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Reflections on Violence was an explosive and controversial book in 1906, and it remains so today. In it, Georges Sorel rejects the decadence of bourgeois democracy and calls for a heroic vitalism of the working class, to be brought about by any means necessary, including violence.Sorel chastises the republicanism and parliamentary socialism of his day, but his insights apply to any vanguardist movement, making him of interest beyond the left, and a precursor to fascism. Drawing on Bergson, Renan, Vico, and others, Sorel underlines myth as the driving force behind political action, and offers the myth of the general strike as the way forward for the syndicalist movement.Sorel's insistence on the myth of the general strike can easily be transposed on to any group's quest for self-determination, and so his critiques of politicians, of utopians, and of moderates are as relevant today as they were a century ago.In the Imperium Press edition, the original translator's preface, which defends Sorel's purging of democracy from socialism, has been restored, along with two of Sorel's essays not included in the original Hulme translation. This edition also includes a foreword by Thomas777 and an essay on the historical context in which Sorel was writing
Réflexions sur la violence" est en effet l'une des ¿uvres majeures de Georges Sorel. Cet ouvrage, publié pour la première fois en 1908, explore les notions de violence, de révolution et de syndicalisme. Georges Sorel y développe l'idée que la violence peut être un moyen de transformation sociale et politique, remettant en question les idées traditionnelles sur la réforme pacifique.L'ouvrage a eu une influence significative sur le mouvement ouvrier et a été particulièrement étudié dans le contexte du syndicalisme révolutionnaire. Sorel a cherché à établir une relation entre la violence prolétarienne et le changement social, mettant en avant l'idée que la grève générale pourrait être un moyen de renverser l'ordre établi."Réflexions sur la violence" a suscité des débats et des controverses, et son impact s'est fait sentir dans les milieux intellectuels et politiques de l'époque.
Ce livre explore les réflexions des physiciens modernes sur les questions liées à la métaphysique. Georges Sorel offre une critique intellectuelle stimulante et une perspective nouvelliste sur la nature de l'univers et de la réalité.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
La Psychologie Du Juge (1894) di Sorel, Georges ����� un saggio che esplora la psicologia del giudice e il suo ruolo nella societ������. L'autore analizza il modo in cui i giudici prendono le loro decisioni e come le loro esperienze personali influenzano il loro giudizio. Il libro esamina anche il sistema giudiziario francese del XIX secolo e le critiche che riceveva. Sorel sostiene che i giudici dovrebbero essere imparziali e basare le loro decisioni sulla legge e sui fatti, piuttosto che su pregiudizi personali o opinioni politiche. La Psychologie Du Juge ����� un'opera importante per la comprensione della giustizia e della psicologia giudiziaria.This Book Is In Italian.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Le Procès De Socrate: Examen Critique Des Thèses Socratiques Georges Sorel F. Alcan, 1889
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
"Ainsi ont disparu tous les messies sociaux du XIXe siècle, sans avoir laissé aucune trace dans le mouvement économique qu'ils avaient prétendu diriger de très haut; leur activité s'est dépensée en bavardages qui ont été rapidement oubliés; ils n'ont été que des vagabonds aussi fantastiques que celui de ce conte" (Georges Sorel). Les Matériaux d'une théorie du prolétariat comptent, avec les Réflexions sur la violence et Les Illusions du progrès, parmi les plus grands textes de Georges Sorel.
La philosophie de la violence de Georges Sorel réunit au plus haut point toutes les ambiguïtés des philosophies de la vie, du pragmatisme et des pensées socialistes révolutionnaires. La violence dont il fait l'éloge est celle de la grève générale syndicaliste dont la force de bouleversement sera telle qu'elle devrait mettre purement et simplement fin à l'existence de l'Etat. Mouvement d'insurrection de toute une classe, sans commune mesure avec les réponses répressives que peut lui apporter le pouvoir bourgeois, la violence ne peut que vaincre. Elle mène au pouvoir mais elle permet aussi au prolétariat de trouver son identité. Il doit en naître un monde politique inédit: car il ne s'agit pas de remplacer un groupe dominant par un autre, mais d'ouvrir une ère politique nouvelle purifiée par la violence.
Dans son Introduction à l'économie moderne, édité pour la première fois en 1903, Georges Sorel s'arrête sur différentes thèses et présente les penseurs et précurseurs de la science économique. Il s'interroge sur les interactions entre le droit et la propriété, de ces dernières avec la liberté, la constitution de la famille ou l'héritage. Ces questions fondamentales s'articulent avec celles concernant les rapports de la production et de la consommation: coopératives paysannes ou coalitions commerciales, mais aussi caisses de secours et de retraite. Surtout, au-delà des considérations économiques, il pose la question de la place de l'homme: ce n'est point pour les artisans que cette socialisation est faite, mais pour les forces de travail, pour des abstractions d'hommes.
" M. Merlino a été longtemps classé parmi les écrivains anarchistes; il s'était séparé de ses anciens amis, il y a quelque temps, en conseillant le vote; mais c'était là un détail de bien minime importance. Le livre qu'il publie aujourd'hui est d'un qui ne fut jamais anarchiste, comme disent les Temps nouveaux (21 août 1897): il prouve jusqu'à l'évidence que ce pseudo-libertaire ignore les bases de l'idée anarchiste et ses progrès en clarté et en logique. Dans la Critica sociale du 16 juillet se trouve un compte rendu très sympathique, où l'on signale cet ouvrage comme une excellente contribution à la révision, devenue nécessaire, des principes fondamentaux du socialisme. Les partis socialistes semblent extrêmement divisés, quand on examine la question superficiellement; mais ils ont tous un fond commun important, qui se manifeste dès que l'on passe de l'idéologie à la vie pratique. M. Merlino estime qu'il n'y a en France que deux groupes: d'un côté les marxistes, les possibilistes et autres légalitaires, qui se sont inspirés dans leurs programmes des idées de M. Brousse; - de l'autre les ouvriers socialistes-révolutionnaires. Mais encore faut-il ajouter que ces deux groupes ont de grandes analogies, car les révolutionnaires ont, dans leur congrès de Dijon, en 1894, adopté un programme agraire fort semblable à celui que les marxistes ont rédigé à Marseille en 1892 et complété à Nantes en 1894. C'est que, suivant M. Merlino, les principes organisateurs [du socialisme] ne doivent pas être déduits... de doctrines scientifiques particulières, mais de l'observation des besoins et des tendances de la société dans laquelle nous vivons, de leurs transformations progressives et des combinaisons sociales qui en jaillissent ..."
« Depuis longtemps, j'ai été frappé de voir que le déroulement normal des grèves comporte un important cortège de violences ; quelques savants sociologues cherchent à se dissimuler un phénomène que remarque toute personne qui consent à regarder ce qui se passe autour d'elle. Le syndicalisme révolutionnaire entretient l'esprit gréviste dans les masses et ne prospère que là où se sont produites des grèves notables, menées avec violence. Le socialisme tend à apparaître, de plus en plus, comme une théorie du syndicalisme révolutionnaire, - ou, encore, comme une philosophie de l'histoire moderne en tant que celle-ci est sous l'influence de ce syndicalisme. Il résulte de ces données incontestables que, pour raisonner sérieusement sur le socialisme, il faut avant tout se préoccuper de chercher quel est le rôle qui appartient à la violence dans les rapports sociaux actuels. Je ne crois pas que cette question ait été encore abordée avec le soin qu'elle comporte ; j'espère que ces réflexions conduiront quelques penseurs à examiner de près les problèmes relatifs à la violence prolétarienne »
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
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La philosophie de la violence de Georges Sorel réunit au plus haut point toutes les ambiguïtés des philosophies de la vie, du pragmatisme et des pensées socialistes révolutionnaires. La violence dont il fait l'éloge est celle de la grève générale syndicaliste dont la force de bouleversement sera telle qu'elle devrait mettre purement et simplement fin à l'existence de l'État. Mouvement d'insurrection de toute une classe, sans commune mesure avec les réponses répressives que peut lui apporter le pouvoir bourgeois, la violence ne peut que vaincre. Elle mène au pouvoir mais elle permet aussi au prolétariat de trouver son identité. Il doit en naître un monde politique inédit : car il ne s'agit pas de remplacer un groupe dominant par un autre, mais d'ouvrir une ère politique nouvelle purifiée par la violence.
L'avenir socialiste des syndicats (Nouvelle édition, considérablement augmentée) / G. SorelDate de l'édition originale: 1901Sujet de l'ouvrage: Syndicats -- Activité politiqueCollection: Bibliothèque d'études socialistes; VLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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