Gør som tusindvis af andre bogelskere
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.Du kan altid afmelde dig igen.
Des affaires célèbres et emblématiques non résolues et qui ne le seront sans doute jamais avec la disparition du journaliste et animateur de la chasse au trésor, Philippe De Dieuleveult. D'autres qui ont demandé quant à elles de nombreuses années comme Dino Scala, le violeur de la Sambre.Une part est réservée au grand banditisme comme il est coutume de l'appeler avec Antonio Ferrara, aux monstres tels que Thierry El Borgi Philippe Siauve Franck Feuerstein & Thierry Jaouen. D'autres crimes parfaitement incompréhensibles que l'on ne peut pas appeler infanticide, car la définition juridique est totalement différente, mais qui ont tout de même assassiné leurs enfants. Je pense à Denis Mannechez ou Anita Varnerot.Le cinéphile que je suis s'est intéressé aussi à l'affaire Gérald Thomassin, ce jeune acteur qui n'a plus donné signe de vie, embarqué dans une sombre affaire de meurtre dans un bureau de poste. Connu pour avoir remporté le cesar du meilleur jeune espoir masculin pour son interprétation dans le petit criminel a mystérieusement disparu alors qu'il était sur le point d'être totalement disculpé des charges qui pesaient sur lui. Le mystère pour le meurtre quant à lui reste entier malgré le travail des enquêteurs.
Traiter du terrorisme n'est pas facile, il faut en parler surtout comme d'une menace. Il faut prudemment éviter de tomber dans le piège de l'extrémisme ou du racisme, certes, à la mode de nos jours, mais qui ne présente aucun avenir, sinon la culture de la guerre et l'incompréhension des peuples.Cet ouvrage est d'abord dédié à elles les victimes, celles dont on parle plus, même si depuis plusieurs années, de nombreuses associations sont créées et reconnues par des fonds d'indemnisation de l'Etat. La journée européenne du 22 février leur est également destinée. Certes, elle ne peut effacer les douleurs physiques et psychologiques subies, mais elle a au moins le mérite de ne pas oublier qu'une souffrance est toujours difficile à oublier, elle est également compliquée à gérer au quotidien, lorsque l'oubli est impossible. C'est seulement lorsque la victime est écoutée et comprise, que l'on peut envisager prudemment une reconstruction, voire un pardon, tout au moins une compréhension.Le terrorisme dans cet ouvrage est traité au sens large. Naturellement, il est parlé d'attentats, les plus connus et les plus médiatiques, comme celui du World Trade Center, ou celui de Munich durant les jeux olympiques de 1972, mais également des attentats qui ont causé un bouleversement dans le monde comme l'assassinat de Jean Jaurès dont on parle beaucoup actuellement avec la célébration du centenaire de la première guerre mondiale. Des hommes comme John Fitzgerald Kennedy oeuvrant pour la paix. Mais la dimension importante que je désire donner à ce livre est aussi un terrorisme à mon sens un peu moins connu, lorsqu'on assassine un magistrat le juge Renaud, un représentant de l'Etat comme le préfet Erignac ou encore un parlementaire comme la député Yann Piat. On s'attaque à une institution donc à un signal fort de l'autorité, c'est aussi une forme de terrorisme.
Au travers des écrits sur les affaires criminelles, il est important de s'interroger régulièrement sur les tenants et aboutissants et de notre façon de penser, comme du fonctionnement de notre société. Il ne faut pas oublier que c'est nous qui formons et essayons jour après jour de façonner notre existence mais aussi le genre humain, avec tout ce qu'il a de bénéfique, mais également ce qu'il a de dangereux avec sa partie obscure.Sur plusieurs volumes « les grands criminels », je me suis efforcé de temps à autre d'ajouter des annexes, le plus souvent en lien avec une ou deux affaires présentées dans le livre. Mais ces annexes se sont avérées peu fructueuses en matière de réflexion. Il m'a semblé important de réunir ces annexes dans un seul ouvrage, les intégrer dans des chapitres distinctifs, les améliorer pour leur donner un sens global et les transformer enfin en des pistes de réflexions. Ainsi le lecteur va découvrir des idées et de la documentation sur la criminologie en général. Il va sans doute adhérer à certaines idées, se détacher d'autres dans lesquelles il ne se reconnaîtra pas, mais l'exercice aura l'énorme atout de le faire s'interroger.
Les affaires criminelles fascinent des millions de Français. Mais pourquoi sommes-nous tant attirés par les faits-divers ? C'est surtout une source de fascination qui se divise en deux parties distinctes, d'une part le dégoût d'autre part l'envie de savoir. Si une affaire connaît de multiples rebondissements, elle intéresse d'autant plus qu'elle multiplie les informations avec le temps, parfois rocambolesques parfois instructives.Depuis le 19ème siècle les canaux d'information se sont multipliés, à la presse écrite, qui parfois est en perte de vitesse, il faut ajouter désormais les médias télévisés quand ce n'est pas les flux internet ou les réseaux sociaux. Mais peut-on dire que l'information est traitée avec le même sérieux ? Pas sûr !Ce nouvel opus contient une fois de plus des affaires célèbre comme l'enlèvement du baron Empain dans les années 1970 ou celle de Malik Oussekine dans les années 1980, il contient d'autres affaires qui met en lumière une fois de plus la perversité de leurs auteurs et l'ingéniosité dont parfois ils font preuve pour échapper à la justice.Il est important de signaler que même si les séries et films donnent parfois des astuces pour ne pas se faire prendre, nos forces de police et de gendarmerie suivent également de manière continue des formations et stages pour les rendre les plus efficaces. Je vous laisse en compagnie de ces nouveaux personnages, qui vont sans doute vous étonner, vous révolter parfois, mais vous passionner, j'en suis sûr, car votre curiosité vous a fait acquérir l'ouvrage, bonne lecture à vous...
Je suis un grand amateur de cinéma, depuis de longues années et la passion pour les grandes affaires criminelles y est parfois liée. Voir un film qui retrace le récit d'un crime est parfois intéressant, tout comme parfois décevant, tout dépend comment le sujet a été abordé, par la pensée unique ou par la volonté de retracer l'histoire, laissant au public la possibilité de se forger sa propre opinion.Dans l'annexe, vous trouverez un texte sur les erreurs judiciaires au cinéma qui me permet de revenir un peu plus longuement sur l'aspect qu'offre le cinéma dans la vision des affaires. Pourtant au gré des discussions, même en expliquant à votre interlocuteur la véracité des faits parfois contraires à la fiction, il arrive fréquemment que vous vous heurtiez à un mur, c'est ce qu'on appelle le pouvoir de l'image. Au lieu d'imaginer, le spectateur a vu la scène au cinéma, dans l'esprit de certains, cela ne fait aucune différence ils se persuadent petit à petit que les images tournées sont la réalité.votre passion pour le 7ème art que je partage également ne doit pas vous faire perdre de vue, l'obligation de vérifier les faits par d'autres voix pour vous faire votre propre opinion, n'écartez aucune possibilité de vous rapprocher de la vérité, n'arrêtez jamais de discuter en faisant preuve d'humilité, si un désaccord persiste avec votre interlocuteur ne soyez pas fâché d'abandonner la discussion, ensuite obligez-vous à revoir vos arguments et réfléchir à votre position, sans pour cela la changer si elle vous parait correcte. Après tout il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis...
Le terrorisme fait parti de notre quotidien. Il faut le traquer sans relâche car sa violence aveugle et la tentative d'abroger nos libertés ne doivent pas nous faire oublier les valeurs républicaines et démocratiques que nous partageons dans notre pays. A plusieurs reprises le terrorisme s'est attaqué à des hommes politiques, des juges, voir des représentants des services de l'ordre. Mais ces dernières années, on a vu également d'autres personnes victimes d'une pensée unique que ces hommes et ces femmes veulent imposer à un pays qui se glorifie, à tort ou à raison, d'être une terre d'asile pour les plus défavorisés de la planète. La France naturellement n'a pas été la seule à être touchée, l'Europe toute entière doit continuer de se battre contre cette menace et sans relâche.Je ne suis pas de confession musulmane, ni pratiquant de la religion chrétienne, je me considère surtout comme athée de toutes croyances. Ce qui ne m'empêche pas de les respecter. Beaucoup de communautés différentes nous apportent leur culture et leur savoir faire, à ce titre nous ne devons pas les ignorer. Toutefois, comme j'aime à le préciser, nos croyances ne doivent pas se pratiquer au mépris de nos libertés qu'elles soient individuelles ou collectives. Si nous n'aimons pas une émission de télévision on éteint le poste, de même si une photo ou un dessin nous choque, nous n'achetons pas le magazine.Les dernières années ont été particulièrement meurtrières et personne ne sait lorsque ceci prendra fin, mais peut-il réellement avoir une fin dans ce monde où chacun vit pour soi en voulant imposer ses propres idées persuadé de détenir la vérité...
Une fois de plus j'ai pris conscience des dangers que pouvaient engendrer certains films retraçant des affaires criminelles. Certes au début du film on nous précise bien qu'il s'agit d'une fiction inspirée de faits réels mais le drame subsiste lorsque des spectateurs sont convaincus qu'ayant vu le film, ils savent tout de l'affaire. J'adore le cinéma et suis un cinéphile averti. Mais je considère surtout le 7ème art comme une distraction. Certains films certes donnent une version proche de la vérité, mais nous devons rester prudents sur les conclusions parfois apportées par la fiction. Comme nous pouvons le constater depuis plusieurs années, les fictions criminelles attirent de plus en plus de personnes, les chaînes de télévision l'ont bien compris. J'espère que ce second opus de crimes et cinéma vous permettra de passer un agréable moment, comme le temps que j'ai passé à l'écrire. Je vous encourage à chaque visionnage de films ou téléfilms de bien garder à l'esprit qu'il s'agit avant tout de fictions pour vous distraire et non de la véracité des faits...
Les années passent, les crimes et assassinats demeurent, il faut croire que cela fait partie de notre quotidien tout au moins de notre mode de vie. Désormais grâce aux avancées technologiques en matière criminelle, les auteurs sont plus rapidement appréhendés et confondus. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la multiplication des séries télévisées sur les crimes et parfois les explications pour échapper à la justice, souvent maladroites, ne suffisent pas à décourager les forces de police et de gendarmerie. Rappelons toutefois aux criminels que les autorités s'améliorent continuellement au fur et à mesure des années dans leurs investigations. Beaucoup de moyens techniques sont mis à disposition et de toute manière, ils bénéficient toujours d'une solide formation, d'une détermination et d'un talent parfois indéniables pour résoudre les affaires, ça s'appelle le flair. Pour ce qui est des avancées technologiques, l'ADN est une preuve désormais reconnue et souvent indissociable d'une enquête criminelle, tout comme la cupidité de son meurtrier, l'affaire Robert Greiner en est l'exemple, près de 20 années pour la résoudre avec un invraisemblable hasard ou coup de chance comme on voudra bien l'appeler, pour confondre son auteur. Comme Yves Dandonneau et son accident maquillé pour toucher les assurances qui aurait pu réussir, sans la perspicacité des enquêteurs des compagnies d'assurances, ou encore Nicolas Charbonnier, cette fois avec une empreinte palmaire.
Un second volume pour un grand pays comme les Etats-Unis quoi de plus normal. un pays gigantesque et des meurtres souvent très typiques de l'Amérique. Il nous revient toujours un exemple en mémoire comme les grands criminels dont on parle encore aujourd'hui, Lucky Luciano pour la pègre ou encore James Earl Ray pour le meurtre de Martin Luther King. D'autres sont tombés dans l'oubli, mais par leurs méfaits, il arrive que le nom de leur auteur ne soit pas connu ou très peu, pourtant chacun se souvient de ce qu'il a commis. La postérité du nom n'est pas toujours liée à la monstruosité de l'acte. Qui se souvient de Sirhan ou encore de Dennis Rader ? Pas grand monde. Par contre, lorsqu'on parle de Robert Kennedy pour Sirhan ou de BTK pour Dennis Rader tout s'éclaire. Certes ce n'est pas propre aux grands pays. En Europe aussi, il arrive qu'un homme ou une femme soit plus connu par son crime que par son patronyme...
Les Etats-Unis sont une grande nation. L'Amérique suscite une véritable fascination qualifiée de rêve américain. Le rapport qu'elle entretient avec le crime est parfois démesuré. Il est souvent difficile de comprendre ni même de l'expliquer. La criminalité qui règne dans cette grande nation ne répond pas aux mêmes critères qu'en Europe du fait de la différence de son système judiciaire et politique. C'est sans doute pour cette raison qu'il fallait les traiter dans une collection à part. Tout au moins pour ajouter les plus célèbres ou les plus emblématiques. Soit pour leur issue saugrenue ou historique.Cette grande nation n'échappe pas à ce qu'on peut appeler l'erreur judiciaire, bien que je n'y crois guère. Toutefois, une en particulier a retenu mon attention, celle de Sacco & Vanzetti, ces deux italiens anarchistes certainement plus condamnés pour leurs idées que pour le méfait qui leur a été reproché. Exécutés sur la chaise électrique, ils ne pourront apprécier leur réhabilitation à titre posthume. C'est aussi la partie que l'on cache souvent de cette Amérique qui fait tant rêver. Comme toutes les nations, elle a son talon d'Achille, ses faiblesses mais aussi ses atouts.Comment ne pas parler de ce pays sans faire quelques points de mire sur tout ce qui en a fait son histoire et ses légendes: dans les annexes, j'ai pris la liberté de porter quelques informations sur deux types de condamnations à mort qui ont existé par le passé aux Etats-Unis, la chambre à gaz et la chaise électrique. Le Ku Klux Klan, héritage de la guerre de sécession, est abordé pour son symbole historique mais aussi pour apporter la preuve, si on en croit l'actualité, que ce grand pays n'a pas encore résolu son combat contre la ségrégation raciale. Pour ce qui est de l'aventure, la prison d'Alcatraz me semblait toute indiquée.
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.