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Since the closure of the Second Vatican Council in 1965, the importance of the laity in the Democratic Republic of the Congo has grown unceasingly. The Congolese laity are no longer passive onlookers but are now dynamic partners in the evangelising mission of the Church. In conformity with Book II of the 1983 Code of Canon Law, they founded, and indeed are still founding, lay associations and ecclesial movements in order to fulfill their baptismal vocation in the modern world. An association of the faithful is an important tool to Church's mission, ad intra as well as ad extra. Every single association embodies two juridical aspects, including juridical and pastoral aspects. Brother Masumbuko's essay deals with the juridical aspect of the Council of the Apostolate of the Catholic Laity of the Congo (CALCC) without, however, ignoring its pastoral implications. The CALCC was established by the Congolese Bishops' Conference as a public association and at the same time as a self-governing aggregate of associations and movements of the laity. Later on, it came to be inoperative due mainly to its juridical hybridism. Thus, revising the Statutes of the CALCC is one of making it attain the goals assigned to it by the ecclesiastical competent authority. This undertaking should be carried out by the very laity under the higher direction of the competent authority who established it.
Depuis la clôture du Concile Vatican II, l'importance des laïcs n'a cessé d'augmenter en RD Congo. Les laïcs congolais ne sont plus des spectateurs passifs mais des acteurs dynamiques au service de la mission évangélisatrice de l'Eglise. Conformément aux dispositions du Livre II du Code de Droit Canonique de 1983, ils ont fondé, et fondent encore, des associations et mouvements ecclésiaux pour répondre à leur vocation baptismale dans le monde de ce temps. Une association de fidèles est un instrument pour la mission de l'Eglise ad intra et ad extra. Chaque association renferme deux aspects interdépendants: le juridique et le pastoral. Le livre du Frère Masumbuko traite de l'aspect juridique du Conseil de l'Apostolat des Laïcs Catholiques du Congo (CALCC). Toutefois, il n'ignore pas ses implications pastorales. Le CALCC a été créé, par la Conférence Episcopale Nationale du Congo, à la fois comme une association publique des fidèles et une plate-forme autonome des associations et des mouvements des laïcs. Le constat fait est qu'il survit dans une sorte d'hybridisme juridique qui le rend inopérant. Une révision de ses Statuts s'impose donc pour lui permettre de répondre aux objectifs que l'autorité ecclésiastique compétente lui a assignés. Cette démarche devrait être menée par les laïcs eux-mêmes, sous la haute direction de la hiérarchie.
Ils ont beau crier le nombre des victimes, 6, 7, 8 millions, personne ne le sait. Ils ont beau évoquer le calvaire des femmes, devenues à la fois enjeux et champs de cette guerre de basse intensité dans laquelle le Congo est plongé depuis près de 20 ans. Ils ont beau appeler au secours pour que cesse cette guerre de prédation, condensé extrême de la violence capitaliste coloniale en expansion infinie, de plus en plus vorace et éhonté, sans foi ni loi, ni retenue. Rien n'arrête le temps, rien n'arrête la mort, rien n'arrête la pieuvre à multiples bras pour qui la vie humaine ne vaut rien, surtout quand elle est lointaine et pigmentée.
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