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This comprehensive guide to veterinary medicine covers a wide variety of animals and provides detailed information on the inner workings of animal bodies and the diseases that can afflict them. With a focus on practical strategies for preventing and treating disease, Erxleben's work is an essential resource for veterinarians, farmers, and anyone interested in the health of animals.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
... Trois causes principales mettent, à mon avis, la Flandre et la Hollande hors de pair avec tous les pays réputés les plus riches en tableaux hollandais et flamands. La première est qu'on ne peut voir qu'en Flandre cinq ou six vieux chefs-d'oeuvre, derniers et incomparables témoins de l'art flamand primitif; la seconde, qu'au XVIIe siècle, à son âge viril, ce même art a produit en Hollande certaines oeuvres vraiment exceptionnelles et par la dimension des toiles et par la puissance du pinceau, oeuvres restées dans le pays, destinées à n'en jamais sortir, et qui révèlent chez ceux qui les créèrent des dons et des facultés qu'ailleurs on ne leur connaît pas. Vient enfin la troisième cause, qui risque par malheur de disparaître un jour, et qui déjà s'est beaucoup affaiblie: je veux parler des collections particulières que l'esprit de famille a sauvées jusqu'ici, dernier reste des nombreux cabinets formés il y a deux siècles, aux jours les plus brillants de l'école hollandaise; petits musées harmonieux et épurés, où chaque maître semble avoir travaillé pour un ami ou pour un bienfaiteur, et s'est comme efforcé de dire son dernier mot...
Parmi les peintres d'élite, les uns déjà dans la tombe, les autres encore debout, qui depuis un demi-siècle ont illustré notre école, Ary Scheffer occupait non-seulement un des premiers rangs, mais une place à part. Cette place, il l'avait conquise par une originalité véritable, par quelque chose qui lui était propre dans la manière de percevoir et d'exprimer le beau. Talent sincère, naturel, indépendant, fidèle à sa vocation, sans souci de la mode, sans trouble du succès des autres, il avait la foi de l'artiste, et ce n'était pas là sa moindre originalité. Cette foi, qui décline et périt d'heure en heure chez nos plus jeunes et chez nos plus habiles, chez lui ne faisait que grandir à mesure qu'il prenait des années. Chaque jour, il devenait donc une exception plus rare, un contraste vivant plus utile à observer, un plus précieux exemple. Aussi, lorsque naguère la mort l'est venue frapper avant le déclin de l'âge et à l'apogée du talent, l'émotion a été profonde, le regret unanime...
Le 13 octobre 1066, au moment où les armées d'Harold et de Guillaume allaient en venir aux mains dans les plaines d'Hastings, un cavalier normand sortit des rangs, lança son cheval en avant du front de bataille, et, pour préparer ses compagnons à vaincre ou à mourir, entonna la chanson de Roland. Ce n'est pas là une invention poétique; ce n'est pas seulement Robert Wace qui, dans ses vers, nous montre l'armée normande s'animant aux noms de Charlemagne, et de Roland, et d'Olivier et des vassaux qui moururent à Roncevaux; les historiens les plus dignes de foi, Guillaume de Malmesbury, Mathieu Paris, Ralph Higden, Albéric des Trois-Fontaines, Mathieu de Westminster, parlent tous de ce chant carlovingien inaugurant la bataille et répété en choeur par les soldats du conquérant. Nous savons jusqu'au nom du trouvère intrépide qui paradait en chantant entre les deux armées: il était serviteur du comte de Mortain et se nommait Taillefer...
Voilà quatre cents ans que l'invention est née d'imprimée des estampes. Quatre siècles, c'est une vie déjà longue pour des feuilles de papier qui passent de mains en mains et risquent à chaque instant d'être déchirées, froissées, tachées, égarées ou brûlées. Il faut presque un miracle pour qu'elles échappent à toutes ces chances de destruction; aussi les estampes qui remontent aux premiers temps de la gravure, à la moitié du XVe siècle, ou seulement au commencement du XVIe, sont aujourd'hui si rares et d'un tel prix, possédées par des mains si jalouses, conservées avec de telles précautions, que l'étude en devient presque impossible; pour l'artiste, surtout à ses débuts, elles sont comme si elles n'étaient pas...
Depuis que nous savons, par quelques mots du Moniteur, que la collection Campana ne sera pas érigée, comme on le pensait d'abord, en musée spécial et indépendant, qu'on ne lui bâtira pas un palais, et qu'elle ira tout simplement se fondre dans les galeries du Louvre, remarquez-vous comme on en parle moins? Jusque-là c'était un enthousiasme qui ne pouvait se contenir, et dont pendant trois mois tous les journaux, le Moniteur en tête, nous envoyaient l'écho chaque matin, D'où vient le calme d'aujourd'hui ? Pourquoi cette froideur subite ? Tout ce concert d'admiration n'était-il donc qu'un plaidoyer, et parce que la sentence est rendue, les avocats n'ont-ils plus rien à dire ? ou bien serait-il vrai, comme ils l'annonçaient tous, que le principal intérêt de cette collection était dans son autonomie, que diviser cet harmonieux ensemble, rompre ce précieux faisceau, c'était nécessairement diminuer la valeur non-seulement de la collection même, mais de chacun des objets dont elle est composée ? Si tel est en effet le résultat probable du parti qu'on a pris, nous nous joignons à ceux qui le déplorent, et nous comprenons leur silence; mais ces craintes sont-elles vraiment fondées ? Nous avons sur ce point quelques doutes. Essayons de les éclaircir pendant qu'il en est temps encore, pendant que nous avons devant nous la pièce du procès, la collection dans son intégrité et son indépendance, telle qu'on voudrait la maintenir. Soit simple curiosité, soit, si l'on veut esprit de contradiction, c'est depuis qu'on ne dit plus rien du musée Campana que l'envie nous vient d'en parler...
L'ancienne cathédrale de Noyon n'a pas la célébrité qu'elle mérite. Elle ne peut lutter, il est vrai, ni en étendue, ni en élévation, avec ces immenses églises qui font la gloire de Chartres, de Reims ou d'Amiens ; mais la beauté de son plan, la sévérité de ses formes, l'harmonie de ses proportions, lui donnent droit à être comptée parmi nos monuments religieux du premier ordre. Ajoutons qu'il y a dans sa construction certaines particularités qui en font des types les mieux caractérisés de cette époque de transition, où l'arcade à plein cintre, dépossédée de sa vieille suprématie, et près de disparaître pendant trois siècles de notre sol, se mariait encore à l'ogive victorieuse et envahissante.C'est surtout à ce titre, c'est comme objet d'étude, comme document utile à la solution de problèmes encore obscurs, que ce monument aussi important que peu connu mérite une sérieuse attention. Plus son architecte présente de remarquables anomalies, plus il importerait de pouvoir fixer avec certitude les dates auxquelles se rapporte chaque partie de sa construction...
Parmi les peintres d'élite, les uns déjà dans la tombe, les autres encore debout, qui depuis un demi-siècle ont illustré notre école, Ary Scheffer occupait non-seulement un des premiers rangs, mais une place à part. Cette place, il l'avait conquise par une originalité véritable, par quelque chose qui lui était propre dans la manière de percevoir et d'exprimer le beau. Talent sincère, naturel, indépendant, fidèle à sa vocation, sans souci de la mode, sans trouble du succès des autres, il avait la foi de l'artiste, et ce n'était pas là sa moindre originalité. Cette foi, qui décline et périt d'heure en heure chez nos plus jeunes et chez nos plus habiles, chez lui ne faisait que grandir à mesure qu'il prenait des années. Chaque jour, il devenait donc une exception plus rare, un contraste vivant plus utile à observer, un plus précieux exemple. Aussi, lorsque naguère la mort l'est venue frapper avant le déclin de l'âge et à l'apogée du talent, l'émotion a été profonde, le regret unanime...
... Trois causes principales mettent, à mon avis, la Flandre et la Hollande hors de pair avec tous les pays réputés les plus riches en tableaux hollandais et flamands.La première est qu'on ne peut voir qu'en Flandre cinq ou six vieux chefs-d'¿uvre, derniers et incomparables témoins de l'art flamand primitif ; la seconde, qu'au XVIIe siècle, à son âge viril, ce même art a produit en Hollande certaines ¿uvres vraiment exceptionnelles et par la dimension des toiles et par la puissance du pinceau, ¿uvres restées dans le pays, destinées à n'en jamais sortir, et qui révèlent chez ceux qui les créèrent des dons et des facultés qu'ailleurs on ne leur connaît pas. Vient enfin la troisième cause, qui risque par malheur de disparaître un jour, et qui déjà s'est beaucoup affaiblie : je veux parler des collections particulières que l'esprit de famille a sauvées jusqu'ici, dernier reste des nombreux cabinets formés il y a deux siècles, aux jours les plus brillants de l'école hollandaise ; petits musées harmonieux et épurés, où chaque maître semble avoir travaillé pour un ami ou pour un bienfaiteur, et s'est comme efforcé de dire son dernier mot...
Eustache Lesueur naquit à Paris en 1617, originaire de Montdidier en Picardie, était un sculpteur assez médiocre qui avait encore moins de fortune que de talent, mais qui sut reconnaître de bonne heure les dispositions de son fils pour le dessin. Ne se sentant pas de force à lui servir de guide, il se hasarda à soumettre ses essais enfantins au peintre alors à la mode, au peintre tout puissant, au premier peintre du roi, Simon Vouet, qui consentit à recevoir le jeune Lesueur dans son école.Vers la même époque, un autre enfant, moins âgé de deux ans, fils aussi d'un pauvre sculpteur, était introduit dans l'atelier de Vouet ; il se nommait Charles Lebrun. Mais, comme si la destinée de ces deux hommes n'eût pas voulu se démentir un seul jour, tandis que Lesueur était admis par grâce et presque par charité, Lebrun se voyait reçu avec empressement et déférence. Un puissant personnage, le chancelier Séguier, lui avait ouvert la porte, et s'engageait à le protéger de sa bourse et de sa faveur...
Depuis que nous savons, par quelques mots du Moniteur, que la collection Campana ne sera pas érigée, comme on le pensait d'abord, en musée spécial et indépendant, qu'on ne lui bâtira pas un palais, et qu'elle ira tout simplement se fondre dans les galeries du Louvre, remarquez-vous comme on en parle moins? Jusque-là c'était un enthousiasme qui ne pouvait se contenir, et dont pendant trois mois tous les journaux, le Moniteur en tête, nous envoyaient l'écho chaque matin, D'où vient le calme d'aujourd'hui? Pourquoi cette froideur subite ? Tout ce concert d'admiration n'était-il donc qu'un plaidoyer, et parce que la sentence est rendue, les avocats n'ont-ils plus rien à dire ? ou bien serait-il vrai, comme ils l'annonçaient tous, que le principal intérêt de cette collection était dans son autonomie, que diviser cet harmonieux ensemble, rompre ce précieux faisceau, c'était nécessairement diminuer la valeur non-seulement de la collection même, mais de chacun des objets dont elle est composée ?...
... Quel est donc ce travail ? L'¿uvre de Clément Marot rendue à sa pureté native grâce à la révision et aux comparaisons les plus patientes et les plus sûres des primitives éditions. Le texte restitué est précédé d'une vie du poète, portrait de l'homme et de son époque, qui est à lui seul tout un livre. Nul n'était en mesure de tracer ce portrait avec un plus heureux mélange d'exactitude et d'imagination. Le sujet est charmant, le temps et le personnage délicieux à peindre. C'est en Quercy, dans la bonne ville de Cahors, au bord du Lot, ce torrent encaissé et limoneux, dans ce pays riant et coloré, rocailleux et fertile, que Marot vient au monde. Il est de famille normande ; ses parents habitaient les environs de Caen, et, sans qu'on sache trop pourquoi, étaient venus planter leur tente sous ce soleil méridional. L'enfant garda toute sa vie le souvenir de son pays, bien qu'il en fût sorti dès l'âge le plus tendre. En une matinée, dit-il, n'ayant dix ans, en France fus mené....
Le 13 octobre 1066, au moment où les armées d'Harold et de Guillaume allaient en venir aux mains dans les plaines d'Hastings, un cavalier normand sortit des rangs, lança son cheval en avant du front de bataille, et, pour préparer ses compagnons à vaincre ou à mourir, entonna la chanson de Roland.Ce n'est pas là une invention poétique ; ce n'est pas seulement Robert Wace qui, dans ses vers, nous montre l'armée normande s'animant aux noms de Charlemagne, et de Roland, et d'Olivier et des vassaux qui moururent à Roncevaux; les historiens les plus dignes de foi, Guillaume de Malmesbury, Mathieu Paris, Ralph Higden, Albéric des Trois-Fontaines, Mathieu de Westminster, parlent tous de ce chant carlovingien inaugurant la bataille et répété en ch¿ur par les soldats du conquérant. Nous savons jusqu'au nom du trouvère intrépide qui paradait en chantant entre les deux armées : il était serviteur du comte de Mortain et se nommait Taillefer...
Voilà quatre cents ans que l'invention est née d'imprimée des estampes. Quatre siècles, c'est une vie déjà longue pour des feuilles de papier qui passent de mains en mains et risquent à chaque instant d'être déchirées, froissées, tachées, égarées ou brûlées. Il faut presque un miracle pour qu'elles échappent à toutes ces chances de destruction ; aussi les estampes qui remontent aux premiers temps de la gravure, à la moitié du XVe siècle, ou seulement au commencement du XVIe, sont aujourd'hui si rares et d'un tel prix, possédées par des mains si jalouses, conservées avec de telles précautions, que l'étude en devient presque impossible ; pour l'artiste, surtout à ses débuts, elles sont comme si elles n'étaient pas...
"... Au bout de quelques séances, tout Pindare n'était pas traduit, mais il était comme ébauché dans ses parties principales. Pas un fragment notable, pas un hymne célèbre sur lequel, en passant, notre vaillant jouteur n'eût entamé la lutte. Ses confrères, comme on pense, l'excitaient à l'envi, sachant bien qu'une fois à moitié du chemin, il irait jusqu'au bout. Peut-être même espéraient-ils déjà qu'après la traduction viendrait le commentaire. Et en effet que de choses à dire non-seulement sur Pindare, sur ses vers, sur son temps, sur ses rivaux de gloire, mais sur la poésie lyrique elle-même! A quelles conditions se produit-elle en ce monde? quelle en est l'essence et l'origine? Est-elle de tous les temps et de tous les climats? tous les états de société peuvent-ils lui donner naissance? N'est-il pas chez les peuples certain degré d'élévation morale et religieuse au-dessous duquel elle ne fleurit pas ? Quels furent ses triomphes, ses chutes, ses renaissances? Quelle est son histoire en un mot, et quel peut être son avenir? Autant de questions qui se pressent et s'enchaînent dès qu'on jette les yeux sur ces chants immortels..."
"... Que pouvaient les girondins? Ils avaient contre eux la commune, le tribunal révolutionnaire, tous les agents de l'autorité publique; ils ne pouvaient donner un ordre sans être désobéis. Dans le lieu même de leurs séances, les tribunes publiques vociféraient contre eux sans qu'ils eussent le pouvoir de chasser les perturbateurs. Il est vrai qu'au scrutin ils avaient la majorité, c'est-à-dire quelques voix de plus que leurs adversaires, voix timides, incertaines, toujours prêtes à les abandonner. Mieux eût valu quelques soldats : ils n'en avaient pas un. Les seules troupes qu'il y eût alors dans Paris étaient quelques milliers de volontaires recrutés dans les cabarets pour la guerre de Vendée, et soldés par la commune, qui les avait mis sous les ordres du septembriseur Henriot..."
" Si l'Angleterre n'avait pas son ciel gris, son froid soleil, sa brumeuse atmosphère, et l'ennui, cet autre brouillard qui la couvre et l'enveloppe, sa part serait trop belle parmi les nations; la Providence l'eût traitée en fille trop préférée, et les peuples auraient sujet d'en être trop jaloux. Nous ne parlons ni de sa richesse ni de sa puissance: c'est d'un bien plus rare qu'il s'agit. Elle a fait une révolution, elle a couru cette terrible chance; elle en a subi les maux, les excès, les folies, et le but qu'elle se proposait, la conquête qu'elle s'était promise au début de cette grande épreuve, non-seulement ne lui a point manqué, mais depuis bientôt deux siècles elle en est en possession. Le temps n'est pas loin où nous aussi nous pouvions croire qu'au prix de plus grands maux, de plus rudes tempêtes, nous avions atteint le même port. D'apparentes analogies autorisaient seules cet espoir. La symétrie des événements s'est un jour brusquement rompue, et nous sommes retombés dans de nouvelles séries d'épreuves. Ce qui semblait certain n'est plus que problématique. Ce but, ce noble but que nous avions touché, sans le comprendre il est vrai, ce n'est qu'à l'horizon, dans le lointain, qu'il nous apparaît encore, comme à des enfants qui ne peuvent prétendre à se conduire eux-mêmes qu'après avoir grandi en taille et en raison..."
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Médecine Vétérinaire: Exposition Des Médicaments Nécessaires Au Maréchal, Et L'analuse Des Auteurs Qui Ont Ãcrit Sur L'art Vétérinaire, Depuis Végece Jusqu'a Nos Jours; Volume 3 Of Médecine Vétérinaire; Louis Vitet Louis Vitet Perisse ((Frères)) chez les Frères Perisse, 1783 Medical; Veterinary Medicine; General; Medical / Veterinary Medicine / General
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Histoire Des Anciennes Villes De France Louis Vitet Mesnier, 1833
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Etudes Sur L'histoire De L'art, Volume 2; Etudes Sur L'histoire De L'art; Louis Vitet Louis Vitet Art; Individual Artist; Art / Individual Artist
This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work was reproduced from the original artifact, and remains as true to the original work as possible. Therefore, you will see the original copyright references, library stamps (as most of these works have been housed in our most important libraries around the world), and other notations in the work.This work is in the public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.As a reproduction of a historical artifact, this work may contain missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Le livre ""M�����decine V�����t�����rinaire V2, Partie 2 (1771)"" de Vitet, Louis est un ouvrage de r�����f�����rence dans le domaine de la m�����decine v�����t�����rinaire. Il s'agit de la deuxi�����me partie du deuxi�����me volume de l'ouvrage, qui a �����t����� publi����� en 1771. Le livre couvre une vari�����t����� de sujets li�����s ������ la m�����decine v�����t�����rinaire, notamment la physiologie animale, les maladies animales, les traitements et les rem�����des. Il est �����crit en fran�����ais et est destin����� aux professionnels de la m�����decine v�����t�����rinaire ainsi qu'aux �����tudiants en m�����decine v�����t�����rinaire.L'auteur, Louis Vitet, �����tait un v�����t�����rinaire fran�����ais du XVIIIe si�����cle qui a travaill����� ������ la cour de Louis XV. Il �����tait connu pour son expertise en anatomie animale et pour ses contributions ������ la m�����decine v�����t�����rinaire.Dans l'ensemble, ""M�����decine V�����t�����rinaire V2, Partie 2 (1771)"" est un ouvrage important pour ceux qui travaillent dans le domaine de la m�����decine v�����t�����rinaire et pour ceux qui s'int�����ressent ������ l'histoire de la m�����decine v�����t�����rinaire.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Monographie De L'Eglise Notre-Dame De Noyon (1845) est un livre �����crit par Louis Vitet. Il s'agit d'une �����tude d�����taill�����e de l'�����glise Notre-Dame de Noyon, situ�����e dans le d�����partement de l'Oise en France. Le livre comprend une description de l'histoire de l'�����glise, de son architecture, de ses sculptures et de ses vitraux. Il contient �����galement des informations sur les �����v�����nements historiques qui ont eu lieu dans l'�����glise, ainsi que sur les personnalit�����s qui y ont �����t����� enterr�����es. Le livre est illustr����� de nombreuses gravures et photographies qui montrent les d�����tails de l'�����glise et de ses �����uvres d'art. Cette monographie est une ressource pr�����cieuse pour les historiens, les architectes et les amateurs d'art int�����ress�����s par l'histoire de l'�����glise Notre-Dame de Noyon.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Médecine Vétérinaire: Exposition Des Médicaments Nécessaires Au Maréchal, Et L'analuse Des Auteurs Qui Ont Ãcrit Sur L'art Vétérinaire, Depuis Végece Jusqu'a Nos Jours; Volume 3 Of Médecine Vétérinaire; Louis Vitet Louis Vitet Perisse ((Frères)) chez les Frères Perisse, 1771 Medical; Veterinary Medicine; General; Medical / Veterinary Medicine / General
"... Que pouvaient les girondins? Ils avaient contre eux la commune, le tribunal révolutionnaire, tous les agents de l'autorité publique; ils ne pouvaient donner un ordre sans être désobéis. Dans le lieu même de leurs séances, les tribunes publiques vociféraient contre eux sans qu'ils eussent le pouvoir de chasser les perturbateurs. Il est vrai qu'au scrutin ils avaient la majorité, c'est-à -dire quelques voix de plus que leurs adversaires, voix timides, incertaines, toujours prêtes à les abandonner. Mieux eût valu quelques soldats: ils n'en avaient pas un. Les seules troupes qu'il y eût alors dans Paris étaient quelques milliers de volontaires recrutés dans les cabarets pour la guerre de Vendée, et soldés par la commune, qui les avait mis sous les ordres du septembriseur Henriot. Ainsi ceux contre qui tant de gens conspiraient n'étaient pas difficiles à vaincre. Ils n'avaient que des phrases pour lutter contre des bras, des piques, des canons, et leurs plus grands ennemis, c'étaient encore eux-mêmes, c'étaient leurs indécisions, leurs faiblesses, leur incurable imprévoyance. S'ils avaient été d'autres hommes, ils auraient eu des défenseurs: une partie des sections se prononçaient peureux sans oser se mettre en mouvement. En payant de leur personne, ils les auraient entraînées, et alors quel désarroi dans les rangs de l'insurrection! La moindre démonstration de résistance eût dérangé tous les calculs. N'avait-on pas vu, dans la soirée du 26 mai, la société des jacobins éperdue, consternée à la seule nouvelle que la section de la Butte des Moulins venait de prendre les armes pour l'assemblée? L'idée qu'un modéré pût se battre faisait sur ces buveurs de sang l'effet d'un coup de foudre; la séance fut suspendue; il fallut que Robespierre les gourmandât et leur prouvât que la nouvelle était fausse, sans cela ils ne l'auraient point écouté. Avis éternel à ceux qui ont affaire à la démagogie: elle n'avance que quand on recule; dès qu'on marche en avant, elle fuit..."
... Quel est donc ce travail ? L'oeuvre de Clément Marot rendue à sa pureté native grâce à la révision et aux comparaisons les plus patientes et les plus sûres des primitives éditions. Le texte restitué est précédé d'une vie du poète, portrait de l'homme et de son époque, qui est à lui seul tout un livre. Nul n'était en mesure de tracer ce portrait avec un plus heureux mélange d'exactitude et d'imagination. Le sujet est charmant, le temps et le personnage délicieux à peindre. C'est en Quercy, dans la bonne ville de Cahors, au bord du Lot, ce torrent encaissé et limoneux, dans ce pays riant et coloré, rocailleux et fertile, que Marot vient au monde. Il est de famille normande; ses parents habitaient les environs de Caen, et, sans qu'on sache trop pourquoi, étaient venus planter leur tente sous ce soleil méridional. L'enfant garda toute sa vie le souvenir de son pays, bien qu'il en fût sorti dès l'âge le plus tendre. En une matinée, dit-il, n'ayant dix ans, en France fus mené....
La Ligue Pr�����c�����d�����e des �����tats d'Orl�����ans V1: Sc�����nes Historiques (1872) de Vitet, Louis est un livre qui raconte l'histoire de la Ligue, un mouvement politique et religieux qui a �����merg����� en France au XVIe si�����cle. Le livre commence par une pr�����sentation des �����tats d'Orl�����ans, une assembl�����e politique qui s'est tenue en 1560 et qui a �����t����� marqu�����e par la pr�����sence de nombreux membres de la Ligue. Ensuite, le livre d�����crit les �����v�����nements qui ont conduit ������ la cr�����ation de la Ligue, ainsi que ses objectifs et ses actions. Le livre se termine par une analyse de la fin de la Ligue et de ses cons�����quences pour la France. La Ligue Pr�����c�����d�����e des �����tats d'Orl�����ans V1: Sc�����nes Historiques (1872) est un livre important pour comprendre l'histoire de la France au XVIe si�����cle et l'�����mergence de la Ligue comme un mouvement politique et religieux majeur.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Le Médecin Du Peuple Ou Traité Complet Des Maladies Dont Le Peuple Est Communément Affecté Ouvrage Composé Avant La Révolution Française Louis Vitet les frères Périsse, 1804
Le livre ""M�����decine V�����t�����rinaire V2, Partie 1 (1771)"" de Louis Vitet est un ouvrage de r�����f�����rence dans le domaine de la m�����decine v�����t�����rinaire. Il s'agit d'un livre en deux volumes, dont le premier volume a �����t����� publi����� en 1771. Le livre traite de sujets tels que l'anatomie, la physiologie et la pathologie des animaux de ferme, ainsi que de la sant����� et de l'hygi�����ne des animaux domestiques. L'auteur, Louis Vitet, �����tait un v�����t�����rinaire fran�����ais renomm����� du XVIIIe si�����cle, qui a travaill����� pour la cour royale de France. Il �����tait connu pour son expertise en mati�����re de soins aux animaux et pour son approche scientifique de la m�����decine v�����t�����rinaire. Le livre est �����crit en fran�����ais et est destin����� aux professionnels de la m�����decine v�����t�����rinaire, ainsi qu'aux �����tudiants en m�����decine v�����t�����rinaire et aux propri�����taires d'animaux. Il est consid�����r����� comme un classique de la litt�����rature v�����t�����rinaire et est toujours utilis����� comme r�����f�����rence aujourd'hui. En r�����sum�����, ""M�����decine V�����t�����rinaire V2, Partie 1 (1771)"" de Louis Vitet est un livre important dans le domaine de la m�����decine v�����t�����rinaire, qui traite de sujets tels que l'anatomie, la physiologie et la pathologie des animaux de ferme, ainsi que de la sant����� et de l'hygi�����ne des animaux domestiques. Il est �����crit en fran�����ais et est destin����� aux professionnels de la m�����decine v�����t�����rinaire, aux �����tudiants en m�����decine v�����t�����rinaire et aux propri�����taires d'animaux.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
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