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Ce numéro de Francophonies d'Amérique propose une réflexion sur la question du pouvoir en donnant la parole aussi bien aux professeurs, qu'aux étudiants de divers horizons et disciplines.
For the past four centuries, five major languages have dominated Western literature. This domination has excluded or rendered marginal all other literatures - has, in effect, diminished literary diversity and endangered the existence of the literature of "smaller" cultures. In an illuminating defence for their preservation, François Paré reflects on the diversity of cultures and languages in the world and on the fantastic richness of "smaller" literatures. He offers us memorable samples of this diversity and, in his original and thought-provoking style, tantalizes us with critical musings on the complexity of "marginal" literature and the regenerative power it can offer. Exiguity: Reflections on the Margins of Literature reflects Paré's deep involvement with the development and preservation of minority cultures in Canada.
« […] l'écriture de Jean Marc Dalpé fracture le silence, répète à qui veut l'entendre, jusqu'à la vocifération, la nécessité absolue de la voix, source de toute affirmation et de toute dignité.» L'oeuvre riche et consacrée de Jean Marc Dalpé - trois prix du Gouverneur général - passe ici sous la loupe de dix-sept spécialistes, dont Lucie Hotte, François Ouellet, Dominique Lafon et Mariel O'Neill-Karch, et sous le regard de créateurs, dont Robert Dickson (prix du Gouverneur général). Il s'agit du premier examen en profondeur des trente ans d'écriture de Dalpé : son théâtre, sa poésie, ses romans et nouvelles. Les chercheurs étudient sa langue, «obscure, compacte, fulgurante », et explorent les résonances culturelles et collectives de ce langage «pétri et poli». Ils analysent le sous-texte, le riche non-dit et le tragique qui en émane, « sourd, brutal, invisible comme le vent et qui éparpille les êtres». Ils se penchent sur les rapports de force entre les personnages, le noyau oedipien et la fiction du bâtard. Enfin ils définissent l'ouvrier d'un dire comme acteur social, dont l'influence agit sur les générations de créateurs qui ont suivi.
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