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Bøger af Jean-Pierre Pichette

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  • af Jean-Pierre Pichette
    290,95 kr.

    Fondée à Sudbury en 1992, la Société Charlevoix est un regroupement d'universitaires qui se consacrent à des travaux savants sur l'Ontario français. Par son nom, la Société honore la mémoire du jésuite Pierre-François-Xavier de Charlevoix (1682-1761), qui a laissé des observations remarquables sur le territoire ontarien. Limités en tout temps à dix en nombre, ses membres examinent les réalités franco-ontariennes selon les perspectives variées qu'apportent leurs disciplines. Leur élection se fait par cooptation, à l'unanimité des voix. Depuis 1995, la Société Charlevoix publie les Cahiers Charlevoix. Études franco-ontariennes, un collectif exclusivement dévolu à la diffusion des travaux de ses membres. Le numéro 14 comprend des articles de: Jean-Pierre Pichette, Yves Frenette, Simon Laflamme, Julie Boissonneault, Ali Reguigui, Serge Miville et Michel Bock.

  • - Etudes franco-ontariennes
    af Simon Laflamme, Michel Bock, Yves Frenette, mfl.
    270,95 kr.

    Coincidant avec le vingt-cinquieme anniversaire de la Societe Charlevoix, la fournee 2018 de ce douzieme cahier reunit six etudes.Simon Laflamme publie l'affidavit qui a t utilis par le Commissariat aux langues officielles pour appuyer la cause qu'il dfendait contre la Socit Radio-Canada. la suite des compressions budgtaires de 2009 dont elle avait t victime, la socit d'tat rduisait fortement sa programmation la station de radio Cbef de Windsor.Yves Frenette propose un regard comparatif de l'historiographie dans trois aires de la francophonie canadienne entre 1970 et 2000. Au cours de cette priode de transition, les identits traditionnelles acadienne et canadienne-franaise dclinent progressivement au profit de nouvelles identits francophones provincialises.Julie Boissonneault se penche sur la perception qu'on a de la langue des Franco-Ontariens. La langue franaise parle en Ontario fait souvent l'objet d'un discours dprciatif qui tablit la comptence des Franco-Ontariens l'aune de leurs manquements au franais de rfrence. Or, ce discours, qui ne tient pas compte de l'enjeu de la variation interne de toute langue et des processus naturels d'volution des parlers, nourrit des reprsentations l'gard du parler qui sont souvent partielles ou fausses et qui, en retour, peuvent mener un sentiment d'incomptence chez le locuteur franco-ontarien.Ali Reguigui inscrit son tude dans le cadre de la phontique articulatoire et de la sociophontique, fonde sur les donnes d'un questionnaire sociolinguistique recueillies auprs de sujets franco-ontariens. Il examine le cas de la consonne roule alvolaire voise /r/ du latin, qui a persvr en ancien franais et moyen franais jusqu'au xviie sicle dans les centres urbains, et jusqu'au XVIIIe sicle en gnral pour se faire remplacer par la consonne roule uvulaire voise, communment qualifie de grasseye et marque comme variante de prestigeMarcel Bnteau fait le bilan de la chanson traditionnelle franaise en Ontario et trace son volution dansle temps et l'espace. L'auteur dcrit le travail qu'il a entrepris pour dterminer en premier lieu en quoi consiste le rpertoire de l'Ontario franais ; cette fin, il prcise quelles sont ses balises historiques et gographiques (o et quand le rpertoire s'est-il implant sur le territoire ?) et ce qu'il comprend au juste (combien de chansons ? quelles chansons ? quelles catgories de chansons ?).Jean-Pierre Pichette verse un nouveau chapitre au dossier de la transposition des rcits oraux dans des oeuvreslittraires. l'analyse des crits destins la jeunesse de l'crivaine Marie-Rose Turcot (Cahiers Charlevoix 3) et de l'ethnologue Marius Barbeau (Cahiers Charlevoix 4), il ajoute l'examen des petits contes drolatiques qu'un autre crivain d'Ottawa, Rgis Roy (1864-1944), a publis entre 1906 et 1928.Michel Bock a compil dans la Chronique les faits saillants survenus depuis la parution du dernier volume et les nouvelles des membres relies leurs activits professionnelles. Nous y joignons le compte rendu des activits rcentes de la Socit des Dix que son secrtaire, Fernand Harvey, a prpar notre intention.Ce livre est publi en franais.

  • af Simon Laflamme, Michel Bock & Jean-Pierre Pichette
    273,95 kr.

    Ce dixième volume des Cahiers Charlevoix regroupe cinq études sur l'Ontario français, qui traitent du diocèse de Sault-Sainte-Marie dans le conflit franco-irlandais entre 1904 et 1934; des perspectives amoureuses et conjugales des jeunes du nord-est de l'Ontario; des aspects de l'histoire des Franco-Ontariens du Centre et du Sud-Ouest de 1970 à 2000; de l'art perdu de faire des chansons de la région du Détroit ainsi que des propos et confidences du jésuite ethnologue Germain Lemieux.

  • af Jean-Pierre Pichette
    308,95 kr.

    Jean-Pierre Pichette présente le troisième chapitre de « Germain Lemieux par lui-même », ce qui complète la série autobiographique du célèbre ethnologue (1914-2008) qui a oeuvré en Ontario français durant plus d'un demi-siècle. Tirées de la longue entrevue accordée à l'auteur en 1995, ces ultimes confidences du père Lemieux portent sur les genres de la littérature orale - conte et chanson - qu'il a privilégiés.Simon Laflamme examine la notion d'identité telle qu'elle se révèle dans les travaux des spécialistes des sciences humaines qui se sont penchés sur l'Ontario français. Après avoir mis en évidence des théories générales puis planté quelques balises historiques, il considère les travaux selon leur domaine d'analyse : l'éducation, la politique et le juridique, le genre, la famille, les médias, les arts et les sports. Au terme de cette recension, il met en lumière les deux thèses qui polarisent le discours : l'assimilation et l'hybridité.Yves Frenette propose un tour d'horizon de l'histoire sociale de la francophonie nordaméricaine, entre le départ de la France du continent, en 1763, et la Première Guerre mondiale. Divisé en deux périodes, ce long XIXe siècle « franco-américain » voit tout à la fois l'expansion et la contraction du fait français, à la mesure, d'une part, des migrations, et, d'autre part, de l'ascendance hégémonique de la langue anglaise.Julie Boissonneault pose son regard sur la fréquentation des établissements universitaires, elle se demande dans quelle langue les Franco-Ontariens font leur scolarité. Sont alors mises en jeu la langue maternelle et la langue de la scolarité à l'élémentaire et au secondaire comme vecteurs de leur motivation à étudier en français au palier supérieur.Ali Reguigui convient que s'il existe un nombre important de recherches portant sur la phonétique et la phonologie des emprunts intégrés et sur la manière dont les mots empruntés sont ajustés et reproduits selon les schèmes phonétiques de la langue receveuse, les études scrutant le traitement phonétique et prosodique de l'emprunt intégral en franco-ontarien font défaut. Il livre ici les prémices d'une enquête préliminaire sur la prosodie de l'emprunt.Michel Bock propose une analyse de la pensée politique du père oblat Georges Simard (1878- 1956), théologien et professeur à l'Université d'Ottawa pendant la première moitié du XXe siècle. Rattaché, à l'origine, à la faction nationaliste intransigeante des oblats canadiens-français, le père Simard changea son fusil d'épaule pour épouser d'abord le « bon-ententisme », puis le loyalisme, après que Rome fut intervenue pour condamner le nationalisme catholique à la fois e

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