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"Il n¿était pas dans mes idées de publier un livre et je ne m¿y serais jamais décidé sans la bienveillante insistance d¿un grand nombre des auditeurs qui m¿ont fait l'¿honneur de suivre mon cours. Ils ont désiré ler résumé de mes leçons ; le leur refuser plus longtemps eût été de ma part de l¿ingratitude. Le livre que je soumets aujourd¿hui au jugement des horticulteurs n¿est donc sauf quelques additions que l¿exposé des faits qui ont été le sujet de nos conférences publiques... "
Sex wird Thema Numero Uno auf einer bunten italienischen Insel, nachdem Alberto eine spektakuläre Liebesnacht mit der Schauspielerin Aurelia nachgesagt wird. Aurelia soll dabei unzählige Male lautstark gekommen sein. Dabei ist an diesem Gerücht nichts dran. Schade für Alberto. Dennoch beginnen die Inselbewohnerinnen, den vorher so unscheinbaren Alberto mit ganz anderen Augen zu sehen...Mit unterhaltsamer Leichtigkeit nimmt die humorvolle und clevere Gesellschaftssatire die vorherrschenden Geschlechterrollen und Klischees unserer übersexualisierten Gesellschaft aufs Korn und thematisiert nebenbei die Macht der vorschnellen Meinung und Gerüchte. Natürlich auf zugespitzte, absurde und frivole Art und Weise. (S)explizite Inhalte hat diese frivole Satire jedoch nicht zu bieten. Auch wenn es immer nur um das eine geht...
"Les Goncourt furent "un grand e¿crivain". Ils en eurent tous les caracte¿res : l¿originalite¿, la fe¿condite¿, et la diversite¿. L¿originalite¿ est le don premier, myste¿rieux et formidable ; sans lui, toutes les autres qualite¿s de l¿e¿crivain sont ste¿riles, nuisibles, et me¿me un peu ridicules, le jour oü l¿homme de lettres laborieux et intelligent, mais pas davantage, fier de multiples aptitudes, se veut dresse¿ en statue sur un pie¿destal de tomes. Plus digne de gloire est le ge¿nie intermittent ou soudain qui se manifeste par de capricieux e¿clairs ou par la lueur inattendue d¿un rayon seul et qüon ne reverra pas. Les Goncourt appartiennent ä la caste des ge¿nies continus et sans de¿faillance ; s¿ils ne doivent pas e¿tre nombre¿s parmi les demi-dieux, ils le seront parmi les he¿ros qui accumule¿rent un total de belles actions e¿gal ä une ¿uvre unique et grandiose. Chacun des livres des Goncourt fut une de ces belles actions, chacune d¿une beaute¿ diffe¿rente et neuve. Historiens, appliquant aux e¿ve¿nements d¿hier la me¿thode documentaire d¿Augustin Thierry, ils restitue¿rent, en place d¿une vision de parade, un XVIIIe sie¿cle vivant et since¿re, rajeuni par la typique anecdote, e¿claire¿ par le sourire des femmes, explique¿ par le costume, par le billet, par l¿estampe, par le cri de la rue, par l¿e¿pigramme, par le mot. Cette sorte d¿histoire n¿est pas toute l¿histoire, mais c¿est peut-e¿tre la seule qui puisse inte¿resser de¿sormais des esprits devenus sceptiques par trop de lectures et plus curieux de comprendre les diffe¿rences que de ramener ä l¿unite¿ la diversite¿ des e¿ve¿nements. Si l¿on ne retient de l¿histoire que les faits les plus ge¿ne¿raux, ceux qui se pre¿tent aux paralle¿les et aux the¿ories, il suffit, comme disait Schopenhauer, de confe¿rer avec He¿rodote le journal du matin : tout l¿interme¿diaire, re¿pe¿tition e¿vidente et fatale des faits les plus lointains et des faits les plus re¿cents, devient inutile et fastidieux ; Bossuet le rejette. Ce fut la premie¿re originalite¿ des Goncourt de cre¿er de l¿histoire avec les de¿tritus me¿mes de l¿histoire."
" Biographie de Blaise Cendrars. "La vie et l'¿uvre de Cendrars sont si e¿troitement lie¿es, que la moindre e¿tude sur ses poe¿mes, sur ses romans et ses chroniques qui en re¿sument le contenu spirituel, en me¿me temps qu'elles constituent un genre litte¿raire absolument nouveau, est tenue de se reporter ä sa biographie. Sans les e¿claircissements que celle-ci nous apporte, bon nombre de pages risqueraient de demeurer lettre morte, ou tout au moins, de nous parai¿tre les fruits d'une imagination excessive, alors qu'elles ne sont le plus souvent que des souvenirs ä peine romance¿s. Il serait vain, sans se re¿fe¿rer ä elle, de vouloir rechercher tous les e¿le¿ments he¿te¿roge¿nes et encore mal isole¿s par les critiques, dont se compose cette masse poe¿tique e¿tincelante. L'histoire de cette ¿uvre est donc en me¿me temps celle de la vie multiforme, ardente et de¿sordonne¿e en apparence seulement, de ce poe¿te dont l'¿uvre grandit ä mesure qu'il recule dans le temps. Quant ä l'histoire de sa vie, elle tient tout entie¿re dans ses livres. Mais elle ne s'y pre¿sente pas sous la forme de ces confessions qui permettent ä certains e¿crivains de refaire tant de pathe¿tiques itine¿raires ä notre usage. Si les moindres e¿pisodes de sa biographie nous ont e¿te¿ conserve¿s par une prodigieuse me¿moire qui se souvient, apre¿s un demi-sie¿cle, de la couleur du ciel d'Alexandrie ou de Naples, ou¿ il passa ses premie¿res anne¿es, et de la perle baroque du soleil dans la brume plombagine, derrie¿re les facades ve¿nitiennes, c'est au hasard de son ¿uvre qu'ils sont re¿partis, pe¿le-me¿le dans cette ine¿puisable re¿serve d'anecdotes, d'histoires incroyables dont un grand nombre attendent encore d'e¿tre raconte¿es ä leur tour. Blaise Cendrars annonce tant de livres que les renseignements qu'il nous donne sur sa propre vie dans les premiers, nous parai¿tront biento¿t rudimentaires." ¿ Louis Parrot."
Le Sentiment du Beau et le Sentiment Poétique" est un ouvrage qui explore les concepts du sentiment de la beauté et du sentiment poétique, cherchant à comprendre la nature de ces expériences esthétiques.L'ouvrage aborde des questions philosophiques sur la perception de la beauté, les émotions liées à cette perception, et la manière dont la poésie peut être une expression artistique de ces sentiments. Les thèmes de l'esthétique et de la poésie sont souvent explorés de manière philosophique pour comprendre la nature de l'expérience artistique.
Ce livre est une étude approfondie sur les forêts et leur impact sur le climat. Becquerel y examine comment les forêts peuvent avoir un effet positif sur le climat en régulant la température et en réduisant l'érosion du sol. Il explore également les conséquences négatives de la déforestation, telles que l'augmentation de la température, la diminution des précipitations et l'augmentation de l'érosion. Le livre est une source importante pour les scientifiques et les écologistes intéressés par l'impact des forêts.
" Frappé de la médiocrité littéraire d¿ un trop grand nombre de recueils poétiques mis entre les mains des enfants, nous avions exprimé, il y a quelques années¿ le souhait de voir composer à , leur usage une anthologie qui comprendrait des poésies vraiment belles, accessibles à de jeunes esprits. Notre v¿u n¿ ayant pas été exaucé, nous avons taché de le réaliser nous même, avec la collaboration d'une jeune mère déjà soucieuse de l'éducation future de son fils."
Maison rustique du xixe siècle est le nom d'une série de cinq tomes d'une encyclopédie, rédigée au début du xixe siècle, vouée à l'agriculture et à la sylviculture, à la vie à la ferme. Ses auteurs veulent produire à la fois un traité exhaustif de l'agriculture au xixe siècle et une « encyclopédie pratique ». L'encyclopédie rencontre rapidement un succès national, et même européen.
La fille du Maréchal de Saxe, Aurore, déjà veuve du Comte de Horn, épousa en seconde noce Claude Dupin de Francueil, Fermier Général de la province du Berry et d¿Albret emprisonnée comme noble que grâce au 9 Thermidor. y ayant vécu avec son mari pendant quelque temps, au Château Raoul sa résidence. Elle cherchait à retrouver le calme et le repos dans la solitude, avec son fils Maurice Dupin qui rêvait de s¿ engager dans la carrière militaire comme son grand-père le Maréchal ,Toujours victorieux, Mme Dupin de Francueil acheta donc, au c¿ur du Chateauroux. Elle connaissait le Berry, Berry, le bon domaine de Nohant dont la construction féodale remontait à 1393 ; mais ce château passant par différents propriétaires au cours des siècles, fut définitivement reconstruit sous Louis VI et fut acheté au dernier possesseur, le Seigneur Pearron de Serennes, par Mme Dupin de Francueil.
Marie Louise Vincent est une écrivaine et biographe française qui a consacré plusieurs ouvrages à des personnalités littéraires, dont George Sand.Dans "George Sand et l'amour", Marie Louise Vincent explore la vie amoureuse de George Sand, l'une des figures littéraires les plus importantes du XIXe siècle en France. L'ouvrage examine ses relations, ses passions et son approche de l'amour dans le contexte de son époque.
"Il est dans la destinée de la plupart des auteurs fussent- ils , les plus illustres, de voir, presque toujours après leur mort, souvent même de leur vivant, au déclin de leur existence ainsi attristée, leur gloire littéraire peu à peu s¿obscurcir, et, sous un souffle nouveau, sembler tout à fait disparaître. La rafale n¿est que passagère. Sous la néfaste influence du naturalisme, de Zola et de sa triste école, ses ¿uvres sont restées un instant, sinon méconnues, du moins dédaignées des nouvelles générations. Mais une réaction incontestable s¿est déjà produite, qui les ramène, « dégoutées de la littérature brutelle que se l¿était faite l¿ auteur de Léliasuelo, du Marquis de Villem er, et qui, Doumie peut se résumer dans ces quelques mots charmer, émouvoir, consoler !Pour ces seules raisons, l¿¿uvre de George Sand sera immortelle"
"Aimée Pallière, Bergson et le Judaïsme" est un ouvrage écrit par Aimée Pallière, une écrivaine et mystique française du XXe siècle. Aimée Pallière était également la belle-s¿ur du philosophe Henri Bergson.Dans cet ouvrage, Aimée Pallière explore la relation entre Bergson, un important philosophe français, et sa propre compréhension du judaïsme. Elle examine comment les idées philosophiques de Bergson interagissent avec ses racines juives et comment cela influence sa pensée.
"Exposé élémentaire de la théorie d'Einstein" par Jean Becquerel est un ouvrage scientifique destiné à présenter les principes fondamentaux de la théorie de la relativité d'Albert Einstein à un public plus large. Ce livre est particulièrement important car il vise à rendre accessible une théorie scientifique complexe et révolutionnaire qui a radicalement changé notre compréhension de l'univers.Jean Becquerel, un éminent physicien français, était bien placé pour entreprendre cette tâche. Dans ce livre, il explique probablement les deux principaux aspects de la théorie de la relativité : la relativité restreinte, qui concerne principalement la physique des objets se déplaçant à des vitesses proches de celle de la lumière, et la relativité générale, qui étend ces idées à la gravitation et offre une nouvelle compréhension de la gravité en tant que propriété de l'espace-temps courbé.L'approche pédagogique de Becquerel dans l'explication de concepts tels que la dilatation du temps, la contraction de l'espace et l'équivalence masse-énergie (E=mc²) a sans doute aidé à démystifier ces sujets pour les étudiants, les enseignants et les lecteurs curieux de sciences.Ce livre est important non seulement pour son contenu mais aussi pour son rôle dans la diffusion des idées d'Einstein, contribuant ainsi à une meilleure compréhension et acceptation de la théorie de la relativité dans la communauté scientifique et parmi le public."Exposé élémentaire de la théorie d'Einstein" de Jean Becquerel est donc une lecture précieuse pour quiconque s'intéresse à la physique et souhaite comprendre les fondements de l'une des théories les plus importantes du 20e siècle.
"Bien que nous ayons l¿habitude de ne pas négliger la préface des ouvrages que nous lisons, nous comprenons difficilement celui qui se hisse a la fenêtre sans aller, par la porte, faire connaissance avec le maître du logis, nous aurions volontiers sacrifié cette courte introduction en nous retranchant derrière ce dicton menteur et vieilli, lequel prétend que les préfaces ne se lisent guère.Ma is nous ne pouvons nous dispenser de jeter un Coup d¿¿il sur l¿état actuel de la culture maraîchère dans notre pays, et il nous faut aussi exposer en peu de mots les modifications apportées aux précédentes éditions de ce traité".
WHAT MAKES A HERO STRONG? THE VILLAIN. Aaron Annwyn is determined to destroy the Secret Society that has ruled his life for the past few years. The demands placed upon him have harmed his relationships and strained his psyche. Can Diana, his co-conspirator until now, be trusted? Or should he depend on Sasha, a beautiful computer guru, with whom he begins a relationship? Regardless, his resolve is now greater than ever to defeat the powerful adversary, starting with his handler Jake. To be close enough to accomplish this, he accepts another mission that takes him to medieval Venice with a seemingly impossible task. Will he succeed and survive long enough for justice to prevail?
« Les fêtes récentes du Centenaire de George Sand, les publications de toute sorte auxquelles la vie de l¿illustre écrivain a donné lieu durant ces dix ou douze dernières années , semblent avoir laissé peu de chose à découvrir sur sa personne et sur son caractère. Les divers aspects de cette grande figure sont aujourd¿hui connus, les traits principaux fixés, ainsi qüun certain nombre de traits secondaires. On connaît la jeune épouse de Casimir Dudevant , au génie encore endormi et vague ; on connaît l¿amoureuse platonique d¿Aurélien de Sèze , déjà attentive à l¿appel de la vocation ; on a étudié maintes fois la révoltée romantique, Lélia, et, hier encore, on confessait définitivement, ¿ selon toute apparence, ¿ la douloureuse amante de Musset ; on n¿a jamais ignoré la mère de Maurice ; l¿amie nous est révélée par la correspondance de Flaubert et par vingt autres ; la grand¿mère enfin, et la « bonne dame de Nohant, » sont entrées de plain-pied dans l¿histoire, j¿allais presque dire dans la légende. Des ombres et des rayons qui composent cette vie, les unes sont aujourd¿hui éclaircies, les autres consacrés...»
" J¿ai dit, peut-être même répété, que les peuples attendaient la naissance d¿un organisme nouveau. Où est-il donc, et quel est-il ? Il convient d¿ouvrir ici une large parenthèse. Un phénomène imprévu a fait chanceler le monde, et ceux mêmes qui le dénoncent n¿en soupçonnent pas la portée. C¿est pourquoi ils se désespèrent et maudissent les organes encore mal harmonisés du corps social en formation dont nous prenons péniblement conscience. Le « retour à l¿esprit », avec la variante élégiaque du « retour à la nature », reconnaît tantôt pour cause et tantôt pour conséquence la levée de boucliers à peu près unanime dont la machine est l¿objet. Tous s¿en mêlent, sociologues et philosophes, poètes et romanciers, dramaturges et même cinéastes, Dieu me pardonne. Douglas Fairbanks vit tout nu sur un atoll du Pacifique, dans un bois de cocotiers. Mais c¿est par le truchement de la machine à enregistrer les images qüil nous conte son aventure. Et ce qüil y a de plus curieux, c¿est qüaussitôt qüil doit pourvoir à ses besoins, il construit des machines élémentaires avec des lianes, des épines, des calebasses, des pinces de crabe et des fibres de palmiers. Jusqüà un appareil de T.S.F., je vous le dis en vérité. Douglas Fairbanks, qui est un sympathique naïf, n¿a certainement pas songé à réhabiliter la machine par ces arguments ironiques. Mais Douglas Fairbanks baigne, comme nous baignons tous, dans un monde où la machine nous presse de partout à notre insu, et rythme nos gestes ¿ même et peut-être surtout ¿ réflexes, de plus en plus profondément."
"Les principes généraux d¿une science constituent sa philosophie. Lorsque cette science se transforme, sa philosophie se transforme également.L¿Histoire subit cette commune loi. La plupart des idées qui lui servaient de soutien s¿étant évanouies tour à tour, elle cherche à remplacer ses anciennes bases d¿interprétation.Réduite au simple exposé des faits dont le monde a été le théâtre, l¿Histoire semble un chaos d¿invraisemblances issues d¿imprévisibles hasards. Les événements les plus importants s¿y déroulent sans relation apparente. Des causes infiniment petites produisent des effets d¿une prodigieuse grandeur.Cette absence de relation visible entre l¿insignifiance des causes et l¿immensité des effets est l¿un des phénomènes les plus frappants de la vie des peuples. Au fond de l¿Arabie, un obscur chamelier se croyant en communication avec le ciel crée une religion issue de ses rêves et, en peu d¿années, sous l¿influence de la foi nouvelle, un grand empire est fondé. Quelques siècles plus tard, les paroles enflammées de nouveaux illuminés précipitent l¿Occident sur l¿Orient et la vie des peuples se trouve encore bouleversée. De nos jours, un infime état balkanique entre en conflit avec une puissante monarchie et l¿Europe se voit ravagée par la plus sanglante des guerres qüait enregistrées l¿Histoire."
"Fêtes et Chansons Anciennes de la Chine" est un ouvrage de Marcel Granet, un sinologue et ethnologue français, publié en 1945. Cet ouvrage se distingue par son exploration des aspects culturels et sociaux de la Chine ancienne à travers l'étude des fêtes et des chansons.Marcel Granet examine les célébrations rituelles et les festivités traditionnelles chinoises, mettant en lumière leur rôle dans la structuration de la vie sociale et religieuse. Il explore comment ces cérémonies festives reflètent les valeurs, les normes et la cosmologie chinoises, offrant ainsi un aperçu précieux de la mentalité de la société chinoise ancienne.En se penchant également sur les chansons anciennes, Granet propose une analyse des paroles, de la musique et des contextes sociaux de ces compositions. Il explore comment la musique et la poésie étaient intégrées dans les rituels, les fêtes et la vie quotidienne, contribuant ainsi à la compréhension de l'expression culturelle et artistique de la Chine antique.L'¿uvre de Granet, "Fêtes et Chansons Anciennes de la Chine", est reconnue pour sa contribution significative à l'ethnologie chinoise et à la compréhension profonde de la vie culturelle dans la Chine ancienne.
" Ce livre contient un nombre de pièces suffisant pour faire bien connaître le Folk-lore chinois moderne, c¿est-à-dire postérieur à la période k¿¿i-yuan 713-741 (empereur Huân-tsoung des T¿âng). J¿ai réserve le Folk-lore ancien et médiéval (9e siècle avant J.-C. au 7e siècle après J.-C.), pour un autre ouvrage, dans lequel j¿exposerai l¿évolution des idées chinoises.Le système contenu dans le Folk-lore moderne, est le résultat de l¿amalgame du Néo-bouddhisme d¿Amogha (719), avec le Néo-taoïsme de l¿empereur Tch¿nn-tsoung des Sóng (1013), le Néo-confucianisine de Tch¿u-hi (1200), et les superstitions des Ouïgours, Arabes, Tongouses, Mongols, Alains, et autres races, lesquelles conquirent la Chine pour un temps, ou dont les soldats mercenaires séjournèrent dans la capitale de la Chine, par milliers et par myriades, comme gardes de l¿empereur, du 8e au 14e siècle. Ajoutez ce que les marchands étrangers de toute nation, purent importer d¿idées, durant le même temps. La résultante finale du mélange de ces éléments hétérogènes, devenue stationnaire, forme la croyance populaire chinoise moderne."
" Je voudrais présenter, en les groupant sous quelques larges rubriques, des faits qui pourront renseigner sur la féodalité chinoise. Ces faits, peut-être offrent-ils un double intérêt. Ils pourront intéresser et par leur nature et par leur origine. Par son étendue, sa durée, sa masse, la civilisation chinoise est l¿une des plus puissantes créations de l¿humanité : nulle autre n¿est plus riche d¿expérience humaine. Elle est cependant infiniment moins connue du public que les civilisations méditerranéennes. Il est très légitime de vouloir attirer sur elle l¿attention et il serait très utile d¿y réussir. Utile, d¿abord, pour les spécialistes qui s¿en occupent. Si leur travail était contrôlé par un public plus vaste, peut-être seraient-ils plus nombreux au travail et travailleraient-ils plus efficacement. Davantage attirés par les questions qui présentent un large intérêt humain, ils se complairaient moins aux petits problèmes qüon débat entre initiés et qüil ne paraît point nécessaire de discuter en termes accessibles à tout homme cultivé. Pourtant, tout homme cultivé prend aujourd¿hui conscience de l¿étroitesse du monde circonscrit par les humanités classiques. Pourquoi la Chine lui resterait-elle étrangère si rien d¿humain ne doit lui rester étranger ? L¿homme ne se connaîtra que s¿il connaît toutes les manières d¿être de l¿homme. Il faut pour cela qüen se dépaysant, il se retrouve. Il faut qüil s¿observe à travers tous les climats et aussi à travers tous les temps."
" Je passe, dans mon milieu, pour haïr le théâtre. À ce propos on dénonce même, chez moi, un stigmate religieux, une protestation obscure de l¿atavisme confessionnel contre le goût trop répandu d¿un spectacle dit immoral. Peut-être y a-t-il un peu de ça. En tout cas, si je m¿interroge, je ne consens à voir dans cet aspect de ma « haine » pour le théâtre qüun point de départ lointain. Toutes nos opinions ont une origine sentimentale que nous tenons en général de l¿éducation directe, ou d¿une réaction contre elle, et à qui nous nous arrêtons si nous n¿apprenons pas à penser. Au contraire, l¿entraînement à la méditation nous conduit, un jour ou l¿autre, ou bien à modifier radicalement notre sentiment primitif, ou bien ¿ et le cas, il me semble, est de beaucoup le plus fréquent ¿ à chercher et à trouver, par l¿analyse, sa justification. C¿est un moyen de maintenir intact l¿orgueil intime qui constitue notre squelette spirituel et définit notre personne. C¿est ainsi que j¿ai pu parvenir à une explication pour moi très acceptable ¿ de ma « haine » pour le théâtre. Je ne l¿aime pas, il est vrai, au point de ne jamais manquer une pièce nouvelle et d¿y revenir sept fois. Je l¿aime à la façon dont j¿aime, si vous le voulez bien, la peinture, façon particulière, qui ne comporte pas pour moi l¿obligation de visiter tous les salons, toutes les expositions, d¿être de tous les vernissages, et d¿y avaler de la poussière et des sottises tous les soirs de quatre à six. Cela peut signifier, doit signifier que je n¿aime pas la peinture. Cependant j¿aime Véronèse, Rembrandt, Goya, Cézanne, quelques autres. Et si je pousse le mépris pour la littérature jusqüà ne pas songer à m¿abonner à l¿une de ces bibliothèques qui vous servent, à votre tour, tous les romans parus dans la semaine, j¿aime Montaigne, Pascal, Baudelaire, Stendhal. Ainsi, après vous avoir avoué que j¿ai effectivement la « haine » du théâtre, je vous confesserai que j¿aime Racine, que j¿adore Molière et Shakespeare, et qüil me semble que les tragiques grecs ont réalisé, à leur heure, quelque chose de bien grand."
" Dans "Histoire de l'art. L'esprit des formes: L'art antique", Élie Faure entreprend une exploration profonde et passionnée de l'art antique, cherchant à dévoiler les motivations sous-jacentes, les idées et les émotions qui ont façonné les formes artistiques de l'Antiquité. À travers une prose riche et évocatrice, Faure guide le lecteur à travers les époques et les civilisations anciennes, mettant en lumière les ¿uvres marquantes de la Grèce et de Rome, tout en exposant les évolutions stylistiques et philosophiques qui ont caractérisé cette période.L'auteur s'attache à capturer l'essence même de l'art antique, explorant les thèmes récurrents, les techniques distinctives et les influences culturelles qui ont donné naissance à des chefs-d'¿uvre immortels. De l'architecture majestueuse aux sculptures éloquentes, Faure offre une vision holistique de l'art antique, contextualisant chaque ¿uvre dans son époque tout en exprimant son propre engagement passionné envers la beauté et l'émotion que ces créations évoquent."
" Le premier devoir de l'homme sincère est de ne pas influer sur ses propres opinions, de laisser la réalité se refléter en lui comme en la chambre noire du photographe, et d'assister en spectateur aux batailles intérieures que se livrent les idées au fond de sa conscience. On ne doit pas intervenir dans ce travail spontané ; devant les modifications internes de notre rétine intellectuelle, nous devons rester passifs. Non que le résultat de l'évolution inconsciente nous soit indifférent et qu'il ne doive entraîner de graves conséquences ; mais nous n'avons pas le droit d'avoir un désir, quand la raison parle ; nous devons écouter, rien de plus ; prêts à nous laisser traîner pieds et poings liés où les meilleurs arguments nous entraînent. La production de la vérité est un phénomène objectif, étranger au moi, qui se passe en nous sans nous, une sorte de précipité chimique que nous devons nous contenter de regarder avec curiosité. De temps en temps, il est bon de s'arrêter, de se recueillir en quelque sorte, pour voir en quoi la façon dont on envisage le monde a pu se modifier, quelle marche, dans l'échelle de la probabilité à la certitude, ont pu suivre les propositions dont on a fait la base de sa vie."
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