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"Une Conscience Pure" de Paul Bourget plonge dans les méandres de la moralité et de la conscience humaine. L'histoire suit le parcours d'Henriette, une jeune femme à l'âme vertueuse, déchirée entre ses idéaux et les tentations du monde. Bourget explore avec finesse les dilemmes moraux et les conflits intérieurs de son personnage principal, confrontant la pureté idéale à la réalité complexe de la nature humaine. Ce récit captivant offre une réflexion profonde sur l'intégrité, la vertu et les choix qui définissent notre essence morale.
"Dans 'Trois Contes' de Gustave Flaubert, plongez dans un ensemble de récits éblouissants, explorant les profondeurs de l'âme humaine. Ce recueil emblématique comprend 'Un C¿ur Simple', 'La Légende de Saint Julien l'Hospitalier' et 'Hérodias'. Flaubert offre une exploration captivante de la foi, de la culpabilité, et de la destinée humaine à travers des personnages aux destins poignants. Ces contes intemporels transportent le lecteur à travers des univers riches en émotions, mêlant réalisme, symbolisme et poésie pour dévoiler la complexité de l'existence."
MM. Jacques Le Maître et Guillaume Vignal quittèrent la France le 2 juillet 1659, fête de la Visitation. Sur le vaisseau qui les emportait, se trouvaient Mlle Mance, revenant après sa guérison miraculeuse et amenant trois soeurs hospitalières; les soeurs de Brésoles, Macé, Maillet; la soeur Bourgeoys et les soeurs Aimée Chatel, Catherine Crolo et Marie Raisin qui avec la soeur Bourgeoys formèrent le noyau de cette congrégation de Notre-Dame qui a rendu à notre pays des services si inappréciables, et près de deux cents passagers.
Justement, les Boche, depuis le terme d'avril, avaient quitté la rue des Poissonniers et tenaient la loge de la grande maison, rue de la Goutted'Or. Comme ça se rencontrait, tout de même! Un des ennuis de Gervaise, qui avait vécu si tranquille sans concierge dans son trou de la rue Neuve, était de retomber sous la sujétion de quelque mauvaise bête, avec laquelle il faudrait se disputer pour un peu d'eau répandue, ou pour la porte refermée trop fort, le soir. Les concierges sont une si sale espèce! Mais, avec les Boche, ce serait un plaisir. On se connaissait, on s'entendrait toujours. Enfin, ça se passerait en famille.
"Dans 'Un C¿ur de Femme' de Paul Bourget, suivez l'histoire captivante de Jeanne, une jeune femme tourmentée entre ses aspirations profondes et les conventions sociales de son époque. Bourget explore avec finesse les dilemmes intérieurs de Jeanne, confrontée à l'amour, aux interdits et à la morale. Entre passion, sacrifices et désirs inassouvis, ce récit dévoile les tourments d'une âme féminine en quête de liberté et d'accomplissement, offrant une plongée saisissante dans les méandres de l'émotion humaine et des aspirations personnelles."
"Dans 'Un Aquafortiste' d'Edmond De Goncourt, plongez dans le Paris du XIXe siècle, où l'art et la passion se mêlent. L'histoire suit le destin de Lucien, un jeune artiste talentueux découvrant les mystères de la gravure. Entre ambition, rivalités et amours tourmentées, le récit dépeint avec finesse les coulisses artistiques et les tourments intimes. Une exploration captivante de la créativité artistique et des affres de la vie bohème, où chaque trait révèle les nuances de l'âme humaine."
Saint-Sébastien, 12 septembre 1894. M¿y voici, en terre d¿Espagne. Ne vous étonnez pas, mon ami, si je ne débute par aucune considération générale. Je ne connais rien du pays, ¿ si ce n¿est la petite Fontarabie, qui dort dans son armure ancienne, ¿ ni rien des gens. Je n¿ai, de plus, fait aucun plan, aucun projet, sauf de bien voir. Et je vous dirai, au jour le jour, ce que j¿aurai visité le matin, entendu l¿après-midi, rêvé le soir en prenant mes notes. S¿il s¿en dégage quelque jugement, ce sont les choses mêmes qui parleront ; car, parmi mes bagages, je n¿emporte aucun préjugé, aucun souvenir bon ou fâcheux, pas même une part d¿action de vingt pesetas, qui m¿engage, pour ou contre, dans les affaires d¿Espagne.
«La chaîne des événements ténébreux que je vais prendre sur moi de retracer (malgré mes cheveux blancs et mon dédain de la gloriole), me paraissant comporter une somme d'horreur capable de troubler de vieux hommes de loi, je dois confesser, in primis, que si je livre ces pages à l'impression, c'est pour céder à de longues prières d'amis dévoués et éprouvés. Je crains même d'être, plus d'une fois, dans la triste nécessité d'atténuer,(par les fleurs de mon style et les ressources d'une riche faconde),leur hideur insolite et suffocante. Je ne pense pas que l'Effroi soit une sensation universellement profitable: le trait d'un vieil insensé ne seraitil pas de la répandre, à la volée, à travers les cerveaux, mû par le vague espoir de bénéficier du scandale? Une découverte profonde n'est pas immédiatement bonne à lancer, au pied levé, parmi le train des pensées humaines. Elle demande à être mûrement digérée et sassée par des esprits préparateurs. Toute grandenouvelle, annoncée sans ménagements, peut alarmer, souvent même affoler bon nombre d'âmes dévotieuses, surexciter les facultés caustiques des vauriens, et réveiller les antiques névroses de la Possession, chez les timorés.
Je ne crois pas que la France puisse songer sérieusement à quitter l'Algérie. L'abandon qu'elle en ferait serait aux yeux du monde l'annonce certaine de sa décadence. Il y aurait beaucoup moins d'inconvénient à nous voir enlever de vive force notre conquête par une nation rivale. Un peuple dans toute sa vigueur et au milieu même de sa force d'expansion, peut être malheureux à la guerre et y perdre des provinces. Cela s'est vu pour les Anglais qui, après avoir été contraints de signer en 1783 un traité qui leur enlevait leurs plus belles colonies, étaient arrivés, moins de trente ans après, à dominer toutes les mers et à occuper les plus utiles positions commerciales sur tous les continents. Mais si la France reculait devant une entreprise où elle n'a devant elle que les difficultés naturelles du pays et l'opposition des petites tribus barbares qui l'habitent, elle paraîtrait aux yeux du monde plier sous sa propre impuissance et succomber par son défaut de c¿ur. Tout peuple qui lâche aisément ce qu'il a pris et se retire paisiblement de lui-même dans ses anciennes limites, proclame que les beaux temps de son histoire sont passés. Il entre visiblement dans la période de son déclin.
Ces pièces de théâtre sont en effet des ¿uvres de Jean-Jacques Rousseau, philosophe, écrivain et compositeur du XVIIIe siècle.- "Narcisse" est une pièce écrite par Rousseau vers 1752, mais elle n'a jamais été représentée de son vivant. Elle explore le thème de la vanité et de l'amour-propre à travers l'histoire mythologique de Narcisse.- "Les Prisonniers de guerre" est une pièce écrite par Rousseau en 1758. Elle aborde les thèmes de la liberté, de l'esclavage et des valeurs humanitaires.- "L'Engagement téméraire" est une pièce écrite par Rousseau en 1759. Elle traite des conflits moraux et de la lutte entre les devoirs et les passions.- "Pygmalion" est une pièce écrite par Rousseau en 1762. Elle s'inspire du mythe de Pygmalion et explore les thèmes de l'amour, de la création artistique et de la relation entre l'art et la réalité.- "Le Devin du village" est une pièce écrite par Rousseau en 1752. Elle est reconnue comme son seul opéra-comique. L'histoire met en lumière la vie simple des villageois et leur quête du bonheur.Ces ¿uvres théâtrales de Rousseau reflètent ses idées sur la nature humaine, la morale et la société, tout en abordant divers thèmes sociaux et philosophiques de son époque.
Une théorie de la connaissance intellectuelle par un antiintellectualiste convaincu ne saurait être qu'intéressante et instructive. Aussi allonsnous essayer d'en faire part au lecteur. Nous lui exposerons d'abord la critique, puis la théorie de l'intelligence, telles que M. Bergson les a comprises. I. La critique de l'intelligence ne ressemblera en rien à celle que Kant en a déjà faite. Sans doute, il faut varier et le public demande toujours du nouveau. Mais le point de vue de M. Bergson est tellement différent de celui de Kant qu'il leur était bien impossible de se rencontrer ici et de risquer de se répéter.
LE meurtre de Calas, commis dans Toulouse avec le glaive de la Justice, le me Mars , est un des plus singuliers événements qui méritent l'attention de notre âge & de la postérité. On oublie bientôt cette foule de morts qui a péri dans des batailles sans nombre, non-seulement parce que c'est la fatalité inévitable de la guerre, mais parce que ceux qui meurent par le sort des armes, pouvaient aussi donner la mort à leurs ennemis, & n'ont point péri sans se défendre. Là où le danger & l'avantage sont égaux, l'étonnement cesse, & la pitié même s'affaiblit: mais si un Pere de famille innocent est livré aux mains de l'erreur, ou de la passion, ou du fanatisme; si l'accusé n'a de défense que sa vertu, si les arbitres de sa vie n'ont à risquer en l'égorgeant que de se tromper, s'ils peuvent tuer impunément par un arrêt; alors le cri public s'éleve, chacun craint pour soi-même; on voit que personne n'est en sûreté de sa vie devant un Tribunal érigé pour veiller sur la vie des Citoyens, & toutes les voix se réunissent pour demander vengeance.
"Stéphanette" est un roman de l'écrivain français René Bazin, publié en 1893. Ce roman explore les thèmes de l'amour, de la famille et des conflits sociaux dans le cadre d'une histoire se déroulant dans un village de province.L'histoire tourne autour de Stéphanette, une jeune femme provenant d'un milieu modeste, qui tombe amoureuse de Jean Herbelin, un homme de condition sociale plus élevée. Leur amour est mis à l'épreuve par les conventions sociales et les attentes familiales.René Bazin, à travers ce récit, offre une analyse subtile des différences de classe et des défis auxquels sont confrontés les amoureux issus de milieux sociaux différents. "Stéphanette" est considéré comme représentatif du style réaliste et régionaliste de Bazin, mettant en lumière les dilemmes moraux et sociaux dans les petites communautés provinciales françaises à la fin du XIXe siècle.
Les "Souvenirs de la Duchesse de Dino" sont des mémoires écrits par Laure Junot, duchesse d'Abrantès, qui a également été connue sous le nom de Duchesse de Dino. Cette ¿uvre est une compilation de souvenirs personnels et d'observations sur la vie politique et sociale de l'époque napoléonienne.Laure Junot était présente à la cour impériale de Napoléon Bonaparte et a été témoin de nombreux événements politiques majeurs de son époque. Ses mémoires offrent un aperçu fascinant de la vie à la cour impériale, des intrigues politiques, des personnages influents et des moments historiques clés de cette période mouvementée de l'histoire française.Ces souvenirs sont souvent utilisés comme une source précieuse pour comprendre la vie à cette époque et les personnalités qui l'ont marquée, offrant un point de vue intime et personnel sur les événements politiques et sociaux de la France du début du XIXe siècle.
Je ne puis voir ces enfans, qui avec une pipe & du savon battu dans de l¿eau, s¿amusent à faire ces belles vessies colorées, que le souffle dilate si prodigieusement, sans les comparer à la nature. Il me semble qüelle prend comme eux, sans y songer, les moyens les plus simples pour opérer. Il est vrai qüelle ne se met pas plus en dépense, pour donner à la terre un prince qui doit la faire trembler, que pour faire éclore l¿herbe qüon foule aux pieds. Un peu de boue, une goutte de morve, forme l¿homme & l¿insecte ; & la plus petite portion de mouvement a suffi pour faire jouer la machine du monde.
«Madame Récamier contracta, avec une femme bien autrement illustre que M. de Laharpe n'était célèbre, une amitié qui devint chaque jour plus intime et qui dure encore. «M. Necker, ayant été rayé de la liste des émigrés, chargea madame de Staël, sa fille, de vendre une maison qu'il avait à Paris. Madame Récamier l'acheta, et ce fut une occasion pour elle de voir madame de Staël. «La vue de cette femme célèbre la remplit d'abord d'une excessive timidité. La figure de madame de Staël a été fort discutée. Mais un superbe regard, un sourire doux, uneexpression habituelle de bienveillance, l'absence de toute affectation minutieuse et de toute réserve gênante; des mots flatteurs, des louanges un peu directes, mais qui semblent échapper à l'enthousiasme, une variété inépuisable de conversation, étonnent, attirent et lui concilient presque tous ceux qui l'approchent. Je ne connais aucune femme et même aucun homme qui soit plus convaincu de son immense supériorité sur tout le monde, et qui fasse moins peser cette conviction sur les autres.
"Sur l'Eau" est un roman de Guy de Maupassant publié en 1888. Ce récit s'articule autour de la vie des mariniers sur la Seine, offrant une plongée dans la vie fluviale et les interactions sociales au fil de l'eau.L'histoire suit la vie de différents personnages liés à la navigation fluviale, dévoilant leurs aventures, leurs conflits et leurs aspirations. Maupassant explore les réalités de la vie sur les péniches, les joies et les difficultés de ceux qui travaillent sur l'eau, ainsi que les contrastes entre la tranquillité des paysages fluviaux et les tourments humains."Sur l'Eau" témoigne du talent de Maupassant pour dépeindre la vie quotidienne, mettant en lumière les destins croisés de ces personnages naviguant sur la Seine. L'¿uvre offre également une réflexion sur les conditions sociales et le mode de vie des gens travaillant sur les bateaux fluviaux à cette époque.
Si jamais magister ressembla au personnage qu'on a coutume de peindre quand on veut représenter le chef de quelque pauvre petite école de campagne, ce fut sans contredit ce vieux M. Bidard, qui le premier eut la patience de me faire apprendre et réciter: «J'aime, tu aimes, il aime...¿deux fois deux quatre, trois fois trois neuf,» et qui le premier perdit son temps et sa peine à inaugurer chaque page neuve de mes cahiers par un bel exemple de coulée ou d'anglaise, que je prétendais avoir recopié quand j'avais outrageusement chamarré de traits diffus et informes le reste de la feuille.
Où vas-tu donc, cher petit livre, Si frais, si neuf, si pomponné? Pourquoi cette fièvre de vivre? ¿ Je vais rejoindre mon aîné. Mais demander à chaque porte Le pain de l¿hospitalité,Oh! sais-tu que c¿est dur? ¿ Qüimporte!Si l¿on me place à son côté.Ne crains-tu point l¿indifférence,Du barde l¿ordinaire écueil?¿ Grâce à l¿aîné, j¿ai l¿espéranceDe recevoir un bon accueil. Pourtant je crains que ton coeur saigne; Que tu me reviennes confus... ¿ En m¿adressant à bonne enseigneJ¿éviterai bien des refus,Car mon aîné, leçon de choses, M¿a dit, pour m¿épargner l¿affront,Les portes qui resteront closes Et celles-là qui s'ouvriront. Qüon me rebute ou qüon m¿acclame,Tout bas, je bénirai mon sort, Pourvu qüun noble coeur de femmeEn me lisant batte plus fort.
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