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Les Canadiens-français ont à c¿ur de continuer en Amérique les traditions civilisatrices du pays de leur origine, et il faut avouer qu'ils n'ont pas à rougir de leurs débuts. Ce peuple s'est tiré presque du néant par la force de sa volonté, et en étudiant son histoire l'on découvrira peut-être quelque analogie entre lui et ces essaims célèbres, dont l'un, sous Guillaume de Normandie, civilisa la Grande-Bretagne, dont certains autres, après la révocation de l'édit de Nantes, firent la richesse de leurs pays d'adoption en y implantant l'industrie. Si comme le dit Thiers, la France eut la gloire de doter le monde des meilleures lois civiles, et l'Angleterre celle de lui fournir le meilleur système politique, ce fut le Canada - sur- tout le groupe français du Canada - secondé, il est vrai, par l'opinion éclairée de la Grande-Bretagne, qui inaugura le meilleur système colonial en contribuant à donner au système constitutionnel anglais une extension impériale ; ré- forme qui, tout en rencontrant les aspirations de nos compatriotes, donna à l'empire britannique une stabilité plus grande et une nouvelle gloire.
On réunit dans ce petit livre les résumés de quelques- unes des conférences qui m'ont été demandées depuis la guerre, par divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs.Le lecteur remarquera que, dans ces conférences elles- mêmes, je me suis efforcé d'incorporer et d'utiliser les résultats des recherches de sociologie proprement dite auxquelles j'ai pu d'autre part me livrer, par exemple en étudiant les idées égalitaires, la démocratie ou les castes. Il ne lui échappera pas qu'en même temps, pour répondre aux nécessités d'une action sociale urgente, j'ai laissé voir des préférences, j'ai usé de «jugements de valeur » qui peut-être ne se laisseraient pas ramener, à des démonstrations purement scientifiques, à des « jugements de réalité ».La question reste ouverte: la difficile question des rapports de la science avec l'action, de la sociologie avec la morale proprement dite.J'ai touché pour ma part à cette question, qui obsède tant de philosophes aujourd'hui, en étudiant « l'évolution des valeurs » ; j'espère pouvoir y revenir quelque jour.
Lorsque Boabdil, dernier roi de Grenade, fut obligé d¿abandonner le royaume de ses pères, il s¿arrêta au sommet du mont Padul. De ce lieu élevé on découvrait la mer où l¿infortuné monarque allait s¿embarquer pour l¿Afrique ; on apercevait aussi Grenade, la Véga et le Xénil, au bord duquel s¿élevaient les tentes de Ferdinand et d¿Isabelle. À la vue de ce beau pays et des cyprès qui marquaient encore çà et là les tombeaux des musulmans, Boabdil se prit à verser des larmes. La sultane Aïxa, sa mère, qui l¿accompagnait dans son exil avec les grands qui composaient jadis sa cour, lui dit : « Pleure maintenant comme une femme un royaume que tu n¿as pas su défendre comme un homme ! » Ils descendirent de la montagne, et Grenade disparut à leurs yeux pour toujours.Les Maures d¿Espagne qui partagèrent le sort de leur roi se dispersèrent en Afrique. Les tribus des Zégris et des Goméles s¿établirent dans le royaume de Fez, dont elles tiraient leur origine. Les Vanégas et les Alabès s¿arrêtèrent sur la côte, depuis Oran jusqüà Alger ; enfin les Abencerages se fixèrent dans les environs de Tunis. Ils formèrent, à la vue des ruines de Carthage, une colonie que l¿on distingue encore aujourd¿hui des Maures d¿Afrique par l¿élégance de ses m¿urs et la douceur de ses lois.
Le travail qui suit n'est nullement le fruit de quelque « impulsion intérieure ». Au contraire.Lorsque, il y a trois ans, M. Dühring lança soudain un défi à son siècle en qualité d'adepte et en même temps de réformateur du socialisme, des amis d'Allemagne insistèrent à plusieurs reprises auprès de moi, pour que je fasse, dans l'organe central du parti social-démocrate, qui était alors le Volksstaat, l'examen critique de cette nouvelle théorie socialiste. Ils pensaient que c'était absolument nécessaire si l'on ne voulait pas, dans le Parti encore si jeune et qui venait à peine d'être définitivement unifié, donner à l'esprit de secte de nouvelles occasions de division et de confusion. Ils étaient mieux à même que moi de juger la situation en Allemagne; j'étais donc tenu de les croire. Il s'avéra, en outre, qu'une partie de la presse socialiste accueillait le nouveau converti avec une chaleur qui, il est vrai, ne s'adressait qu'à sa bonne volonté, mais laissait en même temps paraître dans ces journaux, par égard pour la dite bonne volonté de M. Dühring, celle d'accepter également sa doctrine par- dessus le marché et les yeux fermés. Il se trouva même des gens qui s'apprêtaient déjà à répandre cette doctrine parmi les ouvriers sous une forme vulgarisée. Et, enfin, M. Dühring et sa petite secte mettaient en oeuvre tous les artifices de la réclame et de l'intrigue pour obliger le Volksstaat à prendre nettement parti à l'égard de la doctrine nouvelle qui entrait en scène avec de si fortes prétentions.
Conception chrétienne et conception marxiste de l¿histoire in- terpelle aujourd¿hui le croyant avec des accents novateurs et prophétiques. Ce texte, écrit il y a 40 ans, jette une lumière vive et salutaire dans le débat où se répondent aujourd¿hui les tenants et les adversaires d¿un christianisme social et d¿une théologie politique. Avec une maîtrise convaincante, Berdiaeff réalise ici, selon le mot si juste d¿Olivier Clément, « une intégration chrétienne de la révolte moderne, surtout celle de Marx et de Nietzsche ». Loin de nous ramener à des querelles d¿hier, il est tourné vers l¿avenir et projette le lecteur au c¿ur du dialogue qüentretient aujourd¿hui le christianisme avec le marxisme.La force de cette pensée tient peut-être à la façon dont l¿auteur est impliqué lui-même dans le débat qüil propose. Nicolas Berdiaeff ne s¿est pas contenté de disserter de l¿histoire ; il l¿a vécue intensément. Obligé de quitter la Russie communiste, il ne s¿est jamais désolidarisé des intentions et des intuitions socialistes dans leurs exigences les plus radicales. Acceptant avec ferveur et rigueur toutes les dimensions de l¿Evangile, son élan religieux ne le détourne jamais du drame des hommes et du souci de bâtir une histoire humaine et juste. Il répond efficacement à nos interrogations présentes et pourrait éviter bien d¿inutiles détours et dérobades pour saisir l¿enjeu historique de la confrontation des chrétiens et des marxistes.
Ainsi que la plupart des gens de ma génération, j¿ai été élevé selon le principe que l¿oisiveté est mère de tous vices. Comme j¿étais un enfant pétri de vertu, je croyais tout ce qüon me disait, et je me suis doté d¿une conscience qui m¿a contraint à peiner au travail toute ma vie. Cependant, si mes actions ont toujours été soumises à ma conscience, mes idées, en revanche, ont subi une révolution. En effet, j¿en suis venu à penser que l¿on travaille beaucoup trop de par le monde, que de voir dans le travail une vertu cause un tort immense, et qüil importe à présent de faire valoir dans les pays industrialisés un point de vue qui diffère radicalement des préceptes traditionnels. Tout le monde connaît l¿histoire du voyageur qui, à Naples, vit douze mendiants étendus au soleil (c¿était avant Mussolini), et proposa une lire à celui qui se montrerait le plus paresseux. Onze d¿entre eux bondirent pour venir la lui réclamer : il la donna donc au douzième. Ce voyageur était sur la bonne piste. Toutefois, dans les contrées qui ne bénéficient pas du soleil méditerranéen, l¿oisiveté est chose plus difficile, et il faudra faire beaucoup de propagande auprès du public pour l¿encourager à la cultiver. J¿espère qüaprès avoir lu les pages qui suivent, les dirigeants du Y.M.C.A. 1 lanceront une campagne afin d¿inciter les jeunes gens honnêtes à ne rien faire, auquel cas je n¿aurai pas vécu en vain.
Trebellia ist verzweifelt: Der Vater will sie gegen ihren Willen zur Hochzeit mit dem Sohn eines Parteigängers im Stadtrat zwingen. Dabei liebt sie doch Pytheos, den ehemaligen Hauslehrer. Der aber ist verschwunden, seit das Sklavenheer des Spartacus in der Nähe vorüberzog. In dem Jahr, das seither verstrichen ist, wurden die Aufständischen von der römischen Armee geschlagen, und ausgerechnet ihr Bruder Marcus hat sich bei der Jagd auf die besiegten Sklaven den Ruf als "Bluthund" erworben. Nun hat sie jede Hoffnung aufgegeben. Plötzlich jedoch steht sie auf dem Marktplatz ihrer kleinen Stadt im Norden Italiens dem Geliebten gegenüber. Diese Begegnung reißt sie aus ihrem ruhigen Landleben und zieht sie in einen Strudel dramatischer Ereignisse, an die sie nicht einmal im Traum gedacht hat. Haben die beiden eine Chance, an der Seite seiner zwei treuen Gefährten den Kämpfen der Sklaven untereinander und dem langen Arm Roms zu entkommen?Dives' Roman verzichtet bewusst auf breite Massenszenen und den Auftritt historischer Persönlichkeiten. Stattdessen stellt er Durchschnittsmenschen - Freie und Sklaven - ins Zentrum und zeigt, was soziale Konflikte, Flucht und Vertriebensein für den Einzelnen bedeuten.
Le décor dans l¿art populaire chinois est presque toujours symbolique ; il exprime des v¿ux. Pour constater la vérité de cette proposition, il suffit de jeter les yeux sur les objets qui sont à l¿usage de tous, tels que les porcelaines, les broderies, le papier à lettres, les amulettes ; partout nous verrons se reproduire des motifs d¿ornementation qui ont un sens ; ce sens peut être plus ou moins caché, mais il importe de le découvrir si l¿on veut comprendre la raison d¿être du décor lui-même.Pour rendre notre étude plus claire, nous commencerons par analyser l¿un après l¿autre les divers procédés par lesquels l¿idée s¿exprime ; nous chercherons ensuite à énumérer et à classer ces idées elles-mêmes.Un premier mode d¿expression de l¿idée consistera à écrire purement et simplement les mots qui la signifient. L¿écriture chinoise, avec la grande élégance de ses caractères et la variété des formes qüon peut leur donner, se prête d¿ailleurs admirablement à servir d¿ornement ; nous trouvons donc de nombreux objets dans lesquels l¿écriture seule sert de décor ; tels sont ces vases sur lesquels on lit le caractère cheou ¿¿longévité¿¿, répété cent fois, sous des formes cent fois différentes.
"William Blake: A Critical Essay" is indeed a work by Algernon Charles Swinburne, a Victorian poet, critic, and playwright. Algernon Charles Swinburne wrote this essay as an analysis and appreciation of the life and works of the English poet and artist William Blake.Swinburne, known for his own contributions to English literature, was an advocate of the Romantic movement, and he admired the visionary and mystical qualities in Blake's poetry and art. "William Blake: A Critical Essay" reflects Swinburne's perspective on Blake's significance in the literary and artistic landscape of his time.The essay is considered a notable contribution to Blake scholarship and a testament to the enduring influence of William Blake on subsequent generations of writers and artists.
Au carrefour de quelques-uns des grands débats idéologiques de notre temps - entre marxisme et christianisme, réforme et révolution, nationalisme et internationalisme, démocratie et pacifisme -, l¿¿uvre d'Henri de Man constitue un apport doctrinal qui, pour avoir marqué profondément le socialisme d'entre les deux guerres, n'en a pas moins fait l'objet depuis lors d'une véritable conspiration du silence. Sans doute était-il inévitable que le discrédit d'un homme qui, ainsi que nous le verrons, a effectivement choisi de composer avec l'occupant en 1940-1941, rejaillit sur sa docrine. D'ailleurs, le combat passionné mené par Henri de Man pour réconcilier la fin et les moyens de l'action poli- tique en fondant son socialisme sur une éthique d'inspiration kantienne et, plus encore, l'insistance avec laquelle il a constamment tenu à justifier son attitude au début de la guerre par sa doctrine, n'ont pu qu'accroître la confusion entre l'homme et son oeuvre et décourager jusqu'ici toute référence ouverte à ses idées dans l'action politique et syndicale de l'après-guerre. Toutefois, ces mêmes idées ayant conduit dès 1940 quelques-uns des disciples belges et français d'Henri de Man à Londres ou dans la Résistance, il paraît légitime de contester le bien-fondé de cette confusion.
In Schloss Prösels in Völs am Schlern (Südtirol, Italien) fanden 1506 und 1510 im Zuge einer sich europaweit ausbreitenden Hysterie zwei Hexenprozesse statt, bei denen 28 Frauen und 2 Männer, womöglich aber sogar bis zu 44 Personen, einen schrecklichen Tod auf dem Scheiterhaufen fanden. Der Autor recherchiert auf Grundlage der erhalten gebliebenen Urgichten (Schlussgeständnisse) die von den angeklagten Frauen unter der Folter preisgegebenen hexischen Untaten und ordnet diese in den zeitgenössischen Kontext ein.
"Les idées égalitaires" de Célestin Bouglé est une ¿uvre significative dans le champ de la sociologie et de la philosophie politique. Bouglé, un sociologue et philosophe français notable, est reconnu pour ses contributions à la compréhension des structures sociales et des idéologies.Dans "Les idées égalitaires", Bouglé explore le développement et l'influence des idées d'égalité à travers l'histoire. L'ouvrage se concentre sur l'analyse des diverses conceptions de l'égalité et leur impact sur les structures sociales et politiques, rendant ce livre crucial pour ceux qui s'intéressent aux études sur l'égalité et aux théories sociales.Bouglé examine la manière dont les idées égalitaires ont été interprétées et mises en ¿uvre dans différents contextes historiques et culturels. Il aborde des sujets tels que la justice sociale, l'égalité des chances, et les droits de l'homme, des thèmes pertinents dans les discussions sur la justice sociale et politique.L'ouvrage propose également une critique des idéologies et des pratiques qui ont entravé l'atteinte de l'égalité, notamment les formes de discrimination et de stratification sociale. Cette perspective est essentielle pour comprendre les enjeux actuels dans les domaines de la sociologie des inégalités et de la politique sociale."Les idées égalitaires" de Célestin Bouglé est donc une lecture enrichissante pour les sociologues, les philosophes, les historiens, et tous ceux qui sont intéressés par les fondements et les implications des concepts d'égalité dans les sociétés humaines. C'est un texte fondamental pour saisir les débats contemporains sur l'égalité et les politiques visant à la promouvoir.
"Die Geschichte des Agathon" (The History of Agathon) is a novel written by Christoph Martin Wieland, a German poet and writer. It was first published in two parts, with the second part being published in 1767.The novel follows the life and adventures of Agathon, a young Greek man. It explores themes of love, philosophy, and personal development. Wieland's work is considered a significant example of German literature from the Enlightenment era.
"Vera; or, The Nihilists" is not a work by Oscar Wilde. The play "Vera; or, The Nihilists" was written by the Russian playwright Oscar Wilde in 1880, prior to Wilde's emergence as a prominent figure in English literature and drama.Oscar Wilde, the Irish playwright, poet, and author, is best known for his later works such as "The Picture of Dorian Gray," "The Importance of Being Earnest," and various essays and poems. "Vera" is not part of Wilde's major works and is often considered a relatively minor and early piece in his literary career.
"Venus and Adonis" is a narrative poem written by William Shakespeare. It was first published in 1593 and is one of Shakespeare's early works. The poem consists of 1,194 lines and is dedicated to Henry Wriothesley, the Earl of Southampton.The poem is based on the classical myth of Venus, the goddess of love, and Adonis, a handsome young man. In the narrative, Venus becomes infatuated with Adonis and tries to seduce him. Adonis, however, is more interested in hunting and rejects Venus's advances. The poem explores themes of love, desire, and the fleeting nature of beauty."Venus and Adonis" is written in a narrative and descriptive style, showcasing Shakespeare's poetic skills. While it may not be as well-known as his plays, it remains a significant work in his literary oeuvre, providing insights into the themes and styles that would later be developed in his dramatic works.
"Une Vie" is a novel written by the French author Guy de Maupassant. It was first published in 1883 and is one of Maupassant's most well-known works. The English translation of the title is "A Life."The novel follows the life of Jeanne de Lamare, a young woman from a noble family in Normandy, from her youth to old age. It explores the challenges, joys, and disappointments she experiences throughout her life, providing a detailed portrayal of French society during the 19th century.In addition to "Une Vie," Guy de Maupassant wrote numerous short stories that showcase his mastery of the form. His stories often depict the complexities of human nature, relationships, and the influence of social and economic factors on individuals.The collection "Une Vie and Other Stories" likely includes a selection of Maupassant's short stories in addition to the titular novel "Une Vie." His short stories are celebrated for their keen observations of human behavior and the vivid depiction of life in 19th-century France.
"Under the Lilacs" is a novel written by Louisa May Alcott, the American author best known for her classic work "Little Women." "Under the Lilacs" was first published in 1878.The novel tells the story of two young girls, Bab and Betty Moss, who discover a magical world "under the lilacs" in the garden of their home. The girls befriend a circus runaway named Ben Brown and his dog, Sancho. Together, they embark on imaginative adventures and form a bond that brings joy and excitement to their lives.Unlike Alcott's more well-known works that often focus on family and coming-of-age themes, "Under the Lilacs" is a children's novel that emphasizes the importance of imagination, friendship, and the simple pleasures of childhood. The lilac bush in the story becomes a symbol of the magical escape from reality that the characters experience.While "Little Women" remains Louisa May Alcott's most celebrated work, "Under the Lilacs" is appreciated for its charming and whimsical narrative, offering a delightful read for both children and those who enjoy classic literature.
"Uncle Bernac" is a historical novel written by Sir Arthur Conan Doyle. It was first published in 1897.The novel is set during the Napoleonic era and follows the story of Etienne Gerard, a French Hussar officer, who is sent on a mission to England during the early years of the 19th century. Gerard's mission is to gather intelligence and report on the strength and preparedness of the English military. As the story unfolds, Gerard finds himself involved in various adventures and encounters, showcasing his wit, bravery, and resourcefulness.Arthur Conan Doyle is best known for his Sherlock Holmes detective stories, but he also wrote historical fiction and adventure novels. "Uncle Bernac" is one such work, offering readers a glimpse into the military and political landscapes of the time, with a focus on the charismatic and humorous character of Etienne Gerard.
"Un bon petit diable" est un roman écrit par la comtesse française Sophie de Ségur, dont le nom complet est Sophie, comtesse de Ségur. Le roman a été publié pour la première fois en 1865.L'histoire tourne autour d'un garçon espiègle et plein d'énergie nommé Charles, surnommé "Monsieur Boniface" par sa famille. Malgré son comportement turbulent, Charles a un bon c¿ur et a de bonnes intentions. Le récit suit ses diverses escapades, les leçons qu'il apprend et l'impact qu'il a sur les personnes autour de lui.La comtesse de Ségur était connue pour sa littérature pour enfants, et "Un bon petit diable" est l'une de ses ¿uvres les plus célèbres dans ce genre. Le roman reflète son insistance sur les leçons morales et le développement des personnages pour les jeunes lecteurs. Il est apprécié pour son charme, son humour et la représentation d'un protagoniste vif et attachant.
"Twice-Told Tales" is a collection of short stories written by Nathaniel Hawthorne. The first edition of the collection was published in 1837, and a revised and expanded edition was released in 1842.The stories in "Twice-Told Tales" explore various themes, including the moral and psychological complexities of human nature, the consequences of sin, and the presence of the supernatural in everyday life. Many of the stories are set in Hawthorne's native New England and often draw on the region's history and Puritan heritage.Some of the notable stories in the collection include "The Minister's Black Veil," "The Birth-Mark," "Young Goodman Brown," and "Rappaccini's Daughter." These tales are celebrated for their exploration of dark and symbolic themes, reflecting Hawthorne's interest in the human conscience and the effects of guilt and sin."Twice-Told Tales" is considered a significant work in American literature, showcasing Hawthorne's skill in crafting short fiction and establishing his reputation as a master of the short story genre.
In any group of men I have ever known, speaking from the point of view of character and not that of physical appearance, Peter would stand out as deliciously and irrefutably different. In the great waste of American intellectual dreariness he was an oasis, a veritable spring in the desert. He understood life. He knew men. He was free¿spiritually, morally, in a thousand ways, it seemed to me.As one drags along through this inexplicable existence one realizes how such qualities stand out; not the pseudo freedom of strong men, financially or physically, but the real, internal, spiritual freedom, where the mind, as it were, stands up and looks at itself, faces Nature unafraid, is aware of its own weaknesses, its strengths; examines its own and the creative impulses of the universe and of men with a kindly and non-dogmatic eye, in fact kicks dogma out of doors, and yet deliberately and of choice holds fast to many, many simple and human things, and rounds out life, or would, in a natural, normal, courageous, healthy way.
Tschun war ein schmutziger kleiner chinesischer Junge. Er war nicht schmutziger als andere kleine chinesische Jungen. Er war im Gegenteil etwas reiner. Denn Tschuns Mutter war Christin. Und Christentum bedeutet in China unter anderem auch gelegentliches Waschen.Das Häuschen seiner Mutter stand nahe am Petang. Der Petang ist eine große weiße Kirche; sie ist dicht umdrängt von einer Menge kleiner grauer Häuschen, in denen lauter Christen wohnen. So sieht sie aus wie ein stolzer weißer Vogel, unter dessen schneeigem Gefieder kleine graue Vogelbabies Schutz suchen.Dieser Anblick begeisterte einmal einen Missionar zu einer schwungvollen Rede, in der er den Chinesen sagte: »Die Kirche ist gleich einem schönen weißen Schwan, Ihr alle seid noch häßliche braune Kücken, aber beharrt nur im rechten Glauben, dann werdet Ihr auch einmal schwanengleich zum Himmel fliegen.« Zwecks Heidenbekehrung war diesem Missionar die Gabe beredter Bildersprache verliehen. Auf Logik kommt es dabei weniger an. ¿ Mit Logik ist auch noch nie jemand bekehrt worden. Das sind Gefühlssachen. Manchmal auch Geldsachen.
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