Gør som tusindvis af andre bogelskere
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.Du kan altid afmelde dig igen.
Künstliche Intelligenz ist zum vielschichtigen Gegenstand ethischer Debatten geworden. Ob Richtlinien fairer Digitalisierung und vertrauenswürdiger Algorithmen, Gestaltung nachhaltiger Geschäftsmodelle, informatische Grundbildung in Schulen oder Existenzfragen freiheitlich-demokratischer Gesellschaften ¿ KI-Ethik steht vor komplexen Herausforderungen. Grundsätzlicher Klärungsbedarf entsteht durch die verschiedenen Zugänge, Interessen und Begrifflichkeiten, die aufeinandertreffen. Vorliegendes essential präsentiert auf zugängliche Weise wissenschaftliches Überblickswissen zur KI-Ethik. Als praktische Orientierungshilfe im komplexen Terrain dient eine thematische Topographie, einschließlich zentraler Begriffe. Zusammenhänge zwischen Industrie 5.0, Regulierung, Post- und Transhumanismus, selbstfahrenden Autos, moralischen Maschinen, nachhaltiger Digitalisierung oder dem Anthropozän werden mit Blick auf KI-Ethik systematisch sichtbar gemacht.
Der vorliegende Band enthält eine Sammlung von Aufsätzen zum Thema Leihmutterschaft aus Blickrichtungen verschiedener Disziplinen, die allesamt jeweils an den aktuellen Forschungsstand anknüpfen. Das Buch wendet sich an Interessierte aller Fächer, die sich mit der kontrovers diskutierten Frage nach einer Liberalisierung von Leihmutterschaftsmodellen befassen und gibt dabei einen Einblick in die Grundlagen der Diskussion in den relevanten Fächern Philosophie, Psychologie, Soziologie, Rechtswissenschaft und Medizin.
Rapidly developing Artificial Intelligence (AI) systems hold tremendous potential to change various domains and exert considerable influence on societies and organizations alike. More than merely a technical discipline, AI requires interaction between various professions. Based on the results of fundamental literature and empirical research, this book addresses the management's awareness of the ethical and moral aspects of AI.It seeks to fill a literature gap and offer the management guidance on tackling Trustworthy AI Implementation (TAII) while also considering ethical dependencies within the company. The TAII Framework introduced here pursues a holistic approach to identifying systemic ethical relationships within the company ecosystem and considers corporate values, business models, and common goods aspects like the Sustainable Development Goals and the Universal Declaration of Human Rights. Further, it provides guidance on the implementation of AI ethics in organisations without requiring a deeper background in philosophy and considers the social impacts outside of the software and data engineering setting. Depending on the respective legal context or area of application, the TAII Framework can be adapted and used with a range of regulations and ethical principles.This book can serve as a case study or self-review for c-level managers and students who are interested in this field. It also offers valuable guidelines and perspectives for policymakers looking to pursue an ethical approach to AI.
What does it take to create innovative tech-savvy designs that are usable, appealing, and good for society? The contributions to this volume introduce contemporary research on the digitization and 'datafication' of products, exploring topics like user experience, artificial intelligence, and virtual environments in design. Coming from varied backgrounds in product design, interaction design, service design, game design, architecture, and graphic design, they emphasize that digital transformation is not just a technical process, but also a social and learning process that fundamentally changes the way we understand information.
Analyses the current wave of depression, or "desertion", that is causing more and more people to abandon hope and desire in a world where social, political and environment collapse seems inevitable.Depression is rife amongst young people the world over. But what if this isn’t depression as we know it, but instead a reaction to the chaos and collapse of a seemingly unchangeable and unliveable future?In Quit Everything, Franco Berardi argues that this “depression” is actually conscious or unconscious withdrawal of psychological energy and a dis-investment of desire that he defines instead as “desertion”. A desertion from political participation, from the daily grind of capitalism, from the brutal reality of climate collapse, and from a society which offers nothing but chaos and pain.Berardi analyses why this desertion is on the rise and why more people are quitting everything in our age of political impotence and the rise of the far-right, asking if we can find some political hope in desertion amongst the ruins of a world on the brink of collapse.
Aims to rethink Europe under the sign of openness and hospitality, starting from the Mediterranean--the sea that is so important for the history of the entire West--a sea of differences with a deep unitary root conceived as a paradigm for rethinking new and original forms of social and political coexistence.
" La publication des Grands Écrivains de la France marque une phase nouvelle dans l'histoire de la critique littéraire. Nos classiques sont devenus définitivement des anciens, et aux deux antiquités grecque et latine on doit aujourd'hui en ajouter une troisième, celle du XVIIe siècle. Il a fallu du temps pour arriver à cette conviction. Au commencement de ce siècle, on était séparé de Louis XIV à peine par une centaine d'années. Nous avons pu connaître des contemporains de l'abbé Morellet, qui lui-même avait pu connaître Fontenelle, contemporain de Racine et de Boileau. Par ces sortes de transitions, les âges se touchent pendant longtemps, on pense y être encore, et, de même que dans la vie on aime toujours à se croire le contemporain des jeunes gens longtemps après avoir passé l'âge de la jeunesse, de même les nations, qui n'aiment pas plus à vieillir que les individus, rajeunissent leurs écrivains pour se rajeunir elles-mêmes. Cependant une telle illusion finit par disparaître à son tour. La distance des âges augmente d'année en année, de jour en jour ; la différence des temps, des m¿urs, des idées, est bien plus grande encore. Voilà plus de deux cents ans que non-seulement le Cid et Cinna, mais les Provinciales, mais Andromaque et Iphigénie, mais les premières satires de Boileau, les fables de La Fontaine, en un mot la plupart des chefs-d'¿uvre du XVIIe siècle ont paru. Le grand siècle classique à cette période de son âge, en 1675, avait donné toute sa mesure..."
" Où en sommes-nous du débat engagé depuis une trentaine d'années sur l'objet et les méthodes de la psychologie ? Qu'est-il advenu de la célèbre définition donnée par Jouffroy dans sa préface de 1826 : La psychologie est la science des faits de conscience ? Y a-t-il encore aujourd'hui une science de l'observation intérieure, une science de l'homme qui se regarde penser, comme ferait quelqu'un qui se mettrait à la fenêtre pour se voir passer dans la rue ? Ou nous nous trompons fort, ou nous pouvons affirmer que cette définition de Jouffroy, malgré toutes les plaisanteries et toutes les objections auxquelles elle a été en butte, malgré les psychologies diverses qui se sont présentées pour prendre la place de la psychologie défunte, que cette définition, dis-je, malgré tout cela, est demeurée triomphante, inébranlable et inébranlée. Il n'est pas, je crois, aujourd'hui, un philosophe, ni même un physiologiste éclairé et compétent qui nie l'existence d'une science des faits de conscience, d'une psychologie subjective, fondées sur l'observation interne, les autres psychologies que l'on a découvertes depuis (expérimentale, comparée, physiologique, morbide, etc.),..."
Une loi importante sur la liberté de l'enseignement supérieur a été votée par la dernière assemblée. Le nouveau ministère a proposé d'abroger un des articles essentiels de cette loi, à savoir celui qui confie la collation des grades à des jurys mixtes, composés mi-partie de professeurs de l'état et de professeurs libres. Cette proposition a été présentée à la chambre des députés et votée à une grande majorité ; elle est actuellement ou va être très prochainement soumise aux délibérations du sénat. Il est donc opportun d'examiner cette question tandis qu'elle est encore pendante et qu'il peut y avoir quelque chance de persuader les esprits incertains. Le point en litige est de savoir si le droit de conférer des grades qui ouvrent l'accès de certaines carrières fait ou non partie de la liberté d'enseignement. Si ce droit est une conséquence légitime de la liberté, on a tort de vouloir le reprendre aux facultés nouvelles. Si c'est au contraire un droit de l'état, qui a été indûment livré à l'enseignement libre, le gouvernement est fondé à le réclamer, car il n'y a pas de prescription contre l'état. Toute la question est là...
Dans un travail précédent, nous avons étudié un groupe de penseurs chez lesquels l'idée spiritualiste raffinée, subtilisée, vaporisée, au point d'être quelquefois à peine l'ombre d'elle-même, ne paraît subsister qu'à titre de tendance morale et religieuse. Nous voudrions étudier aujourd'hui un autre groupe d'écrivains, plus réglés, plus soucieux de la clarté et de la précision, plus fidèles à la tradition, et qui toutefois ont cherché aussi à rajeunir et à élargir la doctrine spiritualiste, à en tirer non-seulement une philosophie de l'esprit, mais encore une philosophie de la nature. Ceux-ci relèvent de Leibniz, et leur principe est l'idée de force, que ce grand philosophe a introduite dans la philosophie et dans la science. Tout être est actif par essence. Ce qui n'agit pas n'existe pas, quod non agît, non existit. Or tout ce qui agit est force : tout est donc force ou composé de forces, et cela est vrai des corps comme des esprits. L'essence de la matière n'est pas l'étendue inerte, comme le croyait Descartes, c'est l'action, l'effort, l'énergie. De plus le corps est composé, et le composé suppose le simple. Les forces qui composent le corps sont donc des éléments simples, inétendus, des atomes incorporels. Ainsi l'univers est un vaste dynamisme, un savant système de forces individuelles, harmoniquement liées sous le gouvernement d'une force primordiale, dont l'activité absolue laisse subsister en dehors d'elle l'activité propre des créatures et les dirige sans les absorber...
" ...Les solutions chrétiennes des problèmes humains, ce sont les dogmes. M. Guizot ne prétend pas faire un traité de théologie : il n'exposera donc pas tous les dogmes chrétiens. Il reconnaît d'ailleurs qu'une part humaine s'est mêlée à l'élaboration de ceux-ci. Le christianisme a eu ses pharisiens et ses sadducéens. M. Guizot même nous donne à entendre que, si nous n'étions pas dans une période de crise, il pourrait bien, lui aussi, dire ce que dans la théologie chrétienne il ne défend pas, il n'accepte pas ; mais il ne convient à aucun chrétien de toucher aux parois extérieures du temple lorsque les fondements mêmes sont ébranlés. Il ne parlera donc que des dogmes essentiels, c'est-à-dire de ceux qui sont communs à tous les chrétiens. Ils sont au nombre de cinq, la création, la providence, le péché originel, l'incarnation, la rédemption..."
" ...si l'abandon de la pensée dans l'église catholique est un mal pour l'église elle-même, ce qui la regarde, nous croyons pouvoir dire en même temps que c'est aussi un mal pour l'esprit humain en général. L'église catholique, malgré ses tendances rétrogrades, est encore une trop grande chose dans le monde pour ne pas jouer même aujourd'hui un rôle important dans le domaine de la pensée si elle le voulait. Cette église représente sous sa forme la plus précise et la plus concrète le principe religieux ; or la religion prise dans son idée et indépendamment de toute forme est l'expression la plus élevée de la philosophie. Aristote, quand il a voulu donner un nom à la plus haute des sciences, l'a appelée théologie. Sans doute, c'est un inconvénient pour un penseur de partir de dogmes préconçus ; la liberté de l'invention philosophique est singulièrement limitée par là ; mais il y a, ou du moins il y avait autrefois en théologie bien plus de liberté qu'on ne se l'imagine, et bien des hardiesses métaphysiques sont sorties de la théologie. Sont-ce les métaphysiciens ou les théologiens qui ont poussé le plus loin la question du libre arbitre ? ..."
La révolution de 1789 a été, à n'en pas douter, une révolution sociale : a-t-elle été aussi une révolution socialiste ? Pour résoudre cette question, il faudrait s'entendre sur le sens du mot socialisme, et il faut avouer que, s'il est facile de réfuter le socialisme, il n'est pas aussi facile de le définir. On désigne généralement par là une doctrine qui porte atteinte au principe de la propriété individuelle. Cependant toute modification au régime de la propriété doit-elle par là même être appelée une mesure socialiste ? Nul doute qu'à toutes les époques de l'histoire on n'ait plus ou moins modifié le régime de la propriété ; les diverses lois successorales dans les différents pays en sont une preuve suffisante : toutes ces modifications seront-elles à la charge ou à l'honneur du socialisme ? Bien loin de le compromettre par là, on lui donnerait au contraire une généalogie et une tradition dont il n'a pas besoin. Il faut donc restreindre le socialisme, si on ne veut pas tout confondre, à la conception d'un ordre nouveau et purement chimérique de distribution des richesses, qui les mettrait à portée de tous par l'autorité de la loi...
" Il est une disposition qui tend à dominer dans les sciences, et dont le matérialisme contemporain ne manque pas de se prévaloir : c'est l'aversion non déguisée des savants pour les causes finales et pour tout ce qui y ressemble. Je ne m'explique pas bien, je l'avoue, cette aversion. En quoi donc l'hypothèse d'un plan et d'un dessein dans la nature (car c'est en cela que consiste la doctrine des causes finales) est-elle contraire à l'esprit scientifique ? Il faut distinguer soigneusement ici deux ordres d'idées : la méthode et le fond des choses. La méthode des causes finales peut être stérile et nuisible dans la science, sans qu'il en résulte pour cela qu'il n'y ait point de causes finales dans la réalité. Sans doute, si nous commençons par supposer que tel phénomène a un but et un certain but, nous pouvons être entraînés par là, pour mettre les choses d'accord avec ce but imaginaire, à supprimer des faits réels et à en introduire de chimériques : il ne faut donc point partir de cette idée préconçue, et que l'expérience pourrait démentir ; mais si c'est là une mauvaise méthode pour découvrir les faits (et cela même est-il vrai sans restriction ?)..."
" Je réunis dans ce volume deux articles qui ont paru dans la Revue des deux mondes au mois d'août et au mois de décembre derniers, en y ajoutant de nouveaux et importants développements. Avec ces développements, je crois pouvoir donner cet ouvrage comme une critique à peu près complète du livre de M. Büchner Matière et force, sorte de manuel matérialiste, qui a eu un grand succès en Allemagne, et qui, traduit récemment, paraît en avoir eu aussi un assez grand parmi nous. Le matérialisme, nous revenant de l'Allemagne, est certainement l'un des phénomènes les plus curieux du temps où nous vivons. Ce grand pays avait été jusqu'ici le domaine réservé du mysticisme et de l'idéalisme ; il n'avait connu l'athéisme que dans les soupers de Frédéric, dont les hôtes, pour la plupart, étaient Français. Cette philosophie grossière, que nous répandions alors en Europe, les Allemands nous la renvoient aujourd'hui. Ils sont las de passer pour des rêveurs sentimentaux, et ils veulent aussi, à leur tour, dire leur fait à l'âme, à Dieu, à tous les vieux préjugés..."
" Comme ce travail a paru à quelques personnes une utile introduction à la philosophie de Platon, j'ai cru devoir le réimprimer en essayant d'y apporter quelques améliorations. Mais pour lui donner un intérêt un peu plus présent, j'y ai ajouté une étude sur la dialectique de Hegel, afin qu'on put voir les analogies et les différences de ces deux philosophies et de ces deux méthodes, Hegel ayant souvent lui-même donné sa dialectique comme une application et un perfectionnement de celle de Platon.En publiant des études d'un caractère si abstrait et spéculatif, je sais que je vais contre la tendance du moment, qui paraît de moins en moins favorable à la métaphysique et à la philosophie pure. Et cependant je persiste à croire que ces recherches sont le plus haut et le plus digne objet des investigations humaines, et que leur abandon serait un grand signe d'abaissement intellectuel. C'est dans cette pensée et dans cette crainte que j'ai écrit récemment le morceau qui sert d'introduction à ce volume. Il m'a semblé qu'une défense de la philosophie et de la métaphysique ne serait pas mal placée ici, et protégerait en quelque sorte les études qui suivent."
"La philosophie de Platon a été relevée dans ces derniers temps du discrédit où le dix-huitième siècle l'avait fait tomber. De nombreux écrits, en France et en Allemagne, en ont éclairci plusieurs parties obscures et expliqué les plus fécondes vérités. Les travaux d'un écrivain illustre ont rendu populaires les Dialogues de Platon, et jeté une lumière éclatante sur l'esprit vrai de cette philosophie antique et sur quelques-uns de ses points essentiels. Depuis, de grandes études ont été entreprises sur les philosophies qui ont suivi Platon. Aristote et les Alexandrins ont à leur tour occupé les efforts d'une critique pénétrante ; et l'intelligence de la doctrine de Platon a dû gagner à l'étude de ce disciple si éminent et de ces continuateurs pleins de génie..."
" Un homme d'un esprit élevé et d'un caractère respectable, connu par un livre philosophique qui n'est pas sans originalité: le Système moral, M. Charles Lambert, mort récemment, a fondé un prix, accepté par l'Institut, sur ce sujet : l'avenir du spiritualisme. Si nous étions encore dans l'âge des concours, nous eussions aimé à être au nombre des concurrents. Nous nous sommes, en effet, bien souvent interrogé sur ce redoutable problème : nous nous sommes demandé quelles peuvent bien être encore, dans la société moderne divisée par tant de courants d'idées, les espérances des idées spiritualistes. S'il fallait en croire les apparences, ne seraient-ce pas plutôt les idées contraires qui sont de plus en plus envahissantes et menaçantes ? Voyez, dira-t-on, la science ; dans son développement progressif, ne donne-t-elle pas de plus en plus raison aux doctrines matérialistes? Les esprits les plus libres ne se portent-ils pas de ce côté ? Soit ; mais je n'ai pas besoin d'autres faits pour déjouer l'illusion dont on est dupe...
" Dans le plus beau peut-être de ses dialogues, Platon, après avoir mis dans la bouche de Socrate une admirable démonstration de l'âme et de la vie future, fait parler un adversaire qui demande à Socrate si l'âme ne serait pas semblable à l'harmonie d'une lyre, plus belle, plus grande, plus divine que la lyre elle-même, et qui cependant n'est rien en dehors de la lyre, se brise et s'évanouit avec elle. Ainsi pensent ceux pour qui l'âme n'est que la résultante des actions cérébrales ; mais on oublie qu'une lyre ne tire pas d'elle-même et par sa propre vertu les accents qui nous enchantent, - et que tout instrument suppose un musicien. Pour nous, l'âme est ce musicien, et le cerveau est l'instrument qu'elle fait vibrer. Je sais que Broussais s'est beaucoup moqué de cette hypothèse d'un petit musicien caché au fond d'un cerveau ; mais n'est-il pas plus étrange et plus plaisant de supposer un instrument qui tout seul et spontanément exécuterait, bien plus, composerait des symphonies magnifiques ? Sans prendre à la lettre cette hypothèse, qui n'est après tout qu'une comparaison, nous pouvons nous en servir comme d'un moyen commode de représenter les phénomènes observés..."
" Si cette proposition : Toute chose a une fin n'est qu'une généralisation empirique plus ou moins légitime, il est évident qu'elle ne peut servir de principe. Dès lors la question change de face. Ne sachant pas d'avance que toute chose a une fin, comment pouvons-nous savoir en particulier que telle chose est une fin ? À quel signe reconnaissons-nous que quelque chose est une fin ? S'il y a un principe des causes finales, ce n'est donc pas celui qui consiste à dire qu'il y a des fins, mais celui qui nous apprendrait à quoi se reconnaît une fin, et comment un but se distingue d'un résultat. Voilà le vrai problème. Affirmer un but, c'est affirmer une certaine espèce de cause: à quelles conditions sommes-nous autorisés à affirmer ce genre de cause plutôt qu'un autre ? C'est ce qu'il faut chercher. L'affirmation a priori de la finalité est un piège de la raison paresseuse (ignava ratio). Le problème est plus délicat, et exige de plus lentes recherches. Il sera l'objet de ce traité...."
This book gathers contributions from the fourth edition of the Conference on "e;Philosophy and Theory of Artificial Intelligence"e; (PT-AI), held on 27-28th of September 2021 at Chalmers University of Technology, in Gothenburg, Sweden. It covers topics at the interface between philosophy, cognitive science, ethics and computing. It discusses advanced theories fostering the understanding of human cognition, human autonomy, dignity and morality, and the development of corresponding artificial cognitive structures, analyzing important aspects of the relationship between humans and AI systems, including the ethics of AI. This book offers a thought-provoking snapshot of what is currently going on, and what are the main challenges, in the multidisciplinary field of the philosophy of artificial intelligence.
In seiner berühmten Logikvorlesung stellt Immanuel Kant die berühmten Leitfragen der Philosophie "Was kann ich wissen?", "Was soll ich tun?" und "Was darf ich hoffen?". Dem fügt er dann die Frage "Was ist der Mensch?" an und schreibt, all das, was in den ersten Fragen behandelt würde, könne man zur vierten zählen. Dieses Buch fragt demnach nach dem anthropologischen Subtext der drei ersten Fragen, also: Was erfahren wir über die vierte Frage, wenn Kant sich der Wissens-, Sollens- und Hoffensfrage zuwendet?
Ethics and human rights is a crucial topic that continues to be debated, which has now become the basis of several research papers and studies. Despite having a basic understanding of human rights, it is necessary to acknowledge different aspects and situations where human rights and ethics are directly or indirectly targeted. Whether it is national or international human rights standards or it is a concern about technology, politics, judicial system, and environment, human rights as well as ethics are topics that every individual needs to be educated about - so they are aware of their rights, other people's rights, and have an understanding of making decisions and taking actions that follow ethical values. Therefore, this book highlights the seriousness of human rights, the importance of ethical practices, and the concepts and theories upon which human rights and ethics are built.
Wem wird geglaubt und wem nicht? Wessen Wissen wird weitergegeben und wessen nicht? Wer hat eine Stimme und wer nicht? Theorien der epistemischen Ungerechtigkeit befassen sich mit dem breiten Feld der ungerechten oder unfairen Behandlung, die mit Fragen des Wissens, Verstehens und Kommunizierens zusammenhängen, wie z.B. die Möglichkeit, vom Wissen oder von kommunikativen Praktiken ausgeschlossen zu werden oder zum Schweigen gebracht zu werden, aber auch Kontexte, in denen die Bedeutungen mancher systematisch verzerrt oder falsch gehört und falsch dargestellt werden, in denen manchen misstraut wird oder es an epistemischer Handlungsfähigkeit mangelt. In diesem Buch wird eine Übersicht über die breite Debatte epistemischer Ungerechtigkeit, epistemischer Unterdrückung und epistemischer Gewalt gegeben, in dem unterschiedliche Theorien, die sich auf der Schnittstelle von Gerechtigkeitstheorie und epistemischen Fragen befinden, systematisch und kritisch diskutiert sowie theoretische Vorgänger dieser Theorien beleuchtet werden.
Can friendship as a political practice offer enough traction to imagine a borderless world? The startling contemporary rise in aggressive ethno-nationalism and end-times ecological crises have the same root: an inability to be together with humans as much as the natural world. Matt Hern and Am Johal suggest that porous renditions of being-together animated by friendship can spark a repoliticization of the political to surpass the foreclosures of the state, speak to a freedom of movement, and find renovated relationships with the more-than-human. This volume includes interviews with Jean-Luc Nancy, Leela Gandhi and Leanne Simpson.
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.