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Rocamadour, accroché à sa falaise depuis des siècles, recèle de magnifiques trésors historiques et archéologiques que l'on vient admirer depuis le monde entier. Ce guide a été réalisé par l'historien Nicolas Savy est pour vous permettre de visiter cet endroit exceptionnel de manière agréable, du château à la ville basse en passant par la cité sainte et le hameau de l'Hospitalet. Après vous avoir conté l'histoire du lieu, il vous propose deux circuits de visite afin de s'adapter à tous. Au fil de votre promenade, tous les monuments vous seront présentés et, à la fin de votre visite, vous serez sûr de n'avoir rien manqué.En format papier ou ebook, ce guide est étudié pour vous permettre de commencer votre visite depuis n'importe quel parking de Rocamadour, autant ceux du plateau que ceux de la vallée. Nous recommandons toutefois aux personnes à mobilité réduite de se garer sur le plateau.
L'art de vivre et la quiétude du Quercy sont appréciés de tous, tant de ses habitants que des touristes qui y viennent par milliers tous les étés. Pourtant, la province ne fut pas toujours un endroit aussi accueillant, car elle fut transformée en théâtre de guerre à de nombreuses reprises par le passé. Durant ces périodes troubles, les Quercinois affrontèrent tour à tour les légionnaires romains, les hommes d'armes anglais et les soldats allemands; lors des guerres de Religion, ils se battirent même furieusement les uns contre les autres. Les quelques épisodes racontés dans cet ouvrage vous plongent au coeur des moments les plus intenses de ces affrontements. Après les avoir lus, vous ne regarderez plus les paisibles collines caussenardes et leurs vallées encaissées de la même façon.
Ô mon pays... Cet appel prenant émane des centaines de lettres écrites à leurs proches par trois paysans lotois, Gabriel, Louis et Jean-Pierre, mobilisés pendant la guerre 1914-1918; il traduit la nostalgie des temps heureux et de leurs petits villages qui les étreignait alors qu'ils vivaient dans la boue, le froid et le danger permanent. Ces lettres, Nicolas SAVY les a fait sortir de leurs vieilles cachettes pour nous conter les souffrances et les espoirs de ces hommes perdus au milieu des horreurs du front, mais aussi ceux de leurs familles restées au pays.
Le village médiéval de Saint-Cirq-Lapopie, bien plus que le village préféré des Français, est un site connu internationalement qui, chaque année, attire des milliers de touristes venus du monde entier. Afin que vous puissiez le visiter de manière agréable, l'historien Nicolas Savy a conçu ce guide pratique et exhaustif: après vous avoir conté l'histoire du lieu, il vous propose deux circuits de visite afin de s'adapter à tous. Au fil de votre promenade, tous les monuments vous seront présentés et, à la fin de votre promenade sur le rocher du château et le long des ruelles médiévales, vous serez sûr de n'avoir rien manqué.En format ebook ou papier, ce guide vous permettra de commencer votre visite depuis n'importe quel parking de Saint-Cirq-Lapopie, autant ceux situés sous le village que ceux situés au-dessus.
Les archives de Cajarc (46) présentent une richesse exceptionnelle pour le XIVe siècle. Au fil des milliers de pages des documents qu'elles contiennent, on peut observer le fonctionnement politique et la vie sociale d'une petite communauté des bords du Lot durant cette difficile période, entre guerre, épidémies de peste et récession. On voit aussi son horizon se réduire pour devenir provincial après avoir porté sur les confins du monde méditerranéen. Et pourtant, malgré tout, on découvre des habitants vivant dans une certaine normalité en s'adaptant aux aléas des temps. C'est surtout à ces Cajarcois aujourd'hui oubliés que cet ouvrage est consacré. A travers plus de 200 fiches biographiques, on pénètre dans leur réalité quotidienne en s'étonnant de la diversité de leurs parcours. On peut en effet toucher du doigt les malheurs des temps en voyant par exemple cette famille enrichie par le grand commerce et implantée en ville depuis plus d'un siècle disparaître en quelques mois sous les coups de la peste; on peut aussi admirer la persévérance de ce petit artisan devenant un notable local à force de travail, ou encore le dynamisme de ce marchand qui, en plus de ses florissantes affaires, participa à la gestion de la ville jusqu'à plus de 80 ans. En fait, si l'exotisme de l'écart temporel et les événements extraordinaires de l'époque nous font apparaître ces parcours individuels comme exceptionnels, ils nous montrent finalement aussi des hommes aux préoccupations très proches des nôtres.
Ecrire l'histoire d'une petite commune rurale est un exercice difficile. Tout en comblant ceux qui y sont attachés sentimentalement en leur faisant connaître des anecdotes et des faits anciens qu'ils ignoraient, il faut donner à ce travail toutes les garanties d'un travail historique sérieux, reconnaissable à ses sources, ses comparaisons et ses mises en relations pertinentes. C'est ce que, modestement, l'auteur a essayé de faire dans cet ouvrage, sans toutefois cacher la tendresse qu'il éprouve pour son sujet.Pontcirq, c'est une histoire poignante inscrite dans une terre dont chaque are a été retourné plusieurs milliers de fois depuis qu'un araire antique y traça le premier sillon. C'est aussi, partout, des bâtiments qui ont traversé les siècles et témoignent du génie humain à travers les temps. Enfin et surtout, c'est une histoire d'hommes, avec leurs peines, leurs souffrances et leurs joies.
Crécy, Poitiers, Azincourt... Derrière les noms des grandes batailles, on oublie souvent que la guerre de Cent Ans ne fut pas seulement l'affaire des rois, des princes et des soldats. En effet, dans les provinces proches de l'Aquitaine anglaise, comme le Quercy, les habitants furent quotidiennement confrontés aux compagnies de routiers qui agissaient sous l'ombre du roi d'Angleterre. Fortes de 50 à 80 hommes chacune, elles se fortifièrent ici et là, dans des châteaux, des églises ou des villages fortifiés et soumirent la région à une pression militaire constante... Face à elles, le rôle défensif que tinrent les centres urbains fut primordial.Une ville ou un bourg, c'était quelques centaines ou milliers de citadins, un espace de vie et des activités économiques débordant largement le périmètre bâti à protéger: la défense à mettre en oeuvre était complexe et, sur le long terme, ne pouvait se faire avec les seuls moyens militaires. Cette tâche délicate revint aux consulats, ces municipalités bourgeoises qui avaient en main les rênes de leurs communautés: ils ne négligèrent aucun domaine, de la fortification à l'armement, en passant par la défense économique et la résolution des problèmes sanitaires et sociaux.Alors que le pouvoir des Valois était ébranlé jusque dans ses fondements et que les cadres de la vie rurale se disloquaient sous les coups de boutoirs anglais, les villes et les bourgs restèrent dans la province les plus sûrs appuis de l'autorité royale et d'incontestables îlots de stabilité.Les municipalités quercinoises du bas Moyen Age nous ont légué d'importantes archives où se côtoient des dizaines de registres de comptes et de délibérations, des centaines d'actes notariés et d'imposantes correspondances. Nicolas Savy les a parcouru, déchiffré et exploité durant plusieurs années et a présenté la synthèse de ses recherches dans une thèse de doctorat en histoire, dont le présent ouvrage est directement issu.
Les récits de la guerre de Cent Ans sont émaillés d'opération menées contre des villes fortifiées. Pourtant, à part quelques faits généraux relevant de l'évidence, on ne sait que peu de choses sur la façon dont tous les types d'armement étaient utilisés et combinés pour assurer leurs défenses. A quoi servaient les énormes trébuchets et leurs boulets de 300 kg ? Les arbalètes étaient-elles positionnées au hasard sur les ouvrages ? A quel moment jetait-on les mélanges irritants sur les assaillants ? Quel genre de tir effectuaient les canons ? La trame urbaine était-elle aménagée pour augmenter le rendement des armes ? Surtout, au delà, existait-il une tactique présidant à la mise en oeuvre de tous les moyens dedéfense et, si oui, quelle était-elle ?Le but du présent ouvrage est d'éclairer ces questions à partir de l'important corpus documentaire et des traces archéologiques que nous ont légués les villes du grand ensemble constitué par les provinces de l'Agenais, du Périgord, du Bas-Limousin, de la Haute-Auvergne, du Quercy, du Rouergue et de l'Albigeois. On découvre ainsi des systèmes défensifs élaborés de manière logique, cohérents et efficaces, bien plus proches de la fortification moderne que l'on pourrait initialement le penser
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