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Amédée Pifle, jeune diplômé se présente sur recommandation à la Gazette gauloise pour le poste de reporter politique. Il est engagé mais comme reporter sportif, domaine dans lequel il ne connaît rien ! S'ensuit une série de quiproquos, où le jeune reporter essaye tant bien que mal de se débrouiller. Une satire grinçante contre les milieux sportifs, et les arrangements politiques.
Robert Delessart, jeune homme doux, un peu roublard et facilement menteur, devient détective privé après avoir été vendeur de gants. Pujol raconte, avec un humour décalé et faussement naïf, les aventures rocambolesques de ce pauvre détective improvisé à l'imagination débordante...
Paulette est confrontée à la mort suspecte de son oncle qui s'accompagne de faits de plus en plus étranges. C'est alors qu'entre entre en scène un curieux policier dont l'allure ridicule et la pusillanimité incitent peu à la confiance. Il se targue pourtant de pouvoir résoudre l'énigme par la seul force de ses capacités d'analyse et de déduction...
Robert Delessart, jeune homme doux, un peu roublard et facilement menteur, devient détective privé après avoir été vendeur de gants. Pujol raconte, avec un humour décalé et faussement naïf, les aventures rocambolesques de ce pauvre détective improvisé à l'imagination débordante...
Charles Corme propose à son cousin Jacques, à qui il ressemble de manière étonnante, lui propose de jouer le rôle de sa doublure...Mais pourquoi faire ? Charles ne veut rien expliquer mais indique que cela peut être dangereux. La suite des événements va le prouver et Jacques risquera sa vie plus d'une fois. Pourquoi avait-il accepté ?
Amédée Pifle, jeune diplômé se présente sur recommandation à la Gazette gauloise pour le poste de reporter politique. Il est engagé mais comme reporter sportif, domaine dans lequel il ne connaît rien ! S'ensuit une série de quiproquos, où le jeune reporter essaye tant bien que mal de se débrouiller. Une satire grinçante contre les milieux sportifs, et les arrangements politiques.
Que cache la vie de Suzy, qui apparait pourtant si futile ? Va-t-elle céder à la demande de son cousin Robert La Borde, en qui elle a confiance, et l'épouser même si elle n'a aucun sentiment pour lui? Qui est ce Jean de Vassal aux activités mystérieuses et douteuses ? Et que lui veut son ennemi, si acharné et dangereux? une intrigue qui se dévoile peu à peu avec un dénouement inattendu...
"Le Resquilleur Sentimental" est une comédie en trois actes écrite par René Pujol. Cette pièce de théâtre est une comédie romantique qui a été créée en 1921. Elle explore les thèmes de l'amour, du mensonge et de la comédie dans le contexte des relations amoureuses et des quiproquos.L'histoire de "Le Resquilleur Sentimental" tourne autour des personnages qui se trouvent mêlés à des situations amoureuses complexes. Le protagoniste, Gaston, tente de séduire une femme mariée, mais son stratagème se complique lorsque sa propre femme, qui ignore ses intentions, devient jalouse. La pièce se déroule avec des malentendus et des quiproquos comiques.René Pujol était un dramaturge français prolifique qui a écrit de nombreuses comédies à succès au début du XXe siècle. Ses ¿uvres étaient appréciées pour leur humour léger et leur exploration des thèmes de l'amour et des relations humaines.
Paulette se dressa sur son séant et tendit l¿oreille, car il se passait dans la maison quelque chose d¿anormal. On courait dans le couloir, des coups sourds retentissaient à intervalles inégaux, et une voix étouffée répétait : ¿ Ouvrez, monsieur !... ouvrez !¿Quelques secondes suffirent à Paulette pour s¿éveiller tout à fait. Elle sauta sur le tapis, et chercha ses mules dont une avait glissé sous le lit.Une autre voix cria :¿ Allez chercher un serrurier !¿Paulette rajusta son pyjama et donna un rapide coup de brosse à ses cheveux courts. C¿était une belle jeune fille blonde, ayant à peine dépassé vingt ans. De grands yeux gris éclairaient son visage, sous l¿arc parfait des sourcils admirablement dessinés. Avec son petit nez légèrement retroussé, sa bouche gourmande, elle avait un air à la fois puéril et très féminin.
Lorsque j¿eus poussé la porte du bar, je fus soudain très ennuyé. Il y avait là beaucoup de monde, beaucoup de jolies femmes, beaucoup de jeunes gens élégants, et j¿eus la pénible impression de ne pas être assez bien vêtu pour prendre place parmi eux sans une véritable honte. J¿étais propre, mais la doublure de mon veston demandait grâce depuis de longues semaines, mon pantalon avait des goitres aux genoux et ma casquette était de fort mauvaise coupe. Quant à ma cravate, mieux valait n¿en pas parler. Je me sentis si gêné que j¿eus envie de m¿en aller. Par bonheur, j¿aperçus tout de suite mon cousin qui m¿attendait. Il m¿appela d¿un grand geste. Je n¿étais pas en retard ; toutefois, je remarquai qüil avait pourtant déjà bu trois verres. Il était donc là depuis longtemps.
Paulette est confrontée à la mort suspecte de son oncle qui s'accompagne de faits de plus en plus étranges. C'est alors qu'entre entre en scène un curieux policier dont l'allure ridicule et la pusillanimité incitent peu à la confiance. Il se targue pourtant de pouvoir résoudre l'énigme par la seul force de ses capacités d'analyse et de déduction...
Que cache la vie de Suzy, qui apparait pourtant si futile ? Va-t-elle céder à la demande de son cousin Robert La Borde, en qui elle a confiance, et l'épouser même si elle n'a aucun sentiment pour lui? Qui est ce Jean de Vassal aux activités mystérieuses et douteuses ? Et que lui veut son ennemi, si acharné et dangereux ? une intrigue qui se dévoile peu à peu avec un dénouement inattendu...
L¿huissier à chaîne cria d¿une voix aiguë : ¿ Monsieur Amédée Pifle !¿Amédée Pifle se leva précipitamment, non sans donner un rude coup de talon sur la cheville de son voisin. Celui-ci se prit aussitôt le pied à pleines mains, comme pour défendre un trésor personnel convoité par des vandales, et son visage exprima une douleur profonde.¿ Je vous demande pardon, balbutia Pifle.En quatre enjambées, il traversa le salon d¿attente et se rua devant l¿huissier solennel.Or, le tapis avait un pli, un petit pli de rien du tout. Ce fut pourtant ce bourrelet minuscule que Pifle heurta du fin bout de sa semelle.Il eut l¿impression qüune force irrésistible lui pesait soudain sur la nuque. Ses longs bras exécutèrent un bref « strudgeon » dans l¿espace, son poing droit rencontra fortuitement le nez de l¿huissier, et Pifle plongea résolument, la tête en avant, confondant sans doute le parquet avec une piscine.
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