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Edmond François Valentin About, né le 14 février 1828 à Dieuze (Moselle) et mort le 16 janvier 1885 à Paris, est un écrivain, journaliste et critique d'art français, membre de l'Académie française. Biographie Fils d'épicier, il fait ses études au petit séminaire, puis entre au lycée Charlemagne où il devient un élève brillant et remporte le prix d'honneur de philosophie au Concours général. Il entre ensuite à l'École normale supérieure en 1848 et est reçu premier à l'agrégation de lettres de 1851 Il est nommé en 1851 membre de l'École française d'Athènes et séjourne deux ans en Grèce en compagnie de l'architecte Charles Garnier et du peintre Paul-Alfred de Curzon. Il séjourne en Égypte en 1867-1868. Il participe aussi au voyage inaugural de l'Orient-Express en 1883. Agacé par les outrances du philhellénisme alors à la mode et marqué par le mishellénisme de ses maîtres du petit séminaire, il tire de chacun de ses voyages des ouvrages satiriques marquants. La Grèce contemporaine (1854) remporte un grand succès tout en insistant sur l'écart entre le mythe grec fondé sur l'Antiquité et la réalité contemporaine. Le Roi des montagnes ridiculise le mythe romantique du pallikare, guerrier-bandit héros de la guerre d'indépendance grecque. Le Fellah décrit comment un paysan égyptien élevé en Europe devient une personnalité dans son pays et finit par épouser une Anglaise, fascinée par l'exotisme. De Pontoise à Stamboul parodie le célèbre Itinéraire de Paris à Jérusalem de Chateaubriand. Edmond About est également un critique d'art acerbe, très disposé à railler les peintres d'avant-garde. Ses comptes rendus de Salon en 1855 et 1857, d'une savoureuse verve comique, éreintent notamment les prétentions du réalisme de Gustave Courbet et appellent à la prudence face à ce qu'il considère comme une brèche ouverte à l'anarchie dans l'art. Résumé En 1859, Renault revient à Fontainebleau après 3 ans d'ingénieur de mine en Russie. Il ramène le colonel Fougas que le Professeur Meiser a desséché en 1813 et il lui arrache un bout d'oreille. Le Professeur lui fait prendre un bain spécial, il ressuscite et a toujours 24 ans. Il va voir Napoléon III à Paris. Puis il va voir son fils et ses petits enfants à Nancy. Renault épouse sa petite-fille Clémentine.
La nariz de un notario es un libro cargado de humor y sarcasmo. Aunque la intención aparente del autor es hacer reír al lector, algunas escenas pudieran rayar en lo macabro. Sin embargo, su lectura perdura en la memoria como una fotografía de un siglo que ya perfilaba una modernidad casi inocente.
Les Causeries d'Edmond About sont moins connues que ses romans, mais écrites avec le même style comique. Elles sont un témoignage intéressant historiquement, bien rédigé par un premier agrégé es lettres devenu académicien français, et qui voit le rire comme "une joie malicieuse qui s'éveille en nous au spectacle des petits malheurs d'autrui. C'est un mouvement égoïste et vaniteux causé par la vue des mécomptes dont nous sommes ou croyons être exempts nous-mêmes. On ne rit pas des gros accidents, de la mort, des blessures, de la misère en haillons, des désastres qui nous rappellent notre condition mortelle et la dépendance où le sort nous tient tous; mais on rit aux éclats chaque fois qu'on signale un contraste entre les ambitions du prochain et ses succès, entre sa vanité et son mérite, entre son but et son point d'arrivée."
"L'Homme à l'Oreille Cassée" est un roman écrit par Edmond About, un écrivain français du XIXe siècle. Voici un résumé de l'¿uvre :"L'Homme à l'Oreille Cassée" nous emmène dans une aventure intrigante et humoristique. L'histoire débute avec la découverte d'un homme mystérieux, un étranger en provenance d'une contrée lointaine, dont l'oreille est cassée. Cet homme exotique suscite la curiosité et l'intérêt de tous ceux qui le rencontrent.Le roman suit les efforts du narrateur pour percer le mystère entourant l'homme à l'oreille cassée. Au fil de l'intrigue, le narrateur se retrouve impliqué dans une série d'événements comiques et farfelus, impliquant des personnages variés et des situations inattendues.L'histoire est une satire de la société et de la politique de l'époque. Edmond About utilise l'humour et l'ironie pour critiquer les préjugés sociaux, les stéréotypes culturels et les absurdités de la vie quotidienne. L'homme à l'oreille cassée devient un symbole de l'étranger et de l'inconnu, représentant à la fois la fascination et la peur que suscite l'étranger."L'Homme à l'Oreille Cassée" aborde des thèmes tels que l'identité, la curiosité, les différences culturelles et la nature humaine. Le roman propose une réflexion sur la manière dont les gens perçoivent et réagissent face à l'étranger et à l'inconnu.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
This scarce antiquarian book is a selection from Kessinger Publishing's Legacy Reprint Series. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment to protecting, preserving, and promoting the world's literature. Kessinger Publishing is the place to find hundreds of thousands of rare and hard-to-find books with something of interest for everyone!
"The good news you sent us from St. Petersburg caused us the greatest joy. Your poor mother had been ailing since winter, but I had not spoken to you about it from fear of making you uneasy while so far from home. As for myself, I had not been very well; and there was yet a third person (guess the name if you can!) who was languishing from not seeing you. But content yourself, my dear Leon: we have been recuperating more and more since the time of your return is almost fixed. We begin to believe that the mines of the Ural will not swallow up that which is dearer to us than all the world. Thank God! that fortune which you have so honorably and so quickly made will not have cost your life, nor even your health, since you tell us you have been growing fat off there in the desert. If you have not finished up all your business out there, so much the worse for you: there are three of us who have sworn that you shall never go back again.
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Le 1er janvier 1853, les domestiques de l'hôtel de Sanglié à Paris voient la duchesse Mlle Germaine, malade et dont le père est ruiné, aller vendre sa bague au mont-de-piété. Mme de Chermidy lui fait épouser Don Diego pour l'argent. Ils vont en Italie où Germaine se refait une santé. Ils adoptent Gomez, fils de Mme de Chermidy. Germaine est empoisonnée et Mme de Chermidy veut épouser Don Diego mais Germaine réchappe et Mme de Chermidy est tuée par un domestique de Germaine. Ils rentrent en France.
Le Roi des montagnes est un roman d'Edmond About publié en 1857. Un jeune botaniste tout juste sorti de l'Université est envoyé en Grèce par le Muséum de Paris pour y étudier la flore. À la recherche de plantes rares, il rencontre deux Anglaises, une mère et sa fille, sur le chemin qui le mène à Parnès. Tous les trois se font enlever par une bande de brigands menée par Hadgi-Stavros, le roi des montagnes, réputé pour sa cruauté. Devant le refus de la vieille lady anglaise de payer la rançon, le botaniste, épris de sa fille, tentera à plusieurs reprises de s'échapper.
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Ce livre, écrit en 1851, raconte les souvenirs du séjour en Grèce de l'Edmond About (1852-1854). Il décrit les Grecs comme un peuple de moines, de fonctionnaires et de brigands, qui met toute sa finesse à duper l'Europe en exploitant chez elle la religion de l'antique Hellade. Un livre plein d'ironie et de satire, qui reste toujours d'actualité surtout avec la crise de la dette dans ce pays.
" N'y a-t-il aucun moyen de supprimer les intermédiaires ? Est-ce que cent travailleurs associés pour faire leurs emplettes ne représentent pas, entre eux tous, le ménage d'un riche ? Les soldats associés sous les drapeaux dépensent moins d'un franc par jour, et vivent bien. Si l'union peut accomplir de tels miracles, elle en fera d'autres. Le capital nous impose ses lois, et l'on nous dit qu'il régnera sur nous jusqu'à la fin des siècles. Mais à force d'empiler des pièces de dix sous, est-ce que nous n'arriverions pas, entre nous tous, à créer un capital ? Et le capital une fois né, ne serions-nous pas en état de travailler pour notre compte, sans partager nos profits avec personne ? Pensez-vous que vingt ouvriers, sachant tous leur affaire, ne feraient pas un patron, comme vingt francs font un louis ?..."
Hacia la mitad de la calle de la Universidad, entre los números 51 y 57, se ven cuatro hoteles que pueden citarse entre los más lindos de París. El primero pertenece al señor Pozzo di Borgo, el segundo al conde Mailly, el tercero al duque de Choiseul y el último, que hace esquina a la calle Bellechasse, al barón de Sanglié.El aspecto de este edificio es noble. La puerta cochera da entrada a un patio de honor cuidadosamente enarenado y tapizado de parras centenarias. El pabellón del portero está a la izquierda, envuelto entre el follaje espeso de la hiedra, donde los gorriones y los huéspedes de la garita parlotean al unísono. En el fondo del patio, a la derecha, una amplia escalinata resguardada por una marquesina, conduce al vestíbulo y a la gran escalera.La planta baja y el primer piso están ocupados por el barón únicamente, que disfruta sin compartirlo con nadie un vasto jardín, limitado por otros jardines, y poblado de urracas, mirlos y ardillas que van y vienen de ése a los otros en completa libertad, como si se tratara de habitantes de un bosque y no de ciudadanos de París.Las armas de los Sanglié, pintadas en negro, se descubren en todas las paredes del vestíbulo. Son un jabalí de oro en un campo de gules. El escudo tiene por soporte dos lebreles, y está rematado con el penacho de barón con esta leyenda: Sang lié au Roy.Como media docena de lebreles vivos, agrupados según su capricho, se aburren al pie de la escalera, mordisquean las verónicas floridas en los vasos del Japón o se tienden sobre la alfombra alargando la cabeza serpentina. Los lacayos, sentados en banquetas de Beauvais, cruzan solemnemente los brazos, como conviene a los criados de buena casa.
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