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Le présent ouvrage analyse la capacité du proverbe espagnol à se manifester sous la forme de plusieurs signifiants (ou variantes), tout en maintenant un même sens proverbial. Pour saisir le fonctionnement du système parémique et de son renouvellement formel, l'auteur s'appuie sur une étude comparative, inter-linguistique, de proverbes castillans et de proverbes dialectaux. Le postulat de départ envisage le proverbe comme une forme dépendant d'une matrice lexicale, associée à un invariant sémantique et un invariant syntaxique. La description de ces points fixes permet de poser une alternative à la théorie du proverbe comme signifiant entièrement figé, tout en mesurant les altérations formelles admises au sein d'une matrice donnée. L'approche variationnelle illustrée ici vise une typologie des altérations formelles et structurelles saisie à travers le prisme des dimensions de la variation qui agissent de concert sur les parémies : diachronique, diatopique, diastratique et diaphasique.
Ce livre est consacré à l'analyse des liens que certaines dynasties d'époque hellénistique entretiennent avec le passé perse, et plus précisément avec la dynastie des Achéménides. Dans certains cas, les dynasties revendiquèrent elles-mêmes de tels liens, sous la forme de flatteuses fictions généalogiques : l'ouvrage propose une analyse de ces discours, typiques des dynasties qui régnèrent sur le Pont, la Cappadoce, l'Arménie et la Commagène. Dans d'autres cas, ce sont les historiens contemporains qui interprètent tel ou tel comportement dynastique comme témoignant d'une volonté de s'identifier aux Achéménides : l'ouvrage évalue également la pertinence de ce type d'interprétation, particulièrement présente à propos de la dynastie iranienne des Arsacides de Parthie.L'analyse, organisée de façon thématique, est précédée d'une large synthèse historique et culturelle. Rassemblant pour la première fois dans une étude commune les différentes dynasties dont traite le livre (dynasties anatoliennes, Arsacides, dynastes de Perside), cette synthèse constitue un nouvel outil pour les historiens.D'une manière générale l'ouvrage met en question les présupposés qui peuvent exister dans le champ historique sur la notion d'une identité iranienne déjà bien constituée à l'époque hellénistique, et sur les comportements dont elle s'accompagnerait.
À partir de 1883, le peintre et graveur James Ensor (1860-1949) entretient avec la famille Rousseau, installée à Bruxelles, une importante correspondance étalée sur plusieurs décennies, qui témoigne d'une amitié sincère. Ernest Rousseau, professeur de physique devenu recteur de l'Université libre de Bruxelles, et son épouse la mycologue Mariette Hannon exercent une heureuse influence sur le jeune artiste ostendais, en contribuant à élargir son réseau au sein du monde culturel de la capitale. Leur fils Ernest nourrit également une évidente complicité avec James.Les Rousseau se révèlent être les confidents des angoisses, des doutes et des éclats d'enthousiasme de l'artiste, et comptent parmi ses principaux mécènes. Conservée aux Archives de l'Art contemporain en Belgique, cette correspondance non croisée, restée en grande partie inédite, rassemble près de 400 lettres, cartes-lettres, cartes postales et cartes de visite autographes de James Ensor pour l'essentiel, quelques lettres étant par ailleurs écrites par sa soeur Marie. Cet ensemble épistolaire lève le voile sur de nombreux aspects tant de la vie de l'artiste que de son oeuvre peint et gravé. Sa transcription intégrale s'accompagne ici d'un commentaire critique richement documenté.Correspondance établie et annotée par Jean-Philippe Huys, avec la collaboration de Xavier TricotEssais intégralement traduits en néerlandais, résumés en anglais
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