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Que s'est-il passé en rallye durant la saison 2023 ? 13 manches du Championnat du Monde se sont déroulées sur 4 continents lors de cette deuxième saison de l'ère des Rally1 Hybrid, auxquelles se rajoute le Championnat d'Europe et le Championnat d'Allemagne. La dernière édition de l'annuel de rallye vous présente une fois de plus les plus beaux reportages avec les résultats, les analyses et les coulisses.« Rallying 2023 - Moving Moments » de McKlein Publishing vous fait revivre la dernière saison de rallye qui a été à la fois passionnante et dramatique. L'accent est mis sur la catégorie reine. Pour la première fois, une épreuve, le Rallye d'Europe Centrale, a traversé trois pays : la République Tchèque, l'Autriche et l'Allemagne. Après la pause Covid, le Mexique et le Chili étaient de nouveau au rendez-vous en 2023. Mais la saison a aussi été assombrie par la mort de Craig Breen, à qui une nécrologie est dédiée. Et en tout début d'année, nous avons perdu Ken Block, une véritable star mondiale, à laquelle le livre rend également hommage.Bien entendu cet annuel revient aussi sur le WRC2, le Junior WRC et la WRC Masters Cup. Et l'Eifel Rallye Festival n'est bien sûr pas oublié. La manifestation a une fois de plus attiré dans le massif de l'Eifel une foule de passionnés venus admirer les anciennes gloires du rallye. Les 240 pages sont illustrées des images les plus spectaculaires des photographes McKlein, accompagnées des textes des spécialistes de l'équipe Dirtfish Media. Un duo éprouvé, gage de qualité.
Les retrouvailles sont toujours chargées d'émotion : l'album du Nürburgring nous remémore le légendaire circuit de l'Eifel avant qu'il ne subisse les grands travaux. Une époque où les spectateurs, seulement séparés de l'action par des haies, pouvaient découvrir et photographier librement les pilotes et leurs voitures, sans passer tout le week-end assis sur des sièges numérotés, mais arpentant au contraire le circuit à la recherche des meilleurs points de vue. Rejoignez-nous dans les années soixante pour une visite de ce monument. Des photos à l'atmosphère unique montrent le Ring, l'agitation colorée qui règne sur la piste, dans les stands et dans le paddock. À travers ces clichés parcourons ensemble le grand circuit d'une section à l'autre, enfonçons-nous dans les paysages idylliques d'Hatzenbach, surprenons les pilotes de voitures de tourisme dans la forêt d'Adenau, regardons voler les pilotes de monoplaces au Brünnchen et admirons les pilotes de prototypes passant à côté du village de tentes sur le Schwalbenschwanz. Le Ring ne pouvait se vivre qu'ainsi à l'époque, et il n'a jamais été montré dans un livre de cette manière.
Un contenu éprouvé dans une nouvelle forme : la nouvelle édition de ce classique vous est présenté dans un format plus compact, avec une seule langue par livre, permettant ainsi aux auteurs Reinhard Klein et John Davenport d'inclure encore plus de photographies de la période la plus débridée du rallye. Jusqu'à ce jour, beaucoup considèrent les Groupe B comme l'incarnation de la folie sur quatre roues, et jamais depuis les ingénieurs n'ont eu une telle liberté pour créer ces voitures extrêmes et fascinantes.Ce livre raconte l'histoire de toutes les voitures développées durant le Groupe B, de l'Audi Quattro aux remarquables Lancia et Peugeot en passant par les voitures un brin exotiques de Porsche et de Mazda. Mais les développements techniques arrivèrent à leur paroxysme en 1986, quand l'euphorie se transforma en un danger incontrôlable. L'excitation des constructeurs, des politiciens et des fans conduisit à de tragiques accidents, qui menèrent finalement à l'interdiction des Groupe B sur les rallyes internationaux.John Davenport, journaliste de rallye et auteur de plusieurs livres de rallye, a vécu cette époque de l'intérieur en tant que directeur de la branche sport automobile d'Austin Rover à l'époque. Ses connaissances détaillées emmènent le lecteur dans un voyage à travers le monde fascinant de ces voitures de haute technologie et offrent un aperçu de la course à la performance qui se déroulait dans les coulisses du rallye.Le livre est complété de photos des archives du célèbre photographe de rallye Reinhard Klein. Les clichés grand format offrent une vue incroyable sur les détails techniques des voitures et sur l'ambiance fantastique qui régnait le long des spéciales.
50 fois le WRC. 50 saisons du plus spectaculaire des sports mécaniques. Technologie de pointe, robustesse, endurance et vitesse pure sont engagées dans un combat contre le chronomètre. Le rallye est la mère de toutes les compétitions automobiles. La dextérité requise pour maitriser une voiture sur l'asphalte ou la glace, sous la canicule ou la pluie, dans le brouillard ou la nuit noire, en font la discipline reine sur quatre roues. Créé en 1973, le Championnat du Monde des Rallyes entre cette année dans sa cinquantième saison. Le moment est idéal pour jeter un oeil dans le rétroviseur et sur ces pilotes et bolides de légende, de l'Alpine à l'Integrale, de Colin McRae à Sébastien Loeb, des monstrueuses Groupe B jusqu'aux Rally1 hybrides à la pointe de la technologie.Illustré de nombreuses photos extraites des archives McKlein, dont certaines totalement inédites, ce livre propose un résumé saison après saison, d'un demi-siècle de lutte pour le titre mondial, avec ses évolutions techniques, ses drames, ses héros et ses curiosités. Un tour de force, de l'ère de la dérive jusqu'à la lutte au dixième de secondes avec les autos les plus rapides de tous les temps. Un livre d'histoires et d'images sur le sport automobile le plus excitant au monde.
Ausgezeichnet mit dem Ehrenpreis in der Kategorie Motorsport beim Motorworld Buchpreis 2021Ab dem 1. Januar 1961 galt in der Formel 1 ein neues technisches Reglement. Nun mussten Motoren mit 1,5 Litern Hubraum reichen, denn die Geschwindigkeiten sollten reduziert werden. Erlaubt waren jetzt Rennwagen mit Saugmotoren und maximal 1,5 Litern Hubraum. Die Motorleistung betrug zunächst 150 PS, am Ende der Epoche mehr als 220 PS. Zunächst unterschätzte man die Formel 1-Rennwagen jener Zeit, was den Leistungen der Techniker und der Fahrer nicht gerecht wurde: denn um die Autos am Limit zu bewegen, war größtes fahrerisches Können erforderlich. Die britischen Teams hatten zunächst gegen die neuen Regeln opponiert und gingen mit einem technischen Rückstand in die neue Formel 1. Ferrari war besser gerüstet: Die Scuderia gewann 1961 sowohl die Fahrer- als auch die Konstrukteurs-Weltmeisterschaft und konnte den Erfolg 1964 wiederholen. Genauso erfolgreich war Lotus mit dem überragenden Jim Clark, und auch BRM-Pilot Graham Hill gelang ein Titelgewinn. Nachdem die Briten mit dem Climax-V8 motorisch Anschluss fanden, wies Lotus mit dem Typ 25, dem ersten Monocoque-Formel 1, den Weg in die Zukunft. Die 1,5-Liter-Formel hat mit Stirling Moss, Graham Hill, John Surtees, Dan Gurney, Jim Clark und Jackie Stewart einige der besten Piloten aller Zeiten gesehen - und trotz aller Unkenrufe, die "neue" Formel 1 könne mangels Hubraum und Leistung nicht spannend werden, wurde aufregender Sport geboten. Auch für die Zuschauer waren die Großen Preise ein echtes Spektakel, weil sie ganz nah am Geschehen waren. Jörg-Thomas Födisch, Rainer Rossbach und Nils Ruwisch zeigen im diesem Buch mit vielen unveröffentlichten Aufnahmen - die meisten auf dem Archiv von Bernard Cahier - die ganze Faszination der 47 Grands Prix, die zur Fahrer-Weltmeisterschaft nach den Regeln der 1,5-Liter-Formel zählten.-------------------------------------------------------------Awarded the Honorary Award in the Motorsport Category at the Motorworld Buchpreis 2021From January 1st, 1961, a new set of technical regulations were applied in Formula One. From that date, all the naturally aspirated engines had to be of a maximum displacement of 1.5 litres in an attempt to reduce the speeds. The power of these engines was initially about 150 bhp though, at the end of the era, this had risen to more than 220 bhp. At first the Formula One cars of that time were underestimated, which was being unfair to the achievements of the engineers and of the drivers involved. To operate these cars at their limits demanded a high level of driver skill. Initially the British teams had opposed the new rules and thus entered the new Formula One at a technical disadvantage. Ferrari was better equipped with new 1.5 litre engines and thus the Scuderia won both the Driver and the Constructor Championships in 1961 and was able to repeat this success in 1964. Lotus was just as successful with the outstanding Jim Clark, and BRM driver Graham Hill also won the title. After the British had caught up with engines like the Climax V8, Lotus also pointed the way into the future with the Type 25, the first monocoque Formula One car.The 1.5 litre formula saw the participation of some of the best Formula One drivers of all time with Stirling Moss, Graham Hill, John Surtees, Dan Gurney, Jim Clark and Jackie Stewart. And despite all the prophecies of doom that the "new" Formula One would not be exciting thanks to a lack of engine power, some thrilling sport was on offer during this five-year period. These Grands Prix were also a real spectacle for the spectators, because they were very close to the action.Jörg-Thomas Födisch, Rainer Rossbach and Nils Ruwisch reveal in this book - using many previously unpublished photographs of which most are taken from the Bernard Cahier archive - the attraction and excitement generated by the forty-seven Grands Prix that constituted the World Championships for Drivers under the 1.5-litre Formula One regulations.-------------------------------------------------------------Le 1er janvier 1961, la Formule 1 adopte un nouveau règlement technique. Désormais, afin de réduire la vitesse, les monoplaces doivent se contenter de moteurs atmosphériques d'une cylindrée de 1,5 litre. Si la puissance initiale était de 150 chevaux, à la fin de l'ère elle culminait à plus de 220 chevaux. Rétrospectivement, les « voiturettes» de l'époque ont souvent été moquées. Cela ne rend pas justice aux performances des techniciens et des pilotes, car la plus grande dextérité était nécessaire pour emmener ces voitures à la limite.Les équipes britanniques s'étaient d'abord opposées aux nouvelles règles et se sont lancées dans la nouvelle Formule 1 avec un handicap technique. Ferrari était mieux armé : la Scuderia a remporté le Championnat du Monde des Pilotes et des Constructeurs en 1961 et a réitéré la performance en 1964. Lotus a eu tout autant de succès avec l'excellent Jim Clark et le pilote BRM Graham Hill a également remporté un titre.Grace au V8 Climax, les écuries britanniques ont retrouvé le chemin du succès et Lotus a ouvert une nouvelle ère avec la Type 25, la première Formule 1 monocoque.Dans ces années 1,5 litre, la Formule 1 a vu s'affronter certains des meilleurs pilotes de tous les temps avec Stirling Moss, Graham Hill, John Surtees, Dan Gurney, Jim Clark ou encore Jackie Stewart. Le spectacle proposé et l'intensité des courses ont fait taire tous ceux qui prédisaient une saison ennuyeuse en raison de la faible puissance et des performances supposées de ces nouvelles voitures. Et les spectateurs, au plus près de l'action dans ces années-là, ont plébiscité le spectacle offert par les Grand Prix.Jörg-Thomas Födisch, Rainer Rossbach et Nils Ruwisch reviennent dans ce livre, largement illustré de nombreuses photos inédites - la plupart issues des archives de Bernard Cahier - sur l'histoire fascinante des 47 Grands Prix qui ont compté pour le Championnat du Monde des Pilotes durant l'ère du moteur 1,5 litre.
Ausgezeichnet als Biografie des Jahres beim Motorworld Buchpreis 20215. September 1970. Österreich hat einen Nationalhelden verloren. Jochen Rindt ist tot. Der Le-Mans-Sieger von 1965, der sich von Flugplatzrennen über die Formel 2 in die Königsklasse fuhr und posthum zum Formel-1-Weltmeister gekürt werden sollte, war eine schillernde Persönlichkeit. Der gebürtige Deutsche, der in Österreich aufwuchs, wusste zu polarisieren. Das Buch schildert die wohlbehütete Kindheit bei den Großeltern, nachdem er die Eltern im Krieg verloren hatte, den Ausbruch in der Pubertät, die schnelle stürmische Laufbahn und das tragische Ende in Monza - dies ist das Porträt einer Ikone mit verborgenen Tiefen.Dr. Erich Glavitza, Journalist, Autor, Renn- und Stuntfahrer und obendrein noch promovierter Philosoph, kannte Rindt gut und hat in seiner bekannt lockeren Art dieses ebenso schillernde wie erkenntnisreiche und einfühlsame Bild seiner Person gezeichnet. Er beschreibt den ungestümen Charakter Rindts und die kaum bekannte, ganz andere Beziehung zum Halbbruder, mit dem Glavitza lange gesprochen hat. Schließlich analysiert Erich Glavitza ausführlich den tödlichen Unfall mit dem filigranen Lotus. Dies ist das umfassende Standardwerk über Jochen Rindt, reich illustriert mit teils nie gezeigten Privat- und Rennsportfotos, etwa von Alois Rottensteiner, der ebenfalls nah dran war an Rindt und dem Rest der Szene. Mit Vorworten von Bernie Ecclestone und Uwe Eisleben.Zum 50. Todestags des Rennfahrers legt McKlein diese 400 Seiten starke großformatige Biographie in edler Ausstattung und im Schuber vor. -------------------------------------------------------------Awarded Biography of the Year at the Motorworld Buchpreis 2021It is September 5th, 1970. Austria has lost a national hero. Jochen Rindt is dead. The 1965 Le Mans winner who drove his way from airfield races to Formula Two and right on to Formula One, where he was to be crowned champion posthumously, was a dazzling personality. Born in Germany and raised in Austria, he knew how to polarize relationships. The book portrays his sheltered childhood with his grandparents after he lost his parents in the war, the onset of puberty, his rapid yet stormy career, and its tragic end in Monza. This is a portrait of a champion with hidden depths.Dr. Erich Glavitza, journalist, author, racing and stunt driver and, on top of that, a PhD in philosophy, knew Rindt well and, in his well-known relaxed manner, has painted this picture of Jochen Rindt, that is as compelling as it is insightful and sensitive. He describes Rindt's impetuous character and the little-known, completely different relationship he had with his half-brother, with whom Glavitza spoke at length for this book. Finally, Erich Glavitza analyses in detail the fatal accident at Monza with the F1 Lotus. This is a comprehensive study of Jochen Rindt, the man and the racing driver, which is richly illustrated with private photos and with racing pictures some of which have never been shown before. These include ones from Alois Rottensteiner, who was also close to Rindt and part of the racing scene of the 1960s and 1970s. The preface is by Bernie Ecclestone, Rindt's manager and friend.To mark the 50th anniversary of the racing driver's death, McKlein is presenting this 400-page large-format biography in a noble design and slipcase. -------------------------------------------------------------5 septembre 1970, l'Autriche perd un héros national : Jochen Rindt est décédé. Personnalité éblouissante, le vainqueur du Mans en 1965 a débuté dans des courses disputées sur des aérodromes avant de marquer de son empreinte la Formule 2 et de se hisser au plus haut niveau du sport automobile. Il sera sacré Champion du Monde de Formule 1 à titre posthume. Né en Allemagne, il a grandi en Autriche, élevé par des grands-parents protecteurs après avoir perdu ses parents durant la guerre. Le livre raconte cette enfance, son éclosion à la puberté, sa carrière orageuse et rapide et sa fin tragique à Monza. C'est le portrait d'un homme aux mille visages.Erich Glavitza, journaliste, auteur, pilote de course et cascadeur, mais aussi docteur en philosophie, a bien connu Rindt. Il dépeint avec son style unique la personnalité à la fois éblouissante et sensible du pilote. Il décrit le caractère impétueux de Rindt et sa relation peu connue et particulière avec son demi-frère, avec lequel Glavitza s'est longuement entretenu. Enfin, Erich Glavitza analyse en détail l'accident mortel avec en filigrane la responsabilité de Lotus.Cet ouvrage très complet sur Jochen Rindt est richement illustré de photos, pour certaines inédites, prises dans le cercle privé et en course. Elles sont l'oeuvre notamment d'Alois Rottensteiner, qui était un proche de Rindt et du monde de la Formule 1. La préface est signée Bernie Ecclestone.À l'occasion du 50ème anniversaire de la mort du pilote automobile, McKlein édite cette biographie grand format de 400 pages, livrée dans un élégant étui rigide.
Bei Rennautos ist normalerweise die Technik wichtiger als die Optik, nur einige wenige von ihnen können sich wirklich sehen lassen. Der Ferrari 312 P gehört auf jeden Fall zu dieser Spezies. Neben den Designern Giacomo Caliri und Edmondo Casoli ist dafür auch Enzo Ferrari höchstpersönlich zu danken, der dem Team untersagte, Spoiler oder andere aerodynamische Hilfsmittel anzubringen. Sogar für den Fall, dass sich diese positiv auf die Fahreigenschaften ausgewirkt hätten.Gebaut wurde der 312 P für die Sportwagen-Weltmeisterschaft 1969. Aufgrund einer recht kurzen Entwicklungszeit und eines nur kleinen Etats waren ihm große Erfolge vergönnt. Während andere Firmen viele Autos einsetzten war bei Ferrari außer in Monza und Le Mans jeweils nur ein Fahrzeug zum Einsatz. Bereits in der Folgesaison debütierte der Nachfolger 512 P, der mit seinem Fünf Liter-Motor den Kampf mit den Porsche 917 aufnahm. Der 312 P wurde ab 1970 vom North American Racing Team (NART) eingesetzt und sogar komplett umgebaut.Dieses Buch von Autor Gianni Agnesa erzählt die Geschichte eines Rennsportwagens, von dem nur drei Exemplare gebaut wurden. Jedes Detail wird akribisch aufgeführt. Auf 264 Seiten wird die Geschichte - beginnend mit den ersten Tests über ausgiebige Berichte zu allen Rennen des Werksteams und NART bis zur Geschichte jenes Fahrzeugs, welches bis heute bei historischen Veranstaltungen an den Start geht - beschrieben. Kurz portraitiert werden auch die Fahrer, darunter klangvolle Namen wie Chris Amon, Mario Andretti, Pedro Rodríguez, Peter Schetty, Mike Parkes, Tony Adamowicz, Chuck Parsons oder Sam Posey. Das großformatige hochwertige Buch wurde von McKlein produziert und wird in einem Schuber geliefert. Es beinhaltet außerdem zahlreiche bislang unveröffentlichte Fotos. -------------------------------------------------------------With racing cars being built mainly for performance, only few of them combine this with admirable beauty. Ferrari's model 312 P is definitely such an example - thanks to the work of its designers Giacomo Caliri and Edmondo Casoli, but also Enzo Ferrari, who tried to stop the team adding wings or other aerodynamic additions to its beauty - even if they might have improved the car's performance. The 312 P was built by the Maranello company for the 1969 World Sportscar Championship and powered by a stunning 3-litre V12 engine. A short development period and a small budget led to a season of mixed results where, except in Monza and at Le Mans, only one car was sent to the races to take on all the other teams. Its official career ended when the bigger 5-litre 512 S came for the 1970 season to fight the Porsche 917s. This book by Gianni Agnesa tells the story of the car - of which only three examples have been built - in every detail, from the very first test, through every race they did with the factory team or later when the North American Racing Team took over the cars. It gives short portraits of the drivers of the 312 P, such as Chris Amon, Mario Andretti, Pedro Rodríguez, Peter Schetty, Mike Parkes, Tony Adamowicz, Chuck Parsons or Sam Posey. The 264-page volume takes us right up today and the one example that is still used on some historic events. The large-format, high quality book produced by McKlein comes in a slipcase and is illustrated by many previously unseen images.-------------------------------------------------------------Con le auto da corsa costruite principalmente per le prestazioni, solo poche risultano essere davvero belle. Il modello 312 P della Ferrari ne è sicuramente un esempio - grazie al lavoro dei suoi designer Giacomo Caliri ed Edmondo Casoli, ma anche di Enzo Ferrari, che cercò di impedire al team di aggiungere alla sua bellezza ali o altre appendici aerodinamiche- anche se queste avrebbero potuto migliorare le prestazioni della macchina.La 312 P fu costruita dalla casa di Maranello per il Campionato mondiale di auto sportive del 1969 ed era alimentata da uno straordinario motore V12 da 3 litri. Un periodo di sviluppo breve e un budget ridotto portarono a una stagione di risultati contrastanti in cui, tranne a Monza e a Le Mans, fu inviata sui circuiti una sola vettura per affrontare tutte le altre agguerrite squadre. Nonostente ciò molti piloti di spicco come Amon, Andretti, Rodriguez, Schetty, Piper, Parkes, Adamowicz, Parsons, Posey ebbero l'opportunità di guidare il prototipo Ferrari in gara. La sua carriera ufficiale terminò quando la più grande 512 S da 5 litri arrivò per la stagione 1970 per combattere la Porsche 917.Questo libro di Gianni Agnesa racconta la storia dell'auto - di cui sono stati costruiti solo tre esemplari - in ogni dettaglio, fin dal primo test, attraverso ogni gara che hanno fatto con il team ufficiale o in seguito quando le auto corsero con i colori del North American Racing Team. E si arriva infine ai giorni nostri in cui un solo esemplare è ancora utilizzato in eventi sportivi storici. Il libro di grande formato e di alta qualità prodotto da McKlein è contenuto in una custodia ed è illustrato da molte immagini assolutamente inedite.-------------------------------------------------------------Les voitures de compétition sont développées pour la performance, et très peu combinent cette exigence avec une admirable beauté. La Ferrari 312 P est assurément une de celles-ci, grâce au travail des designers Giacomo Caliri et Edmondo Casoli, mais aussi à Enzo Ferrari qui a freiné l'équipe dans ses projets d'ajouter ailerons et autres appendices aérodynamiques, même si ceux-ci auraient pu avoir une incidence sur les performances de la voiture. La 312 P a été développée par l'équipe de Maranello pour le Championnat du Monde des Voitures de Sport 1969 et était motorisée par un extraordinaire moteur V12 de 3 litres de cylindrée. Une courte période de mise au point combinée à un faible budget ont conduit à une saison mitigée lors de laquelle, exception faite de Monza et Le Mans, une seule auto a été engagée face aux autres équipes. Sa carrière s'est achevée lorsque la 512 S, motorisée par un 5 litres, a été présentée pour battre en 1970 les Porsche 917. Ce livre de Gianni Agnesa raconte de façon détaillée l'histoire de cette voiture, dont seuls trois exemplaires ont été construits, depuis les premiers tests jusqu'à ses engagements en compétition, avec l'équipe officielle ou plus tard avec le North American Racing Team. Il nous emmène jusqu'aujourd'hui au seul exemplaire encore engagé dans certains événements historiques. Le livre grand format de haute qualité édité par McKlein est livré dans un étui rigide et est illustré par de nombreuses photos inédites.
Markku Alén fasste den Ford Escort für dieses Buch in fünf Worten zusammen: "It's a winner's car." Der Frontmotor-Hecktriebler triumphierte praktisch rund um den Globus - sei es bei der 25.000 Kilometer langen World Cup Rallye 1970, der East African Safari, im schwedischen Schnee oder auf den Highspeed-Pisten Finnlands. Bei seinem Heimspiel, der RAC Rallye, erwiesen sich die Mk1- und Mk2-Versionen acht Jahre lang als unbesiegbar.Doch es sind nicht nur die Erfolge von Werksfahrern wie Roger Clark, Timo Mäkinen, Hannu Mikkola, Ari Vatanen, Markku Alén oder Björn Waldegård, die den Escort so berühmt gemacht haben. Die Heckschleuder war zuverlässig, leicht zu beherrschen und fast noch leichter zu reparieren - und somit das bevorzugte Auto vieler Privatfahrer. Beweis gefällig: Bei der Scottish Rallye 1973 belegten Escorts die ersten zehn Plätze. Kurzum: Kaum ein anderes Auto hat den Rallyesport so sehr geprägt wie der Ford Escort. Dieses 264 Seiten starke Buch fasst die komplette Rallyegeschichte der Mk1 und Mk2 Escorts vom der ersten Konzept 1967 bis zum späten Weltmeistertitel 1981 zusammen. Autor John Davenport - bei der Rallyepremiere vor 50 Jahren der erste Beifahrer im Escort - hat mit zwei Dutzend Zeitzeugen gesprochen und die Geschichte dieses Autos so umfassend und lebendig zusammengefasst wie niemand zuvor. Er beschreibt den Werdegang in chronologischer Reihenfolge - aufgelockert durch spannende Kommentare und Anekdoten. Begleitet werden die Texte von mehr als 500 teils bekannten und teils noch nie gesehenen Fotos. Sie zeigen den Escort im legendären Workshop von Boreham, bei Testfahrten und vor allem in den vielfältigsten Lackierungen im Rallye-Einsatz.
Though it is fi fty years since he gained his two Formula 1 World Championship titles, the interest in Jim Clark has not waned. The Scotsman is still regarded as one of the best Grand Prix drivers ever. In the 1960s, Clark and his mentor, Colin Chapman, conquered the very pinnacles of single-seater racing with Clark winning the F1 World Championship twice and the Indy 500 once. All in all, he claimed more than one hundred victories at the wheel of a Lotus. This 400-page book from McKlein does not just tell the story of Clark's extraordinary racing career, it also portrays his personal life from A to Z. Author Graham Gauld followed the career of the Scotsman right from its very beginning. He has fi lled the roles of friend, photographer and reporter, and thus spent innumerable hours with Clark. This lavishly illustrated book contains many rare images from various well-known archives thus helping to complete an intimate portrait of a true sporting champion. ///// Selbst 50 Jahre nach seinen Weltmeistertiteln ist die Faszination an Jim Clark ungebrochen. In den sechzigen Jahren eroberten Clark und sein Ziehvater Colin Chapman gemeinsam die Weltspitze des Motorsports. Zweimal wurde Clark auf Lotus Formel-1-Weltmeister, einmal gewann er die Indy 500 und auch in Le Mans schaffte er es aufs Podium. Insgesamt feierte Clark im Lotus über 100 Rennsiege. Dieses 400 Seiten umfassende Werk von McKlein widmet sich neben der außerordentlichen Karriere auch Clarks Privatleben von A bis Z. Autor Graham Gauld hat die Laufbahn des Ausnahmetalents ab dem ersten Moment als Freund, Fotograf und Reporter hautnah begleitet und unzählige Stunden mit Clark verbracht. Das ausladende illustrierte Werk zeigt seltene Aufnahmen aus verschiedenen bekannten Archiven und bietet somit ein intimes Porträt des Champions.
After featuring the legendary eras of Group B and Group 4 rallying, McKlein Publishing has now dedicated a book to the early years of the sport. "Group 2 - The genesis of world rallying" is a comprehensive review of the 1950s and 1960s. Then rallying was a big adventure, capable of capturing the imagination and enthusiasm of a Europe that was rediscovering its romance with the motorcar. Rallies like the Monte Carlo, the Liège-Rome-Liège, the Acropolis, the RAC and the Rallye des Alpes were the jewels in the diadem of the sport. And new challenges arose like the East African Safari, the 1000 Lakes and the Tour de Corse.All these events tested the crews that entered them to the very limits of speed and endurance. If the cars were less sophisticated than those we are familiar with in the 21st century, the skills to drive them quickly were perhaps of a higher order. Certainly the stars of rallying from the period of this book are still well-known names sixty years later - for example, Erik Carlsson, Timo Mäkinen, Paddy Hopkirk, Eugen Böhringer, Jean-Pierre Nicolas and Pat Moss. The same applies to the legendary cars that changed the sport such as the Mercedes 220SEb, Mini Cooper, Porsche 911, Lancia Fulvia and Alpine-Renault A110."Group 2 - The genesis of world rallying" is the first complete review of the sport in the period 1946 to 1972. Over 256 pages, author John Davenport, who was part of that era as a co-driver and journalist, tells the story of the evolution of a sport from being largely something for amateurs to one that was fully professional. It was a time of growth, excitement and adventure and is covered here by comprehensive annual reviews, interesting features - such as a report on the great long distance rallies of that era - and results from all rounds of the European Championship and the International Championship for Makes. All this is accompanied by the greatest McKlein images from that era.
Colin McRae, the 1995 World Rally Champion, was the most spectacular rally driver. His natural speed and win-or-bust approach made him the favourite of rally fans worldwide. The word McRae became superfl uous in the end, Colin was... just Colin. On rally stages, the words: "Colin's coming...¿ meant one thing - the spectators looked longer, harder and took a cautious step backwards, just in case. Colin drove for a variety of top teams including Ford, Citroën, Ferrari, Nissan and ¿koda. However this fl ying-Scotsman is best remembered for his exploits in blue and yellow Subarus. Away from driving, Colin brought rallying to a younger generation as the fi gurehead of a successful computer game bearing his name. Colin McRae had two well-known sayings, one being: "If in doubt, fl at out¿ and the other: "We're here for a good time, not a long time.¿ Sadly the latter became all too true, when on September 15, 2007 the 39-year-old Scot was killed instantly in a helicopter accident. This book details the real Colin McRae, from his humble beginnings to global fame through world championship success. It explains his natural talent, fl amboyant driving style and epic wins as well as his rivalries, friendships and spectacular crashes. This book uncovers every aspect of Colin's character, with a collection of personal stories, told by family and friends who knew him best. And there are the previously untold stories,like the time Prince William asked to meet the Scot. McRae - Just Colin provides a rare insight into McRae's infectious personality. McKlein Photography, and in particular another Colin [McMaster], worked closely with McRae throughout his rally career. The best of McKlein's photo archive has been used to lavishly illustrate all these fascinating stories. Much of the private and behind-the-scenes photography shown in this book has never previously been published.
1961 war das erste Jahr der 1,5-Liter-Formel1. In Deutschland gab es nur einen Hersteller, der willens und imstande war mitzumischen: Porsche. Zunächst reichte der Monoposto namens 718, der im Herzen noch ein Spyder war. Dann aber ging Porsche aufs Ganze und baute den bis heute letzten deutschen Formel-1-Renner aus einer Hand. Motor, Fahrgestell, Karosserie und Bremsen des 804 waren hausgemacht und ergaben einen echten Silberpfeil. Es war ein bisschen zu viel und ein bisschen zu teuer, aber es war ein überaus spannendes Stück Rennsportgeschichte. Wunderbare, bislang unveröffentlichte Bilder illustrieren die Erinnerungen jener, die dabei waren, und eine vollständige Statistik rundet die erste umfassende Dokumentation über Porsches Formel-1-Experiment ab. Dieses Werk schließt die letzte große Lücke in Ihrer Porsche-Sammlung.
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