations secrètes nous parviennent d'une source plus pure que les événements ordinaires de la vie; et le penchant à la religion, qu'affaiblissent les passions, mais qu'elles n'absorbent jamais, nous ramène constamment à l'idée que, tout ce qui est surnaturel nous venant de Dieu, nous sommes, malgré nous, entraînés à ce genre de superstition, que la philosophie réprouve, et qu'adopte en pleurant le malheur. Mais, au fait, où serait donc le ridicule de croire que la nature, qui nous avertit de nos besoins, qui nous console si tendrement de nos maux, qui nous donne tant de courage pour les supporter, n'aurait pas également une voix qui nous en ferait redouter l'approche ? Quoi ! celle qui agit à tout moment en nous, celle qui nous indique si bien tout ce qui peut nous conserver ou nous nuire, ne pourrait pas également nous prévenir de ce qui tend à notre destruction, ou de ce qui y touche ? Je sais très bien qu'on traitera ces raisonnements de paradoxes absurdes; mais je sais très bien aussi qu'on ne parviendra pas à le prouver.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    262,95 kr.

    Mon pere a parlé en maître, il veut être obéi. Un parti se présente, ce parti lui convient, cela suffit ce n'est pas mon aveu qu'il demande, c'est son intérêt qu'il consulte, et le sacrifice entier de tous mes sentimens doit être fait à ses caprices. N'accusez point ma mère, il n'y a rien qu'elle n'ait dit, rien qu'elle n'ait fait, rien qu'elle n'imagine encore... Vous savez comme elle aime sa fille, et vous n'ignorez pas non plus les sentimens de tendresse qu'elle éprouve pour vous... Nos larmes se sont mêlées... Le barbare les a vues, et n'en a point été attendri... Ô mon ami ! je crois que l'habitude de juger les autres, rend nécessairement dur et cruel. C'est un parti convenable, madame, a-t-il dit en fureur à ma mère: je ne souffrirai point que ma fille le manque, d'Olbourg est mon ami depuis vingt-cinq ans, et il a cent mille écus de rente; toutes vos petites considérations peuvent-elles balancer un argument de cette force ? Épouse-t-on par amour aujourd'hui ?

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    342,95 kr.

    Sa femme le suivit un mois après au tombeau. Deux parents froids et éloignés délibérèrent sur ce qu'ils feraient des jeunes orphelines; leur part d'une succession absorbée par les créances se montait à cent écus pour chacune. Personne ne se souciant de s'en charger, on leur ouvrit la porte du couvent, on leur remit leur dot, les laissant libres de devenir ce qu'elles voudraient.Mme de Lorsange, qui se nommait pour lors Juliette, et dont le caractère et l'esprit étaient, à fort peu de chose près, aussi formés qu'à trente ans, âge qu'elle atteignait lors de l'histoire que nous allons raconter, ne parut sensible qu'au plaisir d'être libre, sans réfléchir un instant aux cruels revers qui brisaient ses chaînes. Pour Justine, âgée, comme nous l'avons dit, de douze ans, elle était d'un caractère sombre et mélancolique, qui lui fit bien mieux sentir toute l'horreur de sa situation. Douée d'une tendresse, d'une sensibilité surprenante, au lieu de l'art et de la finesse de sa soeur, elle n'avait qu'une ingénuité, une candeur qui devaient la faire tomber dans bien des pièges.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    252,95 kr.

    Mais vous objectent encore les sots et les populateurs, ce qui est synonime, ce sperme productif ne peut être placé dans vos reins à aucun autre usage que pour celui de la propagation, l'en détourner est une offense, je viens d'abord de prouver que non, puisque cette perte n'équivaudroit même pas à une destruction et que la destruction bien plus importante que la perte, ne seroit pas elle-même un crime; secondement il est faux que la nature veuille que cette liqueur spermatique soit absolument et entiérement destinée à produire, si cela étoit, non-seulement, elle ne permettroit pas que cet écoulement eût lieu dans toute autre cas, comme nous le prouve l'expérience, puisque nous la perdons, et quand nous voulons et où nous voulons, et ensuite elle s'opposeroit à ce que ces pertes eussent lieu sans coït, comme il arrive et dans nos rêves et dans nos souvenirs; avare d'une liqueur aussi précieuse, ce ne seroit jamais que dans le vase de la propagation qu'elle en permetroit l'écoulement; elle ne voudroit assurément pas que cette volupté dont elle nous couronne alors, put être ressentie, quand nous détournerions l'hommage.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    277,95 kr.

    Nous n'en sommes pas moins sensibles l'une et l'autre, les chocs violens ébranlent également nos ames, mais ceux qui arrivent à la mienne ne sont pas de l'espèce qui convient à la vôtre. Combien de fois d'ailleurs, ne recevons-nous nos impressions que de l'habitude des préjugés ? Comment alors les sensations d'une ame accoutumée à vaincre le préjugé et à secouer les chaines de l'habitude, seront-elles semblables à celles d'une ame livrée à l'empire de ses causes. Il ne s'agirait dans ce cas que d'avoir de la philosophie pour recevoir des impressions très-singulières, et par conséquent, pour étendre étonnamment la sphère de ses jouissances. On ne saurait croire ce qu'on trouverait peut-être au delà des débris de tous ces freins vulgaires; tant que nous soumettons la nature à nos petites vues, tant que nous l'enchaînons à nos vils préjugés, les confondant toujours avec sa voix, nous n'apprendrons jamais à la connaître; qui sait s'il ne faut pas la dépasser beaucoup pour entendre ce qu'elle veut nous dire.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    297,95 kr.

    Une des vieilles garrottait sur la machine celle qui devait passer ce jour-là; on l'avertissait, il ouvrait la porte du cabinet, se branlait un moment en face du con, invectivait la femme, jurait, haletait, enconnait, poussait de très-grands cris pendant la jouissance, et finissait par beugler comme un taureau à l'instant de l'éjaculation. Il sortait de là sans jeter seulement un regard sur la femme, et recommençait ainsi trois ou quatre fois dans les vingt - quatre heures, toujours avec la même. Le lendemain, une autre succédait, et ainsi de suite. Quand aux épisodes, ils se ressemblaient également; un grand flegme, une jouissance fort longue, des cris, des blasphêmes et du foutre, c'était toujours la même chose. Voilà donc l'homme qui allait cueillir une rose... un peu flétrie, on s'en souvient, au moyen des cruelles tentatives de Saint-Florent; mais bien rafraîchie, bien refermée par l'effet d'une aussi longue abstinence, ce qui, sous plus d'un rapport, pouvait encore donner à cette jolie fleur toute la physionomie d'un pucelage.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    342,95 kr.

    Il me restait le moyen de les victimer; et le plaisir d'arrêter le cours de l'existence de deux aussi jolies petites créatures valait encore mieux que celui de la leur rendre agréable par la connaissance des plaisirs. Ma poche, toujours remplie de cinq ou six sortes de poisons, m'offrait différentes manières de leur ravir le jour; mais le coup, selon moi, n'eut pas été aussi sensible pour une mère tendre et idolâtre de ses filles: je voulais une mort plus frappante, infiniment plus prompte; le sein des vagues sur lequel nous flottions me présentait pour elles un sépulchre où j'aimais mieux les engloutir. Ces deux jeunes personnes avaient l'imprudence (et j'étais bien étonné qu'on ne les en eût pas encore empêché) d'aller s'asseoir sur le bord du tillac, pendant que l'équipage faisait la méridienne. Le troisième jour de notre traversée, je saisis l'instant; je les approche; et, les enlevant toutes deux à brasse-corps, en empêchant leurs mains de s'attacher à moi, je les culbute d'un bras vigoureux dans l'élément salé qui doit les ensevelir à jamais. La sensation fut si vive, que j'en déchargeai dans mes culottes.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    390,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    303,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    358,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade
    282,95 kr.

  • af Donatien Alphonse François de Sade & Marquis de Sade
    72,95 kr.

    Med sine ekstreme grænseoverskridende skildringer af seksuelle udskejelser forener Marquis de Sade filosofisk fortælling og grusomt pornografiske scenarier.»De Sades værk er helt uomgængeligt hvis man vil forske i forholdet mellem lysten og loven og i det store frigørelsesprojekt som stadig er drivkraften i vor kultur... Mere end velkomment at disse tre fortællinger nu foræres det danske læsepublikum i en oversættelse der formår at fastholde de Sade i en på én gang antikveret og obskønt aktuel sprogtone.« - Information

  • - Oxtiern Ou Les Malheurs Du Libertinage: Pages Choisies, Comprenant Des Morceaux Inedits
    af Donatien Alphonse François de Sade
    247,95 kr.

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