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Henri Becquet est insoumis et déserteur en 1917, il est condamné au bagne militaire à Bougie, en Algérie. Dans sa prison, il se souvient de son enfance, de sa jeunesse et de sa passion pour l'écriture. Il devient journaliste et à travers ses enquêtes, il découvre les véritables raisons de la guerre de 1914, pourquoi et comment les hommes politiques de l'époque ont pu manipuler l'opinion pour en arriver au plus grand massacre de l'histoire de l'humanité. Et comme l'écrivait Châteaubriant: Faites attention à l'Histoire que l'imposture se charge d'écrire .
La malédiction est un sort hostile et une série de malheurs, qui semblent venir soit d'une puissance supérieure, soit de la destinée, mais dans les deux cas, la personne ou le lieu est maudit. C'est ce qui semble arriver à la famille qui habite le hameau de Kervarguet en Basse Bretagne. Nous sommes en 1828, en pleine restauration, un retour à la monarchie de la maison des Bourbons, sous le règne de Charles X. Des suicides par pendaison, des empoisonnements ont lieu dans le hameau de Kervarguet. On parle de l'Ankou, ce messager de la mort qui accompagne la vie des Bretons depuis des siècles. Car dans le pays, aucun mur ne sépare le monde imaginaire du monde réel. Les croyances ont donné naissance à des récits, où les acteurs principaux sont les âmes des morts. C'est l'Ankou qui frappe de sa faux les vivants et les emporte sur son char. On raconte, avec la même bonne foi et la même sincérité, qu'un homme a été tué par un arbre qui s'est abattu sur lui ou que le fiancé mort est venu, la nuit chercher dans la maison des parents, sa fiancée qu'on a retrouvée morte le lendemain matin. Si vous voulez comprendre et pénétrer plus avant dans l'âme des Bretons, c'est que la Bretagne est avant toute chose le pays de la Mort. Les morts y vivent avec les vivants dans une étroite intimité, ils sont mêlés à leur vie, Voici ce que dit un notable au lieutenant de gendarmerie, Joseph Fruchart qui doit mener l'enquête sur cette série de meurtres...
Le 14 octobre 1914, la ville de Roubaix passe sous la domination et la loi martiale de l'occupant allemand. Le colonel-major Hoffman, à la tête d'un régiment d'infanterie bavarois va maintenir la ville et ses occupants, comme toutes les autres zones occupées, dans un quotidien fait de souffrance, de privation et de désolation. Roubaix est devenue une kommandantur d'étape. Cela va durer quatre ans. En novembre 1918, un journaliste britannique du Morning Post décrit les villes de l'agglomération de Lille Roubaix Tourcoing, de la façon suivante: Des villes mortes à l'extrémité d'un désert, tout est détruit, il ne reste rien . Exécution, otage, pillage, rançonnement, travail forcé, déportation, tous ces mots que l'on a longtemps cantonnés à la période de la seconde guerre ont eu une signification tout aussi importante dans la zone occupée de la première guerre. La résistance à l'occupant s'est pourtant organisée, côtoyant malgré tout la collaboration. Dans la ville de Roubaix, une rue ouvrière, la Rue des Longues Haies est peuplée des gens qui travaillaient dans les filatures de la ville aux mille cheminées. Les habitants se sont retrouvés au chômage durant quatre ans, les usines ayant cessé leur activité dès octobre 1914. Un réseau de résistance va se créer.
La bataille de Waterloo est une énigme. Elle est aussi obscure pour ceux qui l'ont gagnée que pour celui qui l'a perdue. Ce fut la prodigieuse habileté du hasard . Victor Hugo qualifiait ainsi la bataille de Waterloo, plus connu en France durant le XIXe siècle sous le nom de la bataille du Mont-Saint-Jean.Ferdinand et Pierre sont cousins germains, originaires de la Flandre. Ils sont voltigeurs dans la garde Impériale. Ils sont fiers d'en faire partie. Les châtiments corporels sont interdits. Les soldats s'appellent Monsieur . Le port de la moustache est obligatoire, et il faut mesurer 1 m 73 au minimum. Ils doivent porter les cheveux longs en deux tresses nouées sur la nuque, poudrées de blanc et attachées par un cordon et une médaille frappée de l'aigle impérial. Comme tous les soldats de la Garde, ils ont un anneau d'or à chaque oreille, la taille d'un écu. Ils doivent savoir lire et écrire. C'est l'histoire de ces volontaires des 9 départements de la Belgique, qui durant 20 ans firent partie de la France, et qui, dès le retour de l'Empereur de l'île d'Elbe, le rejoignirent pour combattre à ses côtés.
Fin 1956, l'Assemblée nationale Française se réunit pour examiner une proposition de résolution invitant le gouvernement à organiser la célébration du deuxième centenaire de la naissance de Robespierre en 1958. Elle émet l'avis de quelques députés d'organiser, en son honneur, un hommage solennel, ainsi qu'une journée de commémoration dans les écoles et les universités. Elle propose enfin de favoriser par de larges subventions les travaux historiques, les expositions et les oeuvres dramatiques du grand homme. Voici l'histoire de l'examen en commission de cette résolution.
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