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Eiros.- ¿Por qué me llamas Eiros? Charmion.- Asà te llamarás desde ahora y para siempre. A tu vez, debes olvidar mi nombre terreno y llamarme Char-mion. Eiros.- ¡Esto no es un sueño! Charmion.- Ya no hay sueños entre nosotros; pero deje-mos para después estos misterios. Me alegro de verte dueño de tu razón, y tal como si estuvieras vivo. EIROS. Why do you call me Eiros? CHARMION. So henceforth will you always be called. You must forget, too, my earthly name, and speak to me as Charmion. EIROS. This is indeed no dream! CHARMION. Dreams are with us no more;-but of these mysteries anon. I rejoice to see you looking life-like and rational. The film of the shadow has already passed from off your eyes. Be of heart and fear nothing. Your allotted days of stupor have expired; and, to-morrow, I will myself induct you into the full joys and wonders of your novel existence.
During the fall of the year 1827, while residing near Charlottesville, Virginia, I casually made the acquaintance of Mr. Augustus Bedloe. This young gentleman was remarkable in every respect, and excited in me a profound interest and curiosity. I found it impossible to comprehend him either in his moral or his physical relations. Of his family I could obtain no satisfactory account. Whence he came, I never ascertained. Even about his age-although I call him a young gentleman-there was something which perplexed me in no little degree. He certainly seemed young-and he made a point of speaking about his youth-yet there were moments when I should have had little trouble in imagining him a hundred years of age. But in no regard was he more peculiar than in his personal appearance.
Edgar Allan Poe's only novel, The Narrative of Arthur Gordon Pym of Nantucket is a pivotal work in which Poe calls attention to the act of writing and to the problem of representing the truth. It is an archetypal American story of escape from domesticity tracing a young man's rite of passage through a series of terrible brushes with death during a fateful sea voyage. Included are eight related tales which further illuminate Pym by their treatment of persistent themes--fantastic voyages, gigantic whirlpools, and premature burials--as well as its relationship to Poe's art and life Edgar Allan Poe born Edgar Poe; January 19, 1809 - October 7, 1849, was an American writer, editor, and literary critic. Poe is best known for his poetry and short stories, particularly his tales of mystery and the macabre. Widely regarded as a central figure of Romanticism in the United States and American literature as a whole, he was one of the country's earliest practitioners of the short story. Poe is generally considered the inventor of the detective fiction genre and is further credited with contributing to the emerging genre of science fiction.[1] He was the first well-known American writer to try to earn a living through writing alone, resulting in a financially difficult life and career.
UNA.- ¿Renacida? MONOS.-SÃ, mi hermosa y más amada Una. Ãsta era la palabra, sobre cuyo mÃstico significado yo habÃa meditado tan larga mente, rechazando la explicación del sacerdote, hasta que la Muerte ha descifrado el secreto para mÃ. UNA.- ¡ La Muerte! MONOS.-;Qué extrañamente repites mis palabras, dulce Una!¡Y qué gozosa inquietud en tus ojos! Estás confusa y sobrecogida por la majestuosa novedad de la Vida Eterna. SÃ, hablaba de la Muerte, y ¡ qué singularmente suena aquà esa palabra que en los viejos tiempos acostumbraba llenar de terror todos los corazones, haciendo marchitar todos los deleites! una. - Ressuscité ? monos. - Oui, très belle et très adorée Una, ressuscité. Tel était le mot sur le sens mystique duquel j'avais si longtemps médité, repoussant les explications de la prêtraille jusqu'à tant que la mort elle-même vînt résoudre l'énigme pour moi. una. - La Mort ! monos. - Comme tu fais étrangement écho à mes paroles, douce Una ! J'observe aussi une vacillation dans ta démarche, - une joyeuse inquiétude dans tes yeux. Tu es troublée, oppressée par la majestueuse nouveauté de la Vie éternelle. Oui, c'était de la Mort que je parlais. Et comme ce mot résonne singulièrement ici, ce mot qui jadis portait l'angoisse dans tous les coeurs, - jetait une tache sur tous les plaisirs!
Durante una excursión a pie, que realicé el pasado verano a través de uno o dos de los condados ribereños de Nueva York, me encontré, al caer el dÃa, un tanto desorientado acerca del camino que debÃa seguir. La tierra se ondulaba de un modo considerable y durante la última hora mi senda habÃa dado vueltas y más vueltas de aquà para allá, tan confusamente en su esfuerzo por mantenerse dentro de los valles, que no tardé mucho en ignorar en qué dirección quedaba la bonita aldea de B..., donde habÃa decidido pernoctar. El sol casi no habÃa brillado durante el dÃa -en el más estricto sentido de la palabra-, a pesar de lo cual habÃa estado desagradablemente caluroso. Una niebla humeante, parecida a la del verano indio, envolvÃa todas las cosas y, desde luego, contribuÃa a mi incertidumbre. Pendant un voyage à pied que je fis l'été dernier, à travers un ou deux des comtés riverains de New-York, je me trouvai, à la tombée du jour, passablement intrigué relativement à la route que je suivais. Le sol était singulièrement ondulé; et, depuis une heure, le chemin, comme s'il voulait se maintenir à l'intérieur des vallées, décrivait des sinuosités si compliquées, qu'il m'était actuellement impossible de deviner dans quelle direction était situé le joli village de B..., où j'avais décidé de passer la nuit. Le soleil avait à peine brillé, strictement parlant, pendant la journée, qui pourtant avait été cruellement chaude. Un brouillard fumeux, ressemblant à celui de l'été indien, enveloppait toutes choses et ajoutait naturellement à mon incertitude. à vrai dire, je ne m'inquiétais pas beaucoup de la question. Si je ne tombais pas sur le village avant le coucher du soleil, ou même avant la nuit, il était plus que possible qu'une petite ferme hollandaise, ou quelque bâtiment du même genre, se montrerait bientôt à mes yeux, quoique, dans toute la contrée avoisinante, en raison peut-être de son caractère plus pittoresque que fertile, les habitations fussent, en somme, très-clair-semées. à tout hasard, la nécessité de bivouaquer en plein air, avec mon sac pour oreiller et mon chien pour sentinelle, était un accident qui ne pouvait que m'amuser. Ayant confié mon fusil à Ponto, je continuai donc à errer tout à mon aise, jusqu'à ce que enfin, comme je commençais à examiner si les nombreuses petites percées qui s'ouvraient çà et là étaient réellement des chemins, je fusse conduit par la plus invitante de toutes dans une incontestable route carrossable. Il n'y avait pas à s'y méprendre. Des traces de roues légères étaient évidentes; et, quoique les hauts arbustes et les broussailles excessivement accrues se rejoignissent par le haut, il n'y avait en bas aucune espèce d'obstacle, même pour le passage d'un chariot des montagnes de la Virginie, le véhicule le plus orgueilleux de son espèce que je connaisse. Cependant la route, sauf par ce fait qu'elle traversait le bois (si le mot bois n'est pas trop important pour peindre un tel assemblage d'arbustes), et qu'elle gardait des traces évidentes de roues, ne ressemblait à aucune route que j'eusse connue jusqu'alors. Les traces dont je parle n'étaient que faiblement visibles, ayant été imprimées sur une surface solide, mais doucement humectée et qui ressemblait particulièrement à du velours vert de Gênes. C'était évidemment du gazon, mais du gazon comme nous n'en voyons guère qu'en Angleterre, aussi court, aussi épais, aussi uni et aussi brillant de couleur. Pas un seul empêchement ne se laissait voir dans le sillon de la roue; pas un fragment de bois, pas un brin de branche morte. Les pierres qui autrefois obstruaient la voie avaient été soigneusement placées, non pas jetées, le long des deux côtés du chemin, de manière à en marquer le lit avec une sorte de précision négligée tout à fait pittoresque. Des bouquets de fleurs sauvages s'élançaient partout, d
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
La historia sucede en una región imaginaria, cuyos habitantes estaban siendo afectados por una terrible pandemia, "la Muerte Roja", que se caracterizaba, aparte de por la velocidad con la que infectaba a las vÃctimas, por la gran cantidad de sangre que perdÃan los que la sufrÃan. Pero esto no le importaba mucho al prÃncipe Próspero, gobernador de este reino, quien decidió refugiarse, con sus amigos y cortesanos en una abadÃa fortificada. Aislados y ajenos a lo que ocurrÃa en el mundo exterior, Próspero abasteció a la abadÃa con todo tipo de diversiones, desde bufones, músicos y bailarines a abundante comida y vino. Tras seis meses de aislamiento, Próspero decidió organizar un baile de máscaras en su extravagante abadÃa. Hizo uso de los siete salones en hilera de los que dispone el recinto, sólo que, a diferencia de lo que ocurre en los palacios, en los que los salones constituyen largas perspectivas en lÃnea recta, dejando que la mirada atraviese sin obstáculo todas las estancias hasta el fondo cuando las puertas están abiertas, las de la abadÃa estaban colocadas de una manera irregular, pudiéndose ver sólo una sala cada vez, sin perspectiva. Estos salones tenÃan dos ventanas góticas a los lados con vidrieras de color que armonizaban con el color dominante de la sala: el primero tenÃa vidrieras de un azul vivo y la decoración de la sala también lo era, las del segundo eran púrpuras, la sala también, el tercero era verde, el cuarto naranja, el quinto blanco y el sexto violeta. A esto se añadÃa que los salones no tenÃan luz natural, sino que estaban iluminados por unos braseros colocados justo delante de las ventanas. La norma se interrumpÃa con el séptimo, forrado con telas negras cuyas ventanas eran de un color rojo escarlata. La iluminación y la combinación de los colores en este salón creaban unas sombras fantásticas y siniestras, tanto que nadie se atrevÃa a entrar en el cuando caÃa la noche. L'histoire se situe dans une abbaye fortifiée, dans laquelle le prince Prospero s'est enfermé, avec mille de ses courtisans, afin de fuir l'épidémie foudroyante de Mort Rouge, terrible fléau qui frappe le pays. Indifférent aux malheurs des populations frappées par la maladie, ils mènent alors une vie parsemée de vices et de plaisirs en toute sécurité derrière les murs de l'abbaye. Une nuit, Prospero organise un bal masqué dans sept pièces de l'abbaye, décorées et illuminée chacune d'une couleur différente: bleu, pourpre, vert, orange, blanc, violet. La dernière est tapissée de noir et éclairée par une lumière rouge sang. Elle inspire une si grande crainte aux invités que rares sont ceux qui osent s'y aventurer. Il s'y trouve une grande horloge d'ébène qui sonne sinistrement à chaque heure; alors, chacun arrête de parler et l'orchestre cesse de jouer. Durant la soirée, Prospero remarque une figure dans une robe qui ressemble à un linceul, avec un masque semblable au crâne dépeignant une victime de la Mort Rouge. Se sentant gravement insulté, Prospero exige qu'on lui donne l'identité de l'invité mystérieux et ordonne également que l'on s'empare de l'individu. Mais, comme nul n'ose obéir, il tire un poignard et le poursuit à travers les sept pièces. Quand il arrive dans la septième pièce, le mystérieux personnage se retourne et fait face à Prospero, qui s'effondre, mort. Les courtisans, horrifiés et furieux, se jettent sur l'inconnu et lui arrachent son masque, mais découvrent que le costume est vide. Tous comprennent qu'il s'agit de la Mort Rouge elle-même et ils meurent les uns après les autres. Les sols des chambres sont remplis de sang et l'horloge s'arrête de sonner.
John Sartain worked with Edgar Allan Poe in Philadelphia, and published many of his popular works, including Murders in the Rue Morgue and The Bells. In this brief memoir, he describes his impressions of Poe's methods, and remembers some of his most striking memories of his friend. The book also includes writing by Poe to expand on Sartain's recollections.
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
El relato se inicia con la siguiente cita del moralista francés Jean de la Bruyère: "Ce grand malheur, de ne pouvoir être seul", tomada de su obra Caractères. Dicha cita puede traducirse: Qué gran desgracia la de no poder estar solo. La misma cita puede encontrarse en el primer cuento de Poe, Metzengerstein. Tras superar una enfermedad no definida, el narrador pasa el tiempo en un café londinense. Fascinado por la multitud que observa pasar a través de la ventana, considera los distintos tipos y personajes (nobles, amanuenses, comerciantes, abogados...), y el aislamiento a que están sometidos, a pesar de vivir apiñados en la gran ciudad. Al caer la tarde, el narrador se fija en a decrepit old man, some sixty-five or seventy years of age (un anciano decrépito de unos sesenta y cinco o setenta años). Era de escasa estatura, flaco y aparentemente muy débil. VestÃa ropas tan sucias como harapientas. El narrador, lleno de curiosidad, decide dejar el café y seguir a este hombre. Ãste conduce al narrador por tiendas y comercios, sin comprar nunca nada, hasta acabar en una zona muy pobre de la ciudad, para regresar otra vez al corazón de la misma. La persecución se prolonga a lo largo de toda la noche y todo el dÃa siguiente. Finalmente, exhausto, el narrador se enfrenta cara a cara al extraño anciano, quien, sin darse cuenta de haber sido seguido, pasa de largo. El narrador sospecha, al verlo perderse de nuevo entre la multitud, que debe de ser un terrible criminal, llamándolo el hombre de la multitud. Le narrateur est assis dans un café londonien et regarde avec un grand intérêt la foule qui se presse dans la rue. Il classe ainsi les passants dans différentes catégories sociales suivant leur habillement et leur physionomie. Fasciné par la vue d'un vieil homme à l'expression très particulière, il décide de le suivre à travers ses déambulations apparemment erratiques et remarque qu'il semble très mal à l'aise dès que la foule devient clairsemée. Après l'avoir suivi toute la nuit et la journée du lendemain dans différents quartiers de Londres, le narrateur, épuisé, s'arrête devant le vieil homme et le regarde bien en face sans même attirer son attention. Le narrateur, abandonnant sa filature, en arrive à la conclusion que le vieil homme est un homme des foules qui refuse d'être seul .
L'histoire se situe dans une abbaye fortifiée, dans laquelle le prince Prospero s'est enfermé, avec mille de ses courtisans, afin de fuir l'épidémie foudroyante de Mort Rouge, terrible fléau qui frappe le pays. Indifférent aux malheurs des populations frappées par la maladie, ils mènent alors une vie parsemée de vices et de plaisirs en toute sécurité derrière les murs de l'abbaye. Une nuit, Prospero organise un bal masqué dans sept pièces de l'abbaye, décorées et illuminée chacune d'une couleur différente: bleu, pourpre, vert, orange, blanc, violet. La dernière est tapissée de noir et éclairée par une lumière rouge sang. Elle inspire une si grande crainte aux invités que rares sont ceux qui osent s'y aventurer. Il s'y trouve une grande horloge d'ébène qui sonne sinistrement à chaque heure; alors, chacun arrête de parler et l'orchestre cesse de jouer. Durant la soirée, Prospero remarque une figure dans une robe qui ressemble à un linceul, avec un masque semblable au crâne dépeignant une victime de la Mort Rouge. Se sentant gravement insulté, Prospero exige qu'on lui donne l'identité de l'invité mystérieux et ordonne également que l'on s'empare de l'individu. Mais, comme nul n'ose obéir, il tire un poignard et le poursuit à travers les sept pièces. Quand il arrive dans la septième pièce, le mystérieux personnage se retourne et fait face à Prospero, qui s'effondre, mort. Les courtisans, horrifiés et furieux, se jettent sur l'inconnu et lui arrachent son masque, mais découvrent que le costume est vide. Tous comprennent qu'il s'agit de la Mort Rouge elle-même et ils meurent les uns après les autres. Les sols des chambres sont remplis de sang et l'horloge s'arrête de sonner.
Se produce el bárbaro asesinato de dos mujeres, madre e hija, en un apartamento de una populosa calle de ParÃs. Las primeras pesquisas que lleva a cabo la brigada de investigaciones no dan resultado alguno, evidenciándose la impotencia de la policÃa para esclarecer los hechos. Finalmente se hace cargo del asunto un detective aficionado, M. Dupin, quien tras intensa y brillante investigación, ofrece una explicación extraordinaria. Double assassinat dans la rue Morgue met en scène le détective Dupin et l'un de ses amis, qui joue le rôle de narrateur. L'histoire se déroule à Paris, au XIXe siècle. Cependant, la plupart des lieux cités dans la nouvelle, dont la rue Morgue, n'existent pas. Le début de la nouvelle est une réflexion sur l'importance qu'on donne à l'analyse dans l'esprit humain. La suite est un exemple qui décrit l'incroyable capacité d'analyse de Dupin, qui devine à quoi pense son ami juste en observant ses mouvements en marchant dans la rue. Dupin et le narrateur apprennent alors qu'un meurtre déroute les policiers français: on a retrouvé les cadavres de deux femmes de la famille Lespanaye, une mère et sa fille, vivant en vieilles filles dans un immeuble de la rue Morgue. Le corps de la fille présente des marques de strangulation et était violemment encastré dans le conduit de cheminée. Celui de la mère avait la gorge tranchée net, et se trouvait à moitié démembré sur les pavés de la cour derrière l'immeuble. Or, il n'y a ni mobile pour le crime, ni même une explication plausible. Les fenêtres sont fermées et bloquées de l'intérieur mais personne n'a pu s'enfuir par la porte puisque des gens, entendant les cris, s'y sont précipités. Tous les témoins (les voisins ayant entendu une partie de la scène) s'accordent à dire qu'il y avait deux voix, bien distinctes, dont une grave, parlant français. Cependant, personne ne peut s'accorder sur la deuxième qui paraît étrangère à tous les témoins. Ceux-ci sont pourtant de nationalités diverses et variées. Dupin décide de résoudre l'affaire. Grâce à ses contacts dans la police, il peut fouiller le lieu du crime, et grâce aux indices, parvient à la conclusion sans que le lecteur ne le sache à ce moment-là . Avec le sens de la mise en scène qui lui est propre, Dupin décide de mettre une annonce dans le journal signalant qu'il a retrouvé... un orang-outan. Le soir même, un marin ayant signalé la disparition de son orang-outang vient le chercher chez Dupin. Ce dernier lui explique alors sa théorie. Confondu par les conclusions de Dupin, le maître avoue: c'est effectivement son primate le coupable, et c'est lui-même qui était la première voix (il l'avait poursuivi pour le rattraper et l'empêcher de faire une bêtise). La force du primate lui a permis de coincer le corps d'une victime dans le conduit de la cheminée, tête vers le bas, semble-t-il pour cacher sa faute; la seconde personne ayant été poussée vers l'extérieur, où elle s'est désarticulée.
La historia presenta a un narrador anónimo obsesionado con el ojo enfermo (al que llama "ojo de buitre") de un anciano con el cual convive, hasta que cierto día decide asesinarlo. El crimen es estudiado cuidadosamente y tras ser perpetrado, el cadáver es despedazado y escondido bajo las tablas del suelo de la casa. La policía acude a la misma y el asesino acaba delatándose a sí mismo, imaginando alucinadamente que el corazón del viejo se ha puesto a latir bajo la tarima.
El narrador, llamado P..., describe el interés creciente en el mesmerismo, una pseudociencia consistente en imbuir al paciente en un estado hipnótico mediante la influencia del magnetismo (el mesmerismo evolucionarÃa más adelante en la hipnosis). Señala que, hasta donde él sabe, nadie ha mesmerizado a un voluntario en el umbral de su muerte, y tiene curiosidad por conocer sus efectos en un moribundo. Su amigo Valdemar, enfermo terminal de tuberculosis, consiente en realizar el experimento. Mientras Valdemar cae en trance, afirma primero que está muriendo, luego que está muerto. P... le deja en un estado mesmérico durante siete meses, durante los cuales carece de pulso y respiración perceptible, y su piel se aprecia pálida y frÃa. P... finalmente trata de despertarlo, y en el transcurso de la operación todo el cuerpo de Valdemar degenera instantáneamente, según el relato, en una masa casi lÃquida de odiosa y repugnante descomposición.
Se produce el bárbaro asesinato de dos mujeres, madre e hija, en un apartamento de una populosa calle de París. Las primeras investigaciones no dan resultado alguno, evidenciándose la impotencia de la policía para esclarecer los hechos. Finalmente se hace cargo del asunto un detective aficionado, M. Dupin, que tras intensa y brillante investigación, ofrece una explicación extraordinaria.
El relato se inicia con la siguiente cita del moralista francés Jean de la Bruyère: "Ce grand malheur, de ne pouvoir être seul", tomada de su obra Caractères. Dicha cita puede traducirse: Qué gran desgracia la de no poder estar solo. La misma cita puede encontrarse en el primer cuento de Poe, Metzengerstein. Tras superar una enfermedad no definida, el narrador pasa el tiempo en un café londinense. Fascinado por la multitud que observa pasar a través de la ventana, considera los distintos tipos y personajes (nobles, amanuenses, comerciantes, abogados...), y el aislamiento a que están sometidos, a pesar de vivir apiñados en la gran ciudad. Al caer la tarde, el narrador se fija en a decrepit old man, some sixty-five or seventy years of age (un anciano decrépito de unos sesenta y cinco o setenta años). Era de escasa estatura, flaco y aparentemente muy débil. VestÃa ropas tan sucias como harapientas. El narrador, lleno de curiosidad, decide dejar el café y seguir a este hombre. Ãste conduce al narrador por tiendas y comercios, sin comprar nunca nada, hasta acabar en una zona muy pobre de la ciudad, para regresar otra vez al corazón de la misma. La persecución se prolonga a lo largo de toda la noche y todo el dÃa siguiente. Finalmente, exhausto, el narrador se enfrenta cara a cara al extraño anciano, quien, sin darse cuenta de haber sido seguido, pasa de largo. El narrador sospecha, al verlo perderse de nuevo entre la multitud, que debe de ser un terrible criminal, llamándolo el hombre de la multitud. The story is introduced with the epigraph "Ce grand malheur, de ne pouvoir être seul" - a quote taken from The Characters of Man by Jean de La Bruyère. It translates to This great misfortune, of not being able to be alone. This same quote is used in Poe's earliest tale, "Metzengerstein". After an unnamed illness, the unnamed narrator sits in an unnamed coffee shop in London. Fascinated by the crowd outside the window, he considers how isolated people think they are, despite "the very denseness of the company around". He takes time to categorize the different types of people he sees. As evening falls, the narrator focuses on "a decrepit old man, some sixty-five or seventy years of age", whose face has a peculiar idiosyncrasy, and whose body "was short in stature, very thin, and apparently very feeble" wearing filthy, ragged clothes of a "beautiful texture". The narrator dashes out of the coffee shop to follow the man from afar. The man leads the narrator through bazaars and shops, buying nothing, and into a poorer part of the city, then back into "the heart of the mighty London". This chase lasts through the evening and into the next day. Finally, exhausted, the narrator stands in front of the man, who still does not notice him. The narrator concludes the man is "the type and genius of deep crime" due to his inscrutability and inability to leave the crowds of London.
En la madrugada, alrededor de las tres, los habitantes del quartier Saint-Roch fueron despertados por una serie de espantosos gritos que parecían proceder del cuarto piso de una casa de la rue Morgue, ocupada, según se dice, por una tal Madame L'Espanaye y su hija, Mademoiselle Camille L'Espanaye. Se forzó la puerta de entrada con una palanca de hierro, y entraron ocho o diez vecinos. En ese momento cesaron los gritos; pero en cuanto aquellas personas llegaron apresuradamente al primer tramo de la escalera, se distinguieron dos o más voces ásperas que parecían disputar violentamente y proceder de la parte alta de la casa. Los vecinos recorrieron todas las habitaciones precipitadamente. Al llegar, por último, a una gran sala situada en la parte posterior del cuarto piso, cuya puerta hubo de ser forzada, por estar cerrada interiormente con llave, se ofreció a los espectadores un espectáculo que sobrecogió sus ánimos, no solo de horror, sino de asombro. Se hallaba la habitación en violento desorden, rotos los muebles y diseminados en todas direcciones. No quedaba más lecho que la armadura de una cama, cuyas partes habían sido arrancadas y tiradas por el suelo. Sobre una silla se encontró una navaja barbera manchada de sangre. Había en la chimenea dos o tres largos y abundantes mechones de pelo cano, empapados en sangre y que parecían haber sido arrancados de raíz. . Un crimen tan extraño y tan complicado en todos sus aspectos no había sido cometido jamás en París, en el caso de que se trate realmente de un crimen. La Policía carece totalmente de rastro, circunstancia rarísima en asuntos de tal naturaleza. Puede asegurarse, que no existe la menor pista.
Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1864 edition. Extrait: ...devenir la planete Saturne. Cette derniere projeta d'abord sept bandes, qui, apres s'etre rompues, se spherifierent en autant de lunes; mais elle parait s'etre subsequemment dechargee, a trois epoques distinctes et peu eloignees l'une de l'autre, de trois anneaux dont la constitution se trouva, par un accident apparent, assez uniforme et assez solide pour ne fournir aucune occasion de rupture; aussi ils conti nuent a tourner sous la forme d'anneaux. Je dis accident apparent; car pour un accident dans le sens ordinaire, il n'y en eut evidemment aucun; le terme ici s'applique simplement au resultat d'une loi indiscernable ou que nous ne pouvons pas immediatement etudier. Se reduisant toujours de plus en plus, jusqu'a n'occuper que l'espace circonscrit par l'orbite de Jupiter, le Soleil eprouva bientot le besoin d'un nouvel effort pour restaurer l'equilibre de ses deux forces, perpetuellement derange par l'accroissement continu de la vitesse de rotation. En consequence Jupiter fut lance hors du Soleil, passant de la condition annulaire a l'etat planetaire, et, arrive a ce second etat, projeta a son tour, a quatre epoques differentes, quatre anneaux, qui finalement se transformerent en autant de lunes. Se retrecissant toujours, jusqu'a ce que sa sphere n'occupat que juste l'espace defini par l'orbite des Asteroides, le Soleil se dechargea d'un anneau qui parait avoir eu huit centres de solidite superieure, et en se brisant, avoir...
"The Spectacles" is a short story by Edgar Allan Poe, published in 1844. It is one of Poe's comedy tales. The narrator, 22-year-old Napoleon Bonaparte Froissart, changes his last name to "Simpson" as a requirement to inherit a large sum from a distant cousin, Adolphus Simpson. At the opera he sees a beautiful woman in the audience and falls in love instantly. He describes her beauty at length, despite not being able to see her well; he requires spectacles but, in his vanity, "resolutely refused to employ them". His companion Talbot identifies the woman as Madame Eugenie Lalande, a wealthy widow, and promises to introduce the two. He courts her and proposes marriage; she makes him promise that, on their wedding night, he will wear his spectacles.
Bien que les ténèbres du doute enveloppent encore toute la théorie positive du magnétisme, ses foudroyants effets sont maintenant presque universellement admis. Ceux qui doutent de ces effets sont de purs douteurs de profession, une impuissante et peu honorable caste. Ce serait absolument perdre son temps aujourd'hui que de s'amuser à prouver que l'homme, par un pur exercice de sa volonté, peut impressionner suffisamment son semblable pour le jeter dans une condition anomale, dont les phénomènes ressemblent littéralement à ceux de la mort, ou du moins leur ressemblent plus qu'aucun des phénomènes produits dans une condition anomale connue; que, tout le temps que dure cet état, la personne ainsi influencée n'emploie qu'avec effort, et conséquemment avec peu d'aptitude, les organes extérieurs des sens, et que néanmoins elle perçoit, avec une perspicacité singulièrement subtile et par un canal mystérieux, des objets situés au delà de la portée des organes physiques; que, de plus, ses facultés intellectuelles s'exaltent et se fortifient d'une manière prodigieuse; que ses sympathies avec la personne qui agit sur elle sont profondes; et que finalement sa susceptibilité des impressions magnétiques croit en proportion de leur fréquence, en même temps que les phénomènes particuliers obtenus s'étendent et se prononcent davantage et dans la même proportion. Je dis qu'il serait superflu de démontrer ces faits divers, où est contenue la loi générale du magnétisme, et qui en sont les traits principaux. Je n'infligerai donc pas aujourd'hui à mes lecteurs une démonstration aussi parfaitement oiseuse. Mon dessein, quant à présent, est en vérité d'une tout autre nature. Je sens le besoin, en dépit de tout un monde de préjugés, de raconter, sans commentaires, mais dans tous ses détails, un très-remarquable dialogue qui eut lieu entre un somnambule et moi.
The story begins with the unnamed narrator arriving at the house of his friend, Roderick Usher, having received a letter from him in a distant part of the country complaining of an illness and asking for his help. Although Poe wrote this short story before the invention of modern psychological science, Roderick's condition can be described according to its terminology. It includes a form of sensory overload known as hyperesthesia (hypersensitivity to textures, light, sounds, smells, and tastes), hypochondria (an excessive preoccupation or worry about having a serious illness), and acute anxiety. It is revealed that Roderick's twin sister, Madeline, is also ill and falls into cataleptic, deathlike trances. The narrator is impressed with Roderick's paintings, and attempts to cheer him by reading with him and listening to his improvised musical compositions on the guitar. Roderick sings "The Haunted Palace," then tells the narrator that he believes the house he lives in to be alive, and that this sentience arises from the arrangement of the masonry and vegetation surrounding it. Le narrateur (dont l'identité ne nous est pas connue) arrive à la maison de son ami Roderick Usher, ayant reçu de lui une lettre dans laquelle il se plaignait de maladie et réclamait sa présence. Cette maladie se manifeste par une hyper-acuité des sens et une grande anxiété. La soeur jumelle de Roderick, Lady Madeline, est elle aussi malade, tombant dans des états de transes cataleptiques. Après qu'il lui a récité le poème le Palais hanté, Roderick soutient à son ami que la maison est dotée de sens, ce qui proviendrait de la façon dont la maçonnerie est entremêlée à la végétation entourant le bâtiment. Plus tard, il lui annonce que Lady Madeline est décédée et qu'il a l'intention de conserver son corps durant 15 jours dans un caveau en attendant de procéder à l'enterrement définitif. Après avoir aidé son ami dans cette tâche, le narrateur constate une aggravation rapide de l'état de Roderick. Environ une semaine plus tard, le narrateur reçoit, par une nuit de tempête, la visite de Roderick qui semble très agité. Il tente de le calmer en lui faisant la lecture mais entend divers sons provenant de la maison. Roderick devient finalement hystérique et clame que ces bruits sont causés par sa soeur qu'ils ont en fait enterrée vivante et qu'il le sait depuis plusieurs jours. La porte de la chambre s'ouvre alors violemment et laisse apparaître Lady Madeline, en sang et dans son suaire. Elle avance vers son frère et tombe sur lui alors qu'elle rend le dernier soupir et que lui-même succombe à sa frayeur. Le narrateur fuit alors la maison et, à la lueur d'un éclair, voit la fissure parcourant la maison s'élargir, causant l'écroulement du bâtiment tout entier.
Poe's detective character C. Auguste Dupin and his sidekick the unnamed narrator undertake the unsolved murder of Marie Rogêt in Paris. The body of Rogêt, a perfume shop employee, is found in the Seine River and the press takes a keen interest in the mystery. Dupin remarks that the newspapers "create a sensation ... [rather] than to further the cause of truth". Even so, he uses the newspaper reports to get into the mind of the murderer. Dupin uses his skills of ratiocination to determine that a single murderer was involved who dragged her by the cloth belt around her waist before dumping her body off a boat into the river. Finding the boat, Dupin suggests, will lead the police to the murderer. Le Mystère de Marie Roget est une nouvelle de l'écrivain américain Edgar Allan Poe, parue en trois parties en novembre 1842, décembre 1842 et février 1843 dans le Ladies' Companion et traduite en français par Charles Baudelaire pour le recueil Histoires grotesques et sérieuses. Le nom complet de la nouvelle est Le Mystère de Marie Roget, pour faire suite à Double assassinat dans la rue Morgue: le lien entre les deux nouvelles tient au personnage d'Auguste Dupin qui mène l'enquête sur une affaire qui dépasse les capacités de la police. L'enquête du Mystère de Marie Roget se base sur l'affaire réelle du meurtre de Mary Cecilia Rogers survenu à New York en 1841. Dans la nouvelle, l'action est transposée à Paris au lieu de New York, et la Seine remplace l'Hudson River où le corps de Mary Rogers a été retrouvé. Edgar Allan Poe joue entre fiction et réalité à plusieurs niveaux: son personnage fictif Auguste Dupin essaie d'entrevoir la vérité sur l'affaire en se basant uniquement sur des coupures de presse réelles, mais les noms réels des journaux sont maquillés. Comme pour Double assassinat dans la rue Morgue, le récit est narré par un ami de Dupin dont l'identité reste inconnue.
Edgar Allan Poe's short story about a self proclaimed philosopher, Pierre Bon-Bon, who has an encounter with the Devil and has a conversation with him.
"The Gold-Bug" is a short story by Edgar Allan Poe. Set on Sullivan's Island, South Carolina, the plot follows William Legrand, who was recently bitten by a gold-colored bug. His servant, Jupiter, fears Legrand is going insane and goes to Legrand's friend, an unnamed narrator, who agrees to visit his old friend. Legrand pulls the other two into an adventure after deciphering a secret message that will lead to a buried treasure.
El miedo al enterramiento en vida era muy común en la época, y Edgar Allan Poe obtuvo provecho literario de ello. En este relato, el narrador anónimo describe en primera persona un trastorno que le aqueja, caracterizado por ataques de una afección singular que los médicos coinciden en denominar catalepsia. Esta enfermedad lo lleva con frecuencia a pérdidas de conciencia muy similares a la muerte, lo que conduce al personaje a un terror pánico a ser enterrado vivo en alguna de tales circunstancias: La mayor de las desgracias posibles, afirma. A fin de que se comprenda esta fobia, el narrador enumera diversos casos probados de personas enterradas vivas. En el primer caso, la tragedia fue descubierta mucho más tarde, al ser reabierta la cripta. Il est certains sujets portant en eux un intérêt poignant, mais qui causent trop d'horreur pour qu'on puisse légitimement les traiter dans une fiction. Les romanciers, s'ils ne veulent offenser ou dégoûter le lecteur, doivent éviter de les mettre en oeuvre. On ne peut y toucher que sanctionné et soutenu par la majesté du vrai. Le passage de la Bérésina, le tremblement de terre de Lisbonne, la peste de Londres, le massacre de la Saint-Barthélemy, la mort des cent vingt-trois prisonniers étouffés dans le trou noir de Calcutta, nous font passer par la plus intense des souffrances voluptueuses. Mais c'est le fait, c'est la réalité historique qui nous émeuvent dans ces récits. Inventés de toutes pièces, nous les considérerions avec horreur. Je viens de mentionner les plus augustes et les plus formi-dables calamités dont on se souvienne. Notre fantaisie y est impressionnée par la grandeur autant que par la nature de la catastrophe. Mais je n'ai pas besoin de rappeler au lecteur que, dans la liste longue et fatale des infortunes humaines, j'aurais pu choisir des exemples individuels plus saturés d'horreur, qu'aucun de ces vastes désastres. La véritable misère, la souffrance extrême échoient au petit nombre seul et non pas à la multitude. Remercions un Dieu de miséricorde d'avoir réservé les agonies dernières à l'homme-unité et d'en avoir préservé l'homme-foule.
La incomparable aventura de Hans Pfaall es uno de los relatos de difícil clasificación dentro del universo narrativo de Poe. Escrito con un nivel de detalles que lo acerca a un relato de Ciencia Ficción, sin embargo lo maravilloso e imposible de lo acaecido lo devuelve al mundo del relato fantástico. Algunos podrían incluso creer que esta historia en realidad es una joya más de la Literatura Onírica.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Historias Estraordinarias [sic] Edgar Allan Poe Luis GarcÃa ((Madrid)) Luis GarcÃa, 1858
Dans cette nouvelle, le détective Auguste Dupin est informé par G..., le préfet de police de Paris, qu'une lettre de la plus haute importance a été volée dans le boudoir royal. Le moment précis du vol et le voleur sont connus du policier, mais celui-ci est dans l'incapacité d'accabler le coupable. Malgré des fouilles extrêmement minutieuses effectuées au domicile du voleur, G... n'a en effet pas pu retrouver la lettre.
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