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On n'oublia pas de faire voir à Mandelslo un tombeau nommé Bety-Chuit, c'est-à-dire la honte d'une fille, et dont on lui raconta l'origine. Un riche marchand, nommé Hadjóm-Madjom, étant devenu amoureux de sa fille, et cherchant des prétextes pour justifier l'inceste, alla trouver le juge ecclésiastique, et lui dit que dès sa jeunesse il avait pris plaisir à planter un jardin, qu'il l'avait cultivé avec beaucoup de soin, et qu'on y voyait les plus beaux fruits; que ce spectacle causait de la jalousie à ses voisins, et qu'il en était importuné tous les jours; mais qu'il ne pouvait leur abandonner un bien si cher, et qu'il était résolu d'en jouir lui-même, si le juge voulait approuver ses intentions par écrit. Cet exposé lui fit obtenir une déclaration favorable, qu'il fit voir à sa fille: mais ne tirant aucun fruit de son autorité ni de la permission du juge, il la viola. Mahomet Begheram, informé de son crime, lui fit trancher la tête, et permit que de ses biens on lui bâtît ce monument, qui rend témoignage du crime et de la punition.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
Melanie Of De Rampzalige Kloosterdwang, Treurspel (1770) is een toneelstuk geschreven door Jean Francois de La Harpe. Het verhaal draait om Melanie, een jonge vrouw die gedwongen wordt om in een klooster te leven tegen haar wil. Ze wordt verliefd op een jonge man genaamd Valcour, maar haar liefde wordt niet beantwoord. Ondertussen wordt ze geconfronteerd met de harde realiteit van het kloosterleven en de onderdrukking van vrouwen in die tijd. Het stuk behandelt thema's als liefde, vrijheid en de rol van vrouwen in de samenleving. Het is een tragisch verhaal dat de lezers meeneemt op een emotionele reis door de ervaringen van Melanie.This Book Is In Dutch.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
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Le seul désir de recevoir quelques nouvelles informations nous fit gouverner vers eux. Un calme qui survint tout d'un coup était peut-être une faveur du ciel qui voulait nous dérober au danger; mais nous nous obstinâmes si fort à suivre la même route, qu'ayant joint la rame à nos voiles, nous fûmes bientôt assez près des trois navires pour reconnaître que c'étaient des galiotes turques. Nous prîmes aussitôt la fuite avec un effroi qui nous fit tourner nos voiles vers la terre. C'était avancer notre malheur en donnant à nos ennemis l'avantage d'un vent soudain, dont nous avions cru pouvoir profiter; ils nous poursuivirent à toutes voiles jusqu'à la portée du fusil, et, lâchant toutes leurs bordées à cette distance, ils mirent nos fustes dans un état déplorable. Cette décharge nous tua neuf hommes et nous en blessa vingt-six. Ensuite ils nous joignirent de si près, que de leur poupe ils nous blessaient aisément avec le fer de leurs lances. Cependant quarante-deux bons soldats qui nous restaient encore sans blessures, reconnaissant que notre conservation dépendait de leur valeur, résolurent de combattre jusqu'au dernier soupir. Ils attaquèrent courageusement la principale des trois galères, sur laquelle était Soliman Dragut.
Le livre ""Oeuvres Choisies Et Posthumes De M. De La Harpe V2"" (1806) par Jean-Francois De La Harpe est une collection de textes s�����lectionn�����s et publi�����s apr�����s la mort de l'auteur. Il s'agit de la deuxi�����me partie de cette collection. La Harpe �����tait un �����crivain, critique litt�����raire et dramaturge fran�����ais du XVIIIe si�����cle. Ce livre comprend des pi�����ces de th����������tre, des essais, des po�����mes et des lettres de La Harpe. Les textes traitent de sujets vari�����s tels que la litt�����rature, l'histoire, la philosophie et la politique. Ils refl�����tent �����galement les opinions et les id�����es de La Harpe sur la soci�����t����� fran�����aise de son �����poque. Cette �����dition est une ressource pr�����cieuse pour les �����tudiants et les chercheurs int�����ress�����s par la litt�����rature et la culture du XVIIIe si�����cle en France.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
Quoiqu'elle soit fort dure, elle n'est pas à l'épreuve des zagaies. Il a l'odorat extrêmement subtil: avec le vent, il sent de fort loin toutes sortes d'animaux, et marche vers eux en ligne droite, en renversant tout sur son passage. S'il n'est point irrité par quelque offense, il n'attaque jamais les hommes, à moins qu'ils ne soient malheureusement en habit rouge, car alors il s'élance avec fureur sur eux; et s'il en saisit un, il le jette par-dessus sa tête avec tant de violence, que la chute est mortelle. Ses yeux sont fort petits pour sa taille, et ne lui servent à voir que devant lui; aussi la méthode la plus sûre pour l'éviter, lorsqu'on est à neuf ou à dix pas de lui, c'est de sauter un peu de côté. Quoique sa course soit fort légère, il est si lent à se tourner, qu'il lui en coûte beaucoup pour se mettre en état de voir son ennemi. Il mange peu d'herbe: il préfère les branches, les arbrisseaux, les chardons même, et surtout une sorte d'arbuste qui ressemble au genièvre.
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L'arsenal et les autres magasins de guerre occupent le bord de la rivière, près d'une petite île sablonneuse, où l'on conserve le Thecada. Cette rivière, que les habitans nomment Song-koï, ou la grande rivière, prend sa source dans l'empire de la Chine. Après un fort long cours, elle vient traverser Kécho, d'où elle va se décharger dans la baie de Haynan, par huit ou neuf embouchures, dont la plupart reçoivent des vaisseaux médiocres. Elle est d'une extrême commodité pour la capitale, où elle fait régner continuellement l'abondance, par la multitude infinie de barques et de bateaux qu'elle y amène, chargés de toutes sortes de marchandises et de provisions. Cependant les habitans des provinces, qui font leur principale occupation de ce commerce, ont tous leurs maisons dans quelque village, et n'habitent point dans leurs barques, comme Tavernier l'assure faussement.
John, qui était hardi et subtil, ayant examiné leurs forces, répondit qu'il voulait voir quelque témoignage du traité des Brandebourgeois. Il ajouta même que ce traité prétendu ne pouvait leur donner droit qu'à l'artillerie et aux pierres de l'édifice, puisque le terrain n'appartenait pas aux Européens pour en disposer; que les premiers possesseurs lui en avaient payé la rente, et que, depuis le parti qu'ils avaient pris de l'abandonner, il était résolu de ne pas recevoir d'autres blancs. Ces raisonnemens ayant irrité les Hollandais, ils jetèrent quelques bombes dans la place. Ensuite, aussi furieux d'eau-de-vie que de colère, ils débarquèrent quarante hommes sous la conduite d'un lieutenant, pour former une attaque régulière. Mais John, qui avait eu le temps de se mettre en embuscade avec des forces supérieures, fondit brusquement sur eux, et les tailla tous en pièces. Il ajouta l'insulte à la victoire, en faisant paver l'entrée de son palais des crânes des morts.
"Mélanie" de Jean-François de La Harpe. écrivain et critique français (1739-1803).
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Le livre ""Refutation Du Livre De L�������Esprit"" a �����t����� �����crit par Jean Francois De La Harpe en 1797. Dans cet ouvrage, l'auteur r�����fute les id�����es pr�����sent�����es dans le livre ""L'Esprit"" de Helv�����tius, qui pr�����nait une vision mat�����rialiste de l'homme et de la soci�����t�����. De La Harpe argumente que l'homme est dot����� d'une �����me et que la morale ne peut ������tre r�����duite ������ des consid�����rations mat�����rielles. Il critique �����galement l'id�����e selon laquelle l'�����ducation peut tout r�����soudre et affirme que la religion est n�����cessaire pour guider l'homme vers le bien. Ce livre est consid�����r����� comme une r�����ponse importante aux id�����es de Helv�����tius et a suscit����� de nombreux d�����bats et controverses ������ l'�����poque.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
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En général, ils sont tous fort pauvres, menteurs, perfides, et les plus grands voleurs du monde. Leur taille est médiocre. Ils se frisent les cheveux, qu'ils ont fort noirs et flottans sur leurs épaules. Tous les jours ils les humectent avec de la graisse de poisson; et quoique l'odeur en soit fort désagréable, ils regardent cet usage comme une parure. Ils n'avaient connu d'autres chrétiens que les Portugais, avec lesquels ils avaient eu la guerre pendant treize ou quatorze ans. Cadamosto assure que, lorsqu'ils avaient vu des vaisseaux, spectacle inconnu à leurs ancêtres, ils les avaient pris pour de grands oiseaux avec des ailes blanches, qui venaient de quelques pays éloignés. Ensuite les voyant à l'ancre et sans voiles, ils avaient conclu que c'étaient des poissons. D'autres, observant que ces machines changeaient de place, et qu'après avoir passé un jour ou deux dans quelque lieu, on les voyait le jour suivant à cinquante milles, et toujours en mouvement au long de la côte, s'imaginaient que c'étaient des esprits vagabonds, et redoutaient beaucoup leur approche.
Il fit présent au nouvel amiral du pavillon qu'il devait arborer, sur lequel était la croix de l'ordre militaire du Christ; et c'est sur cette croix que Gama fit serment de fidélité. Il reçut du roi des lettres pour divers princes de l'Orient, entre autres pour le samorin de Calicut; et, partant de Bélem, il mit à la voile, le 8 juillet 1497, avec trois vaisseaux et cent soixante hommes. Les moindres détails acquièrent un degré d'intérêt dans un voyage devenu si célèbre, et l'une des grandes époques de la navigation. Les trois vaisseaux se nommaient le Saint-Gabriel, le Saint-Raphaël et le Berrio. Les deux capitaines qui accompagnaient l'amiral étaient Paul de Gama son frère, et Nicolas Nugnez. Son pilote, Pedro de Alanguez, avait fait la route avec Diaz. Ils étaient suivis d'une grande barque chargée de provisions, commandée par Gonzale Nugnez, et d'une caravelle qui allait à la Mina sous le commandement de Barthélémy Diaz. Une tempête les sépara de l'amiral à la vue des Canaries. Ils se rejoignirent huit jours après au cap Vert. Le lendemain ils jetèrent l'ancre à San-Iago, l'une des îles du cap, et prirent quelques jours pour radouber leurs vaisseaux.
Les Barm�����cides, Trag�����die: En Cinq Actes Et En Vers (1778) est une pi�����ce de th����������tre �����crite par Jean-Fran�����ois de La Harpe. L'histoire est bas�����e sur la dynastie des Barm�����cides, qui �����taient des vizirs influents dans l'Empire abbasside au VIIIe si�����cle. La pi�����ce suit l'histoire de Jaafar, le vizir en chef, et de sa famille alors qu'ils sont accus�����s de trahison et ex�����cut�����s par le calife Haroun al-Rachid. La pi�����ce explore les th�����mes de la loyaut�����, de la trahison et de la justice, ainsi que les tensions entre le pouvoir et la famille. La pi�����ce est �����crite en vers et est consid�����r�����e comme un exemple important de la trag�����die fran�����aise du XVIIIe si�����cle.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
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Il eut l'honneur de les présenter à sa majesté dans une assemblée générale des grands de l'empire, qui avait été convoquée à cette occasion. Ce prince reçut avec beaucoup de satisfaction le présent du père Verbiest, et le fit placer dans les archives du palais. En même temps il voulut récompenser un si grand service, et créa le père Verbiest président du tribunal des mathématiques, avec le titre de tagin, ou de grand homme, qui appartient à ette dignité, et que l'empereur étendit à toutes les personnes de son sang. Comme Verbiest n'avait personne de sa famille à la Chine, tous les autres missionnaires de son ordre passèrent pour ses frères, et furent considérés sous ce titre par les mandarins. La plupart des missionnaires firent inscrire sur la porte de leurs maisons le titre de tagin: c'est l'usage des Chinois: fiers des titres qu'ils ont obtenus, ils ne manquent point de les faire graver dans plusieurs endroits de leur demeure, et même sur les lanternes qu'on porte devant eux pendant la nuit.
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