Bøger i Crime À... serien

Cours de chant consiste en extraits de Crime à l'université et c'est l'univers d'Eliane Vermont, la cantatrice, dont la soeur, Chloé Vermont, échappe de justesse à l'assassin.Lorsqu'un meurtre est commis quelque part, il y a beaucoup de personnes plus ou moins en connexion sans pour autant avoir quoi que ce soit à faire avec ce meurtre. Ils sont tout simplement là. C'est ce qui se passe dans ce livre (et comme d'autres de ma main).Disons qu'un homme est assassiné dans une ruelle, dans une ville quelconque. Autour de cette ruelle, il y a d'autres rues et des immeubles, dans ces rues des voitures passent, des gens etc. Dans les immeubles vivent des gens. Tous sont en connexion avec ce meurtre, mais n'ont pas d'action direct sur celui-ci.Bref, c'est simplement une façon de voir le monde. Ce qui compte, je pense, c'est la vie tout autour et non seulement la mort.Je veux créer des univers plein de vie et non seulement mortifères sans pour autant éluder ou occulter la mort.

Cours de littérature consiste en extraits de Crime à l'université. Il s'agit des cours de littérature suivis à l'université et présentés par différents étudiants.Pour qui une version light ? Pour les lecteurs exclusivement intéressés en cette partie du livre, pour les aficionados de la littérature, des auteurs et des livresLa version light 2 Lorsqu'un meurtre est commis quelque part, il y a beaucoup de personnes plus ou moins en connexion sans pour autant avoir de rapport direct avec ce meurtre. Ils sont tout simplement là. C'est ce qui se passe dans mes livres.Disons qu'un homme est assassiné dans une ruelle, dans une ville quelconque. Autour de cette ruelle, il y a d'autres rues et des immeubles. Dans ces, des voitures passent, des gens, etc. Dans les immeubles vivent des gens. Tous sont en connexion avec ce meurtre, mais n'ont pas d'action directe sur celui-ci et celui-ci n'a aucune action directe sur eux. C'est simplement une façon de voir le monde. Ce qui compte, je pense, c'est la vie tout autour et non seulement la mort.Dans mes romans, je veux créer des univers pleins de vie et non seulement mortifères sans pour autant éluder ou occulter la mort. Il y a des crimes, des enquêtes et des gens qui étaient là.

"Cours d'architecture" consiste en extraits de "Crime à l'université". Il s'agit ici de l'univers de Van Meersen-Tromp, le doyen de la faculté des Lettres féru d'architecture et des canons européens.Lorsqu'un meurtre est commis quelque part, il y a beaucoup de personnes plus ou moins en connexion sans pour autant avoir de rapport direct avec ce meurtre. Ils sont tout simplement là. C'est ce qui se passe dans mes livres.Disons qu'un homme est assassiné dans une ruelle, dans une ville quelconque. Autour de cette ruelle, il y a d'autres rues et des immeubles, dans ces rues des voitures passent, des gens etc. Dans les immeubles vivent des gens. Tous sont en connexion avec ce meurtre, mais n'ont pas d'action direct sur celui-ci et celui-ci n'a aucune action directe sur eux. C'est simplement une façon de voir le monde. Ce qui compte, je pense, c'est la vie tout autour et non seulement la mort.Dans mes romans, je veux créer des univers pleins de vie et non seulement mortifères sans pour autant éluder ou occulter la mort. Il y a des crimes, des enquêtes et des gens qui étaient là.