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"Le Petit-Maître corrigé" de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux. Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, écrivain français (1688-1763).
Pierre Carlet de Chamblain de MARIVAUX (1688-1763), journaliste, dramaturge et romancier français. Né dans une famille de magistrats normands, il perd son héritage et décide de vivre de sa plume. Après avoir fait la connaissance de Fontenelle, qui l'introduit chez Madame Lambert, il devient un habitué des salons parisiens. Il y rencontre des Modernes et s'y initie à une forme de préciosité nouvelle . Son premier texte est une comédie d'intrigue en un acte et en vers Le Père prudent et équitable, ou Crispin l'heureux fourbe jouée dans un cercle d'amateurs en 1706 et édité en 1712 . Il édite son premier roman en 1712 Les effets surprenants de la sympathie . En tout, il composa une trentaine de comédies, dont les intrigues sont motivées par les obstacles sociaux et psychologiques habituellement érigés contre l´union des amants. Un raffiné et subtile analyse des sentiments devient sa marque de fabrique, connue avec le terme marivaudage .
Arlequin poli par l'amour met en scène une fée éprise d'Arlequin, que la nature a fait si beau qu'elle s'est trouvée épuisée quand il a fallu lui donner une âme. Elle cherche à lui donner de l'esprit et, en définitive, travaille pour une autre.
Pharsamon V2: Ou Les Nouvelles Folies Romanesques est un roman de Marivaux, Pierre Carlet De Chamblain De, publi����� en 1737. Il s'agit d'une suite du premier volume, Pharsamon, publi����� en 1731. L'histoire suit les aventures de Pharsamon, un jeune homme qui tombe amoureux de la belle et myst�����rieuse L�����onide. Cependant, leur amour est compliqu����� par les intrigues de la cour et les machinations de leurs ennemis. Le roman est rempli de rebondissements et de retournements de situation, ainsi que de personnages color�����s et excentriques. Marivaux est connu pour son style d'�����criture �����l�����gant et raffin�����, ainsi que pour son utilisation habile de l'ironie et de la satire sociale. Pharsamon V2: Ou Les Nouvelles Folies Romanesques est un exemple parfait de son talent pour cr�����er des histoires captivantes et pleines d'esprit.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Dans l'île de la Raison ce sont les femmes qui font la cour aux hommes et tous les habitants sont raisonnables. Lorsque des individus qui ne le sont pas y abordent, ils perdent de leur taille en proportion de leur degré de folie. Huit Français débarquent dans cette île: un courtisan, son secrétaire gascon, du nom de Frontignac, une comtesse et sa femme de chambre Spinette, un poète, un philosophe, un médecin et un paysan. En leur qualité de Français, ces personnages sont devenus nains en abordant, mais ils le sont à divers degrés...
Le Paysan parvenu est un récit à la première personne. Jacob de La Vallée raconte sa jeunesse. Il est le fils de paysan sans fortune, mais joli garçon et de beaucoup d'esprit, qui se fraye son chemin dans le monde. Il est jeté dans un milieu où il accèdera finalement à la bourgeoisie...
Les Fausses Confidences est une comédie en trois actes et en prose de Marivaux jouée pour la première fois le 16 mars 1737 par les Comédiens italiens à l'Hôtel de Bourgogne. L'idée de provoquer l'amour par de fausses confidences a été souvent mise en oeuvre avant et après Marivaux. Cette comédie à l'intrigue bien conduite, sagement développée, aux caractères aimables et en relief, aux situations comiques et intéressantes n'ayant pas obtenu, à ses débuts, tout le succès qu'elle méritait, elle reçut néanmoins un accueil plus favorable à sa reprise au Théâtre-Français en 1793.
Marianne, âgée et désormais comtesse, raconte sa vie. Mais comme le Paysan parvenu, ce roman est demeuré inachevé. Marianne jeune ignorant le secret de sa naissance puisqu'orpheline, mais se croyant noble, pouvant l'être eu égard à certains indices (mais peut-être pas!), ses qualités et ses manières innées lui permettent de s'intégrer peu à peu à la noblesse et de sortir de l'indigence dans laquelle elle avait atterri, de gagner le coeur de Mme de Miran, mère de substitution, ou de Valville, son amant. Marianne a l'instinct de son appartenance à ce monde et du comportement à y adopter, or, jamais Marivaux ne tranchera sur ses origines.
Une jeune paysanne, Silvia, a été enlevée: elle est retenue dans le palais du prince car celui-ci l'aime, bien qu'elle soit déjà éprise d'un jeune homme de son village: Arlequin. Flaminia, une conseillère du prince, puis Trivelin tentent de rompre l'amour entre les deux jeunes gens. Contrairement à Trivelin, Flaminia réussit à gagner leur sympathie et leur confiance. Ainsi, Silvia lui avoue que, malgré son amour pour Arlequin, elle aime un officier du palais qui lui a rendu visite plusieurs fois. Mais, elle ignore qu'il s'agissait, en fait, du prince incognito. Peu à peu, les deux jeunes paysans se laissent séduire par la vie de château. Arlequin tombe amoureux de Flaminia et néglige un peu trop Silvia. Il ne reste plus au prince qu'à dévoiler sa véritable identité et tout se termine bien par deux mariages consentants.
Après avoir été trahi par une femme, Lélio maudit les femmes et s'est retiré, avec Arlequin, son valet, dont l'histoire ressemble à la sienne, dans une sorte d'ermitage. Mais, dans leur solitude, les femmes manquent aux deux hommes, surtout Lélio, qui aime tout des femmes, jusqu'à leurs défauts, surtout leurs défauts, leur légèreté d'esprit, leur étourderie. Dans le château où ils se sont retirés, Jacqueline, la cuisinière de Lélio, est éprise de Pierre, le serviteur d'une jeune veuve du voisinage qui professe à l'endroit des hommes les mêmes sentiments que Lélio à l'endroit des femmes. Or, Pierre et Jacqueline, pour se marier, ont besoin du consentement et même d'une petite subvention de leurs maîtres. Bien obligés de se voir à cette occasion, Lélio et la comtesse se sont juré d'avance qu'ils ne s'aimeront pas. Un baron de leurs amis leur raconte alors l'histoire de Popilius avant de les enfermer dans un cercle en leur disant qu'ils n'en sortiront pas avant d'être amoureux l'un de l'autre. Lélio et la comtesse éclatent de rire, mais la semence est jetée dans leur cerveau: ils se rencontreront en cherchant à s'éviter, s'écriront des billets sous prétexte qu'il est inutile de se voir et qu'ils s'entendront mieux par écrit, mais faute de se comprendre, ils devront bien se voir pour s'expliquer. La comtesse a également auprès d'elle une femme de chambre rusée, Colombine, qui s'est jurée de rendre Arlequin amoureux, et qui s'amuse malignement des agitations de sa maîtresse et les augmente. Lorsque la comtesse perd un portrait, Lélio, qui le trouve, lui renvoie la boîte, prétendant qu'il n'a pas vu la miniature, mais, vérification faite, cette miniature se trouve sur son coeur, et c'est la Comtesse qui la trouve. Force leur est de convenir que la plaisanterie du cercle de Popilius a produit son effet, qu'ils sont bien et dûment amoureux l'un de l'autre. Maîtres et valets finissent donc par se marier.
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
La Mère confidente met le spectateur face au coeur sincèrement ému d'une charmante jeune fille, passionnée pour la vertu et débordante d'amour, qui s'avance dans le vide sans savoir où se prendre. Il ne s'agit pas des manèges habituels de la coquetterie, car la mère d'Angélique, à l'opposé de celle de l'École des mères, laisse, au lieu de la tyranniser, pleine liberté à sa fille dont elle ne veut être que l'amie, la confidente. Cette comédie est généralement d'un ton sérieux, comme l'École des mères. Deux personnages l'égayent cependant: une soubrette qui favorise le jeune couple, et un valet qui se fait payer par les amoureux pour espionner la mère, et par la mère pour espionner les amoureux. Mais le rôle important et vraiment sympathique, c'est celui d'Angélique, dont l'émotion est vraie et qui est étudié avec amour. C'est une pièce à part dans le théâtre de Marivaux, a écrit Sainte-Beuve.
Les Sincères, qui furent très applaudis à leur représentation, met en présence deux couples, un maître et sa maîtresse, et un valet et une soubrette. La marquise a la prétention d'aimer la sincérité, mais elle la met à faire aux autres de mauvais compliments, et à n'en vouloir que de bons pour elle, à la condition seulement qu'on les lui jettera à la tête, comme malgré soi. Les louanges la chagrinent, mais elle veut qu'on la loue du chagrin qu'elles lui font. Elle est coquette, mais elle veut que sa femme de chambre elle-même n'ait pas l'air de s'apercevoir de cette coquetterie. Ergaste est son alter ego. Ayant la prétention de passer pour sincère, il tient surtout à ce qu'on le croie tel. Si pour paraître franc, il fallait mentir, il mentirait. Sa passion est d'étonner et de ne ressembler à personne. Il a perdu une fois un procès dont on le laissait juge, rien que pour avoir le plaisir de faire dire qu'il s'était condamné lui-même, car il avait le droit pour lui.
Le père de Sylvia (M. Orgon) souhaite que sa fille épouse le fils d'un de ses vieux amis. Mais Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père l'autorisation d'observer, sous le déguisement de sa servante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu'elle. Aussi, l'aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu'elle se rend compte qu'elle est attirée par le valet, qui lui fait une cour discrète, alors que le comportement de celui qui se présente comme son promis lui fait horreur, d'autant plus que M. Orgon, qui s'amuse de la situation, refuse d'interrompre le jeu.
Lorsque Lucidor, fils d'un riche bourgeois, est à la tête d'une fortune considérable, est tombé malade à la campagne, une famille d'honnêtes et peu riches propriétaires campagnards l'a soigné. La jeune fille surtout, Angélique, a pris de lui un soin tout particulier. Elle est charmante et Lucidor serait heureux de l'épouser, mais il voudrait, avant de lui offrir sa main, savoir si c'est lui qu'elle aime ou sa fortune. Il apprend qu'un fermier (pauvre et nul) du voisinage la recherche en mariage, il engage Frontin à se présenter. Il fait venir de Paris son valet, il l'habille en homme du monde, puis, rencontrant Angélique, il lui dit qu'il lui a trouvé un mari, son ami intime, un autre lui-même, qui demeure à Paris, dans la même maison que lui. Angélique, heureuse et confuse, ne doute pas que ce futur, bien qu'il ne se soit pas nommé, ne soit Lucidor lui-même. Elle le dit même à Lisette. Aussi lorsqu'on lui présente Frontin, elle ne le regarde même pas; elle se fâche contre tout le monde, contre Lisette, contre Lucidor qui l'a mal jugée, contre sa mère qui s'indigne qu'elle ait refusé le parti avantageux qu'on lui offrait. De dépit, elle dit qu'elle épousera Blaise et tâchera de l'aimer. Resté seul avec Angélique, Lucidor la calme et lui avoue qu'il l'aime et qu'il a seulement voulu s'assurer de son amour. C'est lui qui veut être son époux. On ne sait pas si Angélique est heureuse: son silence en fin de scène est équivoque. Marivaux souhaitait une pièce Baroque, dans le sens où le spectateur se forge sa propre opinion.
Oeuvres Completes De Marivaux (1825) est un livre de Pierre Carlet De Chamblain De Marivaux, un �����crivain fran�����ais du XVIIIe si�����cle. Ce livre est une collection compl�����te de toutes les �����uvres de Marivaux, y compris ses pi�����ces de th����������tre, ses romans et ses essais. Les pi�����ces de th����������tre de Marivaux sont c�����l�����bres pour leur style �����l�����gant et leur exploration des relations amoureuses et sociales. Ses romans, quant ������ eux, sont des histoires d'amour complexes et subtiles qui refl�����tent les pr�����occupations de la soci�����t����� fran�����aise de l'�����poque. Les essais de Marivaux portent sur des sujets tels que la philosophie, la morale et la litt�����rature. Oeuvres Completes De Marivaux (1825) est un livre indispensable pour tous ceux qui s'int�����ressent ������ la litt�����rature fran�����aise classique et ������ l'histoire de la culture fran�����aise.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Un valet et une soubrette, qui ont intérêt à ce que leurs maîtres ne se marient pas, entretiennent en eux la sainte horreur du mariage. Comme les parents désirent beaucoup cette union, Damis et Lucile consentent à se voir, mais uniquement afin de convenir d'un prétexte pour ne pas se marier. Arrivé dans cette pensée au château où demeure Lucile, Damis demande, à peine descendu, à la voir, mais celle-ci avait déjà pris la précaution de lui écrire une lettre où elle lui expliquait les motifs qui lui faisaient désirer de ne pas devenir sa femme avant de se retirer dans un cabinet voisin et de charger Lisette de recevoir son futur. Damis exprime sa répugnance pour le mariage en général, et ne doute pas que Lucile ne la partage. - Prenez garde, lui dit Lisette. Lucile est fort jolie. - Belle ou laide, Damis est bien sûr de ne pas se laisser séduire par elle: il répond de son coeur. - Et moi du mien, dit Lucile, dont la vanité a été blessée, en sortant de sa cachette. Damis est quelque peu interloqué, car Lucile est charmante et spirituelle, et dans la conversation qui s'engage, ils sont prêts à changer complètement de sentiment. Mais Lisette, qui craint qu'ils ne s'entendent, se hâte de les prendre au mot, et de leur faire jurer qu'ils ne se marieront pas. À peine le serment est-il prononcé qu'ils se repentent. L'orgueil les empêche de revenir sur leur serment, et ils passent leur temps à user toutes leurs forces à lutter contre leur coeur pour ne pas se démentir. Pour sauver les apparences, Lucile a engagé Damis à faire la cour à sa soeur Phénice. Damis obéit, et Phénice prendrait cette cour au sérieux, si un valet ne l'avertissait à temps, et ne lui faisait remarquer que Damis et Lucile s'adorent, et ne sont séparés que par un sot amour-propre. Quant aux parents, ils sont tout disposés à unir Phénice et Damis, puisqu'ils paraissent se convenir. Mais Lucile se met en travers; elle cherche à persuader sa soeur qu'elle ne sera pas heureuse avec Damis, et celle-ci, qui en veut un peu à Lucile de l'avoir exposée à s'éprendre du jeune homme, s'amuse à la tourmenter. À la fin, elle conduit Damis près de Lucile, elle lui ordonne de fléchir le genou devant sa soeur, et les force de convenir qu'ils s'aiment.
Lisette veut empêcher le mariage de sa maitresse parce qu'il restreindra l'influence qu'elle exerce sur elle. Par bonheur pour elle, le soupirant est timide et sans cesse hésitant. Comme, de plus, une clause d'un legs qui lui a été fait l'oblige à payer 200 000 francs s'il épouse la comtesse, il lui est très difficile de se décider à sauter le pas et il voudrait bien que Lisette fasse cet aveu à sa place. Lisette commence par refuser avant d'accepter, mais en s'efforçant de jeter du ridicule sur le soupirant effarouché. La comtesse, quant à elle, ne partage nullement le sentiment de la soubrette, et dans une conversation qu'elle a avec le marquis, elle fait tous ses efforts pour l'amener à lui dire: je vous aime. Elle le conduit jusqu'au bord de l'aveu et, alors qu'elle croit qu'il va parler, il change tout à coup de conversation. Lorsqu'elle le ramène sur le terrain, il hasarde une demi-déclaration. La comtesse paraissant étonnée, il prend cela pour de la colère et retombe dans les banalités. Hortense, à qui reviendront les 200 000 francs s'il épouse la comtesse, vient lui réclamer le legs ou sa main. Il se déclare prêt l'épouser car il n'y a pour lui qu'une seule femme au monde, la comtesse. Puisqu'elle le refuse, il épousera qui l'on voudra. Comme cette réponse ne fait l'affaire de personne, Hortense, la comtesse, Lisette elle-même, qui voit bien que sa maîtresse est décidée, tout le monde se réunit pour pousser le marquis à formuler sa demande. Il répète à la comtesse qu'il l'aime; mais puisqu'elle le hait, il n'y a rien à faire. - Je ne vous hais pas, je ne vous l'ai jamais dit. - C'est tout comme. - Vous m'aimez, soit; m'avez-vous jamais demandé ce que j'en pense ? - À quoi bon ? Je sais votre réponse, vous allez me dire: Non. - Mais posez la question. - Soit; je vous aime, qu'en pensez-vous ? - Eh bien ! j'en suis bien aise. - Ah ! s'écrie le marquis bouleversé. Il paye avec bonheur les 200 000 francs, et tout le monde est satisfait.
Angélique sait fort bien qu'elle aime Dorante, mais elle ne veut pas en convenir. Fille d'un marquis, elle ne peut pas déroger et épouser un simple bourgeois, quelque riche et bien élevé qu'il soit. Elle a fait partager ses sentiments, non à son père, qui verrait ce mariage avec plaisir, mais à Lisette sa femme de chambre, qui, bien que parlant le patois de son village, et fille d'un simple procureur fiscal, n'en est pas moins décidée à ne pas déroger. Dorante, pour sonder le terrain, dit qu'il a un parti à proposer à Angélique: un jeune homme instruit, riche, estimable sous tous les rapports, mais un bourgeois. Angélique refuse. Lorsque Dorante lui apprend que c'est de lui-même qu'il s'agissait, Angélique est quelque peu déconcertée, mais persiste. Le marquis offre alors à Dorante sa fille cadette. Angélique fait venir Dorante; elle ne veut pas qu'il aille voir sa soeur, elle ne veut pas qu'il s'éloigne. Dorante la regarde d'abord avec étonnement, puis avec attendrissement. Angélique le regarde aussi. Il tombe à ses pieds, elle le relève: l'orgueil a cédé devant l'amour.
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