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Comment faire vivre la poésie ? Comment lui assurer une présence dans une société qui n'en fait pas grand cas. À ces questions que tout poète et tout amoureux de la poésie se pose, l'auteur a souhaité, en y associant les contributions de Monique Marta, Michel Bernier, Brigitte Maillard, Roselyne Camelio et Beth Gersh-Nesic, apporter sa propre réponse. Celle-ci voudrait à la fois être inscrite dans le moment présent et le dépasser, afin de rester en accord avec ce qui taraude depuis toujours le coeur du poète.
Beth Gersh-Nesic is a New York art historian and art critic. Jean-Luc Pouliquen is a poet and literary critic, who lives in the South of France. They share a deep appreciation for the poet/critic André Salmon, who was the close friend of poet/critic Guillaume Apollinaire and artist Pablo Picasso. From both sides of the Atlantic Ocean, they reminisce about the beginning of the twentieth century when Salmon participated in the great adventure Cubism. Transported by their conversation, the two travel down the road of time to the most recent contemporary expressions. Within this exchange, they ask each other about the current state of affairs for poetry and art in Europe and in the United States, how the new forms of communication spread the word about the arts, and how these art forms are shared from one culture to another. As they acknowledge the globalization of art, they conclude with the statement that once again the arts try to "do good," as was their purpose in the past.
D'une braderie de livres où étaient proposés à la vente plusieurs milliers d'ouvrages, l'auteur a rapporté douze titres. Il va s'appliquer à raconter ce qui le rattache à chacun d'entre eux, à dire ce qui l'a attiré dans la Grèce antique et le Cubisme, chez Agrippa d'Aubigné, Robert Louis Stevenson, Léon Tolstoï, Apollinaire, Francis Jammes, les poètes de l'École de Rochefort, Marie Noël, Pierre Emmanuel ainsi que les écrivains diplomates. De chapitre en chapitre, il va composer ainsi un miroir dans lequel se reflète son itinéraire de poète.
Le magazin littéraire Espace de l'Être - Poésie Traduction et Essai, dirigée par Maria do Sameiro Barroso, paraît comme un besoin de croissance et de dialogue. Il est né d'une pulsation organique, comme celle de la poésie elle-même, invitant à la réflexion et au partage. C'est un espace ouvert sur le monde, un point de convergence qui ajoute des visages et des silences, décodés dans des voix multiples, régistres et de tendances poétiques. Ce premier numero spéciale, avec la collaboration de Jean-Luc Pouliquen, est dediée à la litérature française.
À Hyères, au bord de la Méditerranée, se dressent des immeubles qui ont pour nom: "La Chatte sur un toit brûlant", "L'Heure éblouissante" ou encore "Vu du pont". Avant de devenir des références cinématographiques, ces titres ont fait partie du répertoire des pièces jouées à Paris au théâtre Antoine alors dirigé par Simone Berriau. C'est à elle que l'on doit de les avoir choisis pour donner un parfum de théâtre à la résidence qu'elle avait fait construire à même la plage à l'intention des comédiens. Ce livre en retrace l'histoire. Il se souvient de ses hôtes célèbres comme Louis de Funès et Michel Serrault. Il nous conduit jusqu'au domaine de Mauvanne où Simone Berriau l'a imaginée. Il rappelle encore cette grande époque de l'après-guerre où le théâtre Antoine vit passer Sartre, Camus, Louis Jouvet et Jean Vilar. Au fil des pages, à travers les lieux et les personnages présentés, c'est finalement un portrait de Simone Berriau elle-même qui est dessiné. Celui d'une femme au parcours exceptionnel qui nous fait revivre une époque et un monde dont le souvenir est toujours présent dans la mémoire collective.
Dessiné en étoile, l'itinéraire poétique de l'auteur va le conduire vers les philosophes Gaston Bachelard et Nicolas Berdiaeff pour leurs propos sur l'imagination, vers les poètes de L'École de Rochefort, vers Bertrand d'Astorg, Serge Bec et André Salmon. Il va également l'amener à s'interroger sur la condition même du poète et ses possibilités de transmettre sa passion pour la poésie par la critique littéraire ou la pédagogie.
I was only happy once: that was at Hyères confie Robert Louis Stevenson en 1891 à son ami Sidney Colvin depuis l'archipel des Samoa où il séjourne désormais. Qu'a-t-il donc vécu de si particulier dans cette cité méditerranéenne du sud de la France, berceau de la Côte d'Azur, où il s'est installé entre février 1883 et juin 1884 ? Ce court essai esquisse une réponse. Il s'appuie pour cela sur les témoignages de Fanny, la femme de l'écrivain, mais aussi de Lloyd Osbourne, son beau-fils. Les lettres envoyées à ses amis livreront également de précieuses indications. Tandis que la lecture de ce qu'il aura publié ou écrit pendant la période - essais - nouvelles - romans - poésies - récits de voyages, nous éclairera à la fois sur ses préoccupations du moment et sur son imaginaire.
Robert Louis Stevenson lived in Hyères from February 1883 until June 1884. Through his letters written at the time to family and friends, the precious testimonies of his wife and stepson, and the references to his work, we understand why the time spent in the Mediterranean resort became so special to the author. "I was only happy once: that was at Hyères" Robert Louis Stevenson wrote this in 1891, in a letter to his friend Sidney Colvin from his last abode in Samoa, in the Pacific.
Les 3 B, c'est comme cela que l'auteur désigne Gaston Bachelard, Nicolas Berdiaev et Martin Buber. Tous les trois ont eu le privilège de participer dans les années trente aux fameuses Décades de Pontigny créées par Paul Desjardins. Ce livre s'attarde sur ce moment privilégié de la vie culturelle européenne et sur ce qu'il peut révéler du parcours humain et philosophique des 3 B. Entre le philosophe français, le penseur russe et le traducteur de la Bible en allemand, des convergences vont apparaître et des sympathies vont naître. Le signe le plus tangible sera l'initiative prise par Gaston Bachelard de faire traduire en français Ich und Du de Martin Buber, livre qu'a lu en allemand Nicolas Berdiaev et qu'il apprécie beaucoup. Ces secrètes correspondances se poursuivront dans une deuxième partie où l'auteur s'attachera à montrer la place jouée par l'imagination dans la pensée de Gaston Bachelard et de Nicolas Berdiaev.
Trois séquences d'écriture pour célébrer, en poésie et en chanson, Paris, l'amour, la femme et la nature.
Voici une méthode illustrée par l'exemple, et complétée de réflexions, pour amener les enfants à une écriture poétique. Cette méthode a été mise au point par un poète, qui est allé pendant plus de dix ans, pratiquer son art dans les établissements scolaires et les bibliothèques, en France et à l'étranger. L'enseignant, l'éducateur, le pédagogue y trouveront un mode d'emploi précis, fait de séances thématiques, de consignes et de jeux, pour permettre au jeune public de découvrir les ressources cachées de l'écriture. Lorsque celle-ci devient la rivière où peuvent s'écouler sentiments et émotions, le miroir des rêves et de l'imaginaire, le lien avec le monde dans sa beauté des origines, il n' y a plus à hésiter: L'enfant a tout à gagner à retrouver les chemins de la poésie !
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