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  • - Tome II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    242,95 kr.

    EXTRAIT: Tandis que ces événements se passaient à Paris, à la Billardière, la vie avait suivi son cours. Le chevalier des Mazures s'était peu à peu rétabli. Un jour, il monta à cheval; c'était le jour où la comtesse des Mazures et Toinon rentraient de Paris. Depuis ce jour, le chevalier fit de fréquentes incursions du côté de Beaurepaire. À cette époque, il y avait peu de journaux, seuls les nobles et quelques gens, gros commerçants recevaient le Mercure de France . Le chevalier était l'un des privilégiés qui le recevait. L'affaire de la rue de l'Abbaye, était contée tout au long. Ce fut pour lui un éclair. La Comtesse avait été à Paris et s'était emparée de la cassette. Le lendemain, sa promenade l'amena comme par hasard du côté de Beaurepaire. Il y rencontra le jardinier, qui se trouvait justement être la créature dévouée à Toinon. Par lui, il apprit le retour de Toinon et de sa maîtresse et pas mal d'autres choses. Il le chargea donc, de donner un rendez-vous à Toinon. - Part à deux, comtesse, se dit-il quand il fut seul. Que se passa-t-il entre le chevalier des Mazures et Toinon, rien ne pourra jamais nous le dire. Toujours est-il que quatre jours après, vers deux heures du matin, Toinon montée dans le petit panier qui lui avait déjà servi à se rendre à la Cour-Dieu courait à fond de train sur la route de Pithiviers, emportant la fortune de Jeanne. Le chevalier des Mazures avait assassiné sa belle-soeur pour le seul profit de Toinon. Que devinrent-ils et que devinrent les autres héros de cette histoire ? C'est ce que nous vous dirons, en vous transportant au milieu de cette sinistre époque qui a nom la Terreur.

  • - La mort sauvage
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    377,95 kr.

    Extrait chapitre I Le lendemain de l'entrevue de Rocambole avec Conception, et par conséquent de l'arrivée de M. de Sallandrera à Paris, M. le duc de Château-Mailly vit, en s'éveillant, Zampa assis à son chevet. Zampa avait un air mystérieux et plein d'humilité qui intrigua le jeune duc. - Que fais-tu là ? demanda ce dernier. - J'attends le réveil de monsieur le duc. - Pourquoi ? n'ai-je point l'habitude de sonner ? - Monsieur le duc a raison. - Eh bien ? - Eh bien ! mais, dit Zampa, si monsieur le duc voulait m'autoriser à parler... - Parle ! - Et me permettre quelques libertés... - Lesquelles ? - Celle d'oublier un moment que je suis au service de Sa Seigneurie et par conséquent son valet; peut-être m'exprimerais-je plus clairement. - Voyons ? dit le duc. - Monsieur le duc me pardonnera de savoir certains détails... - Que sais-tu ? - J'ai été dix ans au service de feu don José. - Je le sais. - Et mon pauvre maître, dit Zampa, qui parut ému à ce souvenir, daignait m'accorder quelque confiance. - Je t'en crois parfaitement digne. - Il allait même jusqu'à... - Te faire son confident, n'est-ce pas ? - Quelquefois. - Et... alors ?... - Alors j'ai su précisément bien des choses touchant don José, mademoiselle de Sallandrera sa cousine, et... - Et qui ? - Et vous, monsieur le duc. - Moi ! fit M. de Château-Mailly en tressaillant. - Don José, poursuivit le Portugais, n'aimait pas beaucoup mademoiselle Conception. - Ah ! tu crois ? - Mais il voulait l'épouser, à cause du titre et de la fortune. - Je comprends. - Mais, en revanche, mademoiselle Conception haïssait profondément don José. Ce mot fit tressaillir de joie le jeune duc. - Pourquoi ? demanda-t-il. Zampa crut devoir jouer l'embarras. - Dame ! dit-il après un moment d'hésitation, parce que d'abord, elle aimait le frère de don José. - Don Pedro ? - Oui. - Et... après ?... - Après, parce que, ayant cessé d'aimer don Pedro, elle aimait peut-être quelqu'un. Ces derniers mots firent frissonner le duc d'une émotion étrange, inconnue. - Et... ce quelqu'un ? demanda-t-il en tremblant. - Je ne sais pas... mais... peut-être... - Achève ! fit le duc avec impatience. - Je ne puis pas prononcer de nom, mais je puis raconter à monsieur le duc certaines circonstances... - Raconte...

  • - Les tresors du Rajah
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    282,95 kr.

    Extrait chapitre I Que s'était-il donc passé ? Moussami, qui n'avait plus de langue, me l'expliquait par signes. Vers minuit, croyant entendre du bruit, il était venu dans ma chambre, où je dormais profondément. Il avait vainement essayé de m'éveiller, et comme le bruit continuait, il s'était dirigé vers la porte pour appeler au secours les gens de l'hôtel. Mais en ce moment cette porte s'ouvrit et quelque chose d'opaque fut jeté sur la tête de l'Indien par deux hommes qui entrèrent dans la chambre. C'était une couverture de laine dans laquelle on lui enveloppa la tête pour l'empêcher de crier. Moussami lutta énergiquement; mais il fut terrassé. En même temps qu'elle l'aveuglait, la couverture étouffait ses cris. Quand il fut à terre, un des deux hommes lui lia les pieds et les mains avec cette adresse et cette dextérité qui tiennent du prodige chez les Indiens. En même temps aussi, on lui mit un bâillon dans la bouche et on retira la couverture. Alors Moussami put voir et entendre. Les deux hommes étaient des Indiens de la race rouge, et à leur costume on reconnaissait tout de suite des sectaires de la déesse Kâli, c'est-à-dire des Étrangleurs. L'un était jeune et paraissait obéir, l'autre était vieux et commandait. Ils s'approchèrent de mon lit et me secouèrent. Mais je ne m'éveillai pas. Le jeune eut un sourire de haine. - Est-ce donc là, dit-il, l'homme qui a vaincu Ali-Remjeh ? - Oui, dit le vieux. - Si nous l'étranglions ? - Tu sais bien que celui qui nous envoie nous a dit que notre tête répondait de la sienne. - C'est vrai, soupira le jeune homme, mais c'est dommage. Le vieux prit ma main dans la sienne et fit glisser l'anneau que j'avais au doigt. Puis il examina attentivement ce bijou: - Oui, dit-il, c'est bien cela. Alors ils me laissèrent dormir et revinrent à Moussami.

  • af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    222,95 - 232,95 kr.

  • - Un drame dans l'Inde
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    332,95 kr.

    Extrait chapitre I M. de Montgeron n'avait vu dans l'expédition de l'avant-veille, quand on était parti du club, qu'une de ces aventures vulgaires d'amour parisien aussi ridicules pour celui qui les entreprend que pour ceux qui en sont les témoins. Depuis longtemps Paris n'est plus le pays des échelles de corde, des romanceros et des sérénades; le guerrier ôte son uniforme pour entrer chez ces petites dames, et les poètes ont recours, non à leur guitare, mais à de jolis chiffons de papier signés Garat et Soleil. M. de Montgeron avait donc accompagné Gustave Marion par curiosité pure, quand il s'était agi d'enlever la Belle Jardinière, persuadé que l'expédition se terminerait par un souper au Café Anglais, dont la belle, peu farouche, ferait les honneurs sans bégueulerie. Mais les choses avaient tourné autrement. Alors, M. de Montgeron avait senti s'éveiller en lui une sorte de curiosité âpre, un besoin de savoir ardent. Quelle était cette femme ? Et qu'est-ce que Gustave Marion avait donc vu chez elle pour qu'il en perdît ainsi subitement la raison ? M. de Montgeron s'était juré de pénétrer ce mystère. Il avait remarqué, durant les quelques heures passées à Saint-Cloud au restaurant de la Tête-Noire, que les quatre jeunes gens qui avaient accompagné avec lui M. Gustave Marion étaient si vivement impressionnés de l'aventure qu'il ne devait pas compter sur eux. Aussi ne leur avait-il pas dit un mot de son projet, en les quittant, sous le prétexte qu'il avait une affaire pressante d'intérêt à régler, le soir même, à Paris. Le sort, en désignant au club comme son compagnon M. Casimir de Noireterre, lui avait paru intelligent. Casimir de Noireterre était un garçon de vingt ans, non moins brave que son cousin par alliance, M. de Montgeron. Il était aspirant de marine et embarqué depuis deux ans, lorsqu'un héritage considérable l'était venu chercher à Rio-de-Janeiro, où son navire était en station

  • - Les millions de la Bohemienne
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    342,95 kr.

    Extrait chapitre I Par une de ces splendides journées de février dont Paris a le secret, la foule des équipages et des cavaliers était grande vers deux heures de l'après-midi, au bois de Boulogne. C'est l'endroit où ce monde de sportsmen et de gens à chevaux se reconnaît et s'observe, se salue ou échange un simple regard. Le gandin ralentit son trotteur pour jeter une oeillade à mademoiselle Cerisette qui sort pour la première fois en demi-daumont, le banquier surveille Coralie à qui il donne cinq mille francs par mois et qu'il soupçonne de ne venir aussi assidûment au Bois, chaque jour, que pour y rencontrer le petit vicomte R... qui croque son dernier oncle et monte son dernier cheval. Enfin mademoiselle de Saint-Euverte qui s'appelait autrefois Joséphine, à qui la fuite de monsieur D... a fait des loisirs, cherche à les utiliser et couche en joue un Américain du Sud. C'est, en un mot, le monde le plus élégant, le plus mêlé qu'on puisse voir. Et ce monde-là, le jour dont nous parlons, paraissait fort ému, fort agité et semblait s'entretenir par groupes, et d'une voiture à l'autre, d'un événement considérable. L'Europe entière était en paix, cependant, aucune révolution n'avait eu lieu et on ne parlait même pas de quelque désastre financier important. Non, c'était plus et moins que tout cela. On venait de voir Aspasie. Aspasie s'était montrée dans son coupé bien attelé de ses deux admirables trotteurs irlandais dont le prince russe K... avait offert cent mille francs, et qu'elle avait refusé de vendre.

  • - Les etrangleurs
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    352,95 kr.

    Extrait chapitre I Paris a des nuits effrayantes de silence et d'obscurité. Le brouillard estompe les toits, une pluie fine rend le pavé glissant, le vent courbe la flamme des réverbères, et la Seine coule silencieuse entre ses deux rives de pierres. Nul passant sur les quais, nulle voiture sur les ponts. La grande ville se tait, les honnêtes gens ont fermé leurs portes, le monde des voleurs respire et s'apprête à ses expéditions ténébreuses. Qu'importe que le boulevard vive encore à une heure du matin, tout resplendissant des lumières de sa guirlande de cafés bruyants ? De ce côté-ci, au bord de l'eau, le silence est si grand qu'on dirait une nécropole. Il est un endroit sinistre où un des bras de la Seine étranglé entre deux hautes murailles, passe avec des tentations vertigineuses pour ceux qui songent au suicide. Canal plutôt que fleuve, eau dormante qui bouillonnait en amont et reprendra son cours rapide en aval, la Seine semble s'arrêter noire, profonde, mystérieuse, avec des secrets de mort étranges, entre les deux bâtiments de l'Hôtel-Dieu. Accoudez-vous un peu sur le parapet du pont de la Cité ou du pont de l'Archevêché; regardez-la couler entre ces deux asiles de souffrance, cette eau qui redeviendra limpide et bleue, là-bas, au delà des coteaux de Sèvres et de Saint-Cloud, et sa tranquillité sombre vous donnera le frisson. Vous qui cherchez l'oubli dans la mort, venez là vous qui hésitez à quitter la vie, venez encore. La folie du suicide vous montera au cerveau, après dix minutes de contemplation. Or, par une de ces nuits dont nous parlions tout à l'heure, un immense radeau, un train de bois, comme on dit, passait au fil de l'eau entre ces deux arches funestes, du pont de la Cité et du pont de l'Archevêché. Trois hommes assis à l'avant causaient tout bas. Un quatrième, à l'arrière du train, manoeuvrait un gouvernail primitif fait avec une longue poutre.

  • - Tome I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    242,95 kr.

    Extrait du prologue Le jour était loin encore; on venait de sonner Matines, et les moines s'étaient rendus à la chapelle. La nuit était froide, claire, brillante, et la forge flamboyait. Tandis que les moines priaient, Dagobert commençait sa besogne quotidienne. Depuis quelque temps, il y avait de l'ouvrage à la forge du couvent. On était à l'approche de la Saint-Hubert. Le prieur-abbé avait coutume de convier à cette fête tous les gentilshommes chasseurs des environs, et il y aurait dans trois jours des chevaux à ferrer. Ce qui faisait que Dagobert s'était levé une heure plus tôt qu'à l'ordinaire, c'est qu'il tenait à terminer une grille en fer forgé que dom Jérôme, le prieur-abbé, voulait faire poser à l'intérieur des bâtiments conventuels, pour séparer une cour d'une autre. Or, il faut vous dire que cela se passait en l'an de grâce mille sept cent quatre-vingts; que Dagobert était le forgeron du couvent, et que le couvent de la Cour-Dieu, bâti en pleine forêt d'Orléans, renfermait une communauté de moines de l'ordre de Cîteaux. Cependant Dagobert n'était ni moine, ni oblat, ni frère convers. Dagobert était laïque. C'était un garçon de vingt-deux ans, taillé en hercule, d'un visage mâle et hardi, qui n'était pas sans beauté. De même que le royaume de France enclava pendant des siècles un royaume d'une lieue carrée dont le maître et seigneur se nommait le roi d'Yvetot, la puissante communauté qui courbait sous son obédience une demi-douzaine de villages avait, une enclave laïque au milieu de son domaine religieux. Cette enclave, c'était la forge de Dagobert. Le père de Dagobert s'appelait comme son fils, et tous leurs aïeux avaient porté le même nom. De père en fils, d'oncle à neveux, les Dagobert étaient forgerons du couvent et se mariaient.

  • af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    87,95 kr.

    This collection of literature attempts to compile many of the classic works that have stood the test of time and offer them at a reduced, affordable price, in an attractive volume so that everyone can enjoy them.

  • - Une fille d' Espagne, 1ere partie
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    342,95 kr.

    Extrait du chapitre I Le brick de commerce français la Mouette, faisant route de Liverpool au Havre, filait dix noeuds à l'heure. - Bon temps, bonne brise, vent arrière ! murmurait le capitaine avec satisfaction en se promenant sur le pont du navire, en envoyant au ciel les spirales bleues de la fumée de son cigare. Si cela continue douze heures encore, nous entrerons demain matin dans le port du Havre, que la Mouette n'a pas revu depuis quatre ans. - Vraiment, capitaine, vous n'avez pas vu la France depuis quatre années ? Cette question venait d'être faite par un passager qui, se promenant également de long en large sur le pont, mais en sens inverse, s'était trouvé face à face avec le capitaine et avait entendu son exclamation. - Nô, sir, répondit ce dernier, ce qui, en anglais est-il besoin de le dire ? signifiait: Non, monsieur. Or, bien que la question lui eût été adressée en français, le capitaine était excusable de répondre en langue britannique, si on envisageait le personnage qui venait de se faire son interlocuteur.

  • - Le club des valets de coeur, Tome I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    447,95 kr.

    Extrait du chapitre I Un soir, vers quatre heures, une chaise de poste roulait au grand trot sur une route du Nivernais. C'était pendant l'automne de l'année 184., c'est-à-dire vers la fin du mois d'octobre. À cette saison, rien n'est splendidement beau comme le centre de la France, et surtout cette partie du Nivernais qui touche au département de l'Yonne et fait partie de l'arrondissement de Clamecy. Les pâturages passent alors du vert sombre de l'été au vert plus tendre et presque jaune qui annonce les gelées prochaines. Les bois commencent à se dépouiller, et ces grands peupliers mélancoliques qui bordent le canal et la rivière d'Yonne s'inclinent au souffle des premières bises. Cependant l'air est tiède encore, et le ciel sans nuages; à peine, au matin, une brume diaphane couvre-t-elle les prés et les marécages pour s'évanouir au lever du soleil; tandis que, vers le soir, elle redescend lentement du sommet des collines et s'allonge dans les vallées transparentes et dorées par les derniers rayons du couchant. La chaise de poste dont nous parlons, traversait en ce moment un des sites les plus pittoresques et les plus sauvages de ce beau pays, - une vallée au fond de laquelle couraient en méandres infinis et côte à côte: la rivière, - oeuvre de Dieu, - le canal, - oeuvre des hommes.

  • af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    172,95 kr.

    À la suite d'un pari qu'il a perdu, Hector de Nossac devient durant vingt-quatre heures l'esclave d'une femme qui fut sa maîtresse. Celle-ci vient réclamer son dû le soir des noces du baron. Sa jeune épouse disparaît. Est-elle morte, est-elle vivante ? Est-ce son spectre qui hante les cimetières ? Est-elle ce vampire qui trouble les nuits du baron de Nossac ? Piège, machination, épouvante, telle est l'atmosphère de cet ouvrage paru en 1852, l'une des oeuvres les plus échevelées du XIXe siècle.

  • - Une fille d' Espagne, 2eme partie
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    377,95 kr.

    Extrait du chapitre XXXV Rocambole prit l'attitude d'un narrateur et regarda Banco. L'élève de sir Williams n'était pas homme à livrer ses secrets à qui que ce fût au monde, et à la folle créature moins encore qu'à personne. Mais, après l'avoir contrainte par la force et la terreur à le mettre de moitié dans le jeu hardi qu'elle tenait contre don José, il avait, comme on va le voir, arrangé pour elle une fable assez ingénieuse dont elle devait être dupe. - Ma petite, lui dit-il, au point où nous en sommes, nous ne devons plus avoir de secrets l'un pour l'autre. - C'est bien heureux, dit Banco. - Et si tu le veux, nous allons récapituler sur-le-champ nos faits et gestes, depuis huit jours que nous sommes ligués. - Soit, récapitulons. - Quand je me suis mis de ta partie en te laissant entrevoir que je pouvais te faire perdre à la fois ton prince russe, l'homme sérieux... - Oh ! très sérieux, interrompit Banco; il a plus de villages que je n'ai de cheveux. - Et du même coup, don José, l'homme... d'agrément, tu étais parvenue à persuader celui-ci que tu étais une vraie princesse, fille et femme de vrais princes. - Ma foi ! dit Banco, mon père disait souvent que j'étais un morceau de roi. - C'est mon avis, et je suis persuadé que tu as été changée en nourrice. - Après ? fit Banco, sensible à ce compliment délicat. - Or, que voulais-tu de don José ? Bien peu de chose en apparence, beaucoup en réalité; tu voulais l'amener à t'introduire comme une femme de qualité chez le général C..., à la seule fin d'humilier tes parents qui ont refusé tes bienfaits et tirent modestement le cordon chez le général.

  • af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    297,95 kr.

    Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et de fonds patrimoniaux anciens, rares ou oubliés, appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, de récits de voyage ou de livres pour la jeunesse à re-découvrir via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour favoriser le confort de lecture.

  • af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - Le Club des Valets-de-coeur I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    304,95 - 352,95 kr.

  • - La Corde du pendu
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - Les Miseres de Londres II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    432,95 kr.

  • - Rocambole en prison
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    462,95 kr.

  • - Les Miseres de Londres I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    432,95 kr.

  • - Le Dernier mot de Rocambole II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    497,95 kr.

  • - Le Dernier mot de Rocambole I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    497,95 kr.

  • - La Resurrection de Rocambole II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - Les Chevaliers du clair de lune I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - La Resurrection de Rocambole I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - Les Exploits de Rocambole II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    477,95 kr.

  • - Les Exploits de Rocambole I
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    392,95 kr.

  • - Le Club des Valets-de-coeur II
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    353,95 kr.

  • - L'Heritage mysterieux
    af Pierre Alexis Ponson du Terrail
    497,95 kr.

  • af Pierre Ponson du Terrail
    22,95 kr.

    Deux mois apres l'assassinat de Sir William dans les annees 1850, Rocambole, camoufle sous l'identite du marquis Albert de Chamery, n'est plus que l'ombre de lui meme. Ce n'est pas son crime qui le plonge dans le desespoir, mais bien la mort soudaine du pere de Concepcion la veille de leur mariage. Jamais elle n'epousera le marquis de Chamery endeuillee ainsi. Pourtant, Rocambole compte obtenir l'heritage de la riche marquise, meme s'il doit accomplir l'impossible. Mais Baccarat, devenue la comtesse Artoff, est determinee a proteger la fortune de la marquise, et a lutter contre le mal incarne.Dernier tome des Exploits de Rocambole ce roman-feuilleton pousse a son paroxysme la face criminelle d'un personnage aux multiples visages.-

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