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"... Aussi viens-je de me vautrer, honni soit qui mal y pense, dans la nature jusqu'au cou, fermières, faneuses, moissonneuses, vendangeuses, femmes et filles m'ont fourni des terrains d'expériences, et j'ai trouvé là toutes les senteurs inhérentes à leur sexe, la véritable odor di femina . Si la première impression est un peu défavorable, on s'y fait vite, car on trouve dans ces bras robustes des étreintes vigoureuses, sur ces corps plantureux, à la chair ferme et dure un vrai coussin élastique, tandis que vous êtes voluptueusement et chaudement logé dans les charnières satinées, aux lèvres fraîches et vermeilles, que n'ont pas fanées des contacts compromettants, et dont les porteuses y vont de bon coeur et de bonne croupe, vous faisant sauter sur leur ventre, en prenant une bonne part à votre plaisir, surtout quand vous avez affaire à une femme mariée qui, n'ayant pas à redouter les suites, ayant dans son mari le pavillon qui endosse la marchandise, fait le meilleur accueil à votre offrande..."
"... Tout ce qu'on savait sur le comte et la comtesse de X., c'est qu'ils s'étaient séparés volontairement, après deux ans de mariage, rompant, d'un commun accord, une union mal assortie. Le comte, disait-on, vivait retiré au fond de l'Espagne, dans son château patrimonial; la comtesse, après avoir séjourné quelques mois dans l'Andalousie, sa patrie, avait fixé sa résidence à Paris, où elle vivait dans un petit hôtel de l'avenue de Messine, sous un nom d'emprunt, qui sonnait comme un défi au sexe fort, et comme une invite au beau sexe, à moins que le hasard ne fût le seul parrain, ce qui ne paraissait guère vraisemblable, et bien qu'on connut le véritable état-civil de la dame, on ne la désignait que sous le nom qu'elle prenait sur ses cartes: comtesse de Lesbos. Des bruits singuliers couraient dans le voisinage; on ne voyait jamais entrer un homme dans l'hôtel, tout le personnel était féminin; on prétendait même que le cocher, malgré les imposants favoris qui encadraient sa mâle figure, était un automédon femelle. Il en eût fallu moins pour exciter la curiosité, et pendant un mois, des reporters aux aguets, payèrent fort cher des renseignements très vagues..."
"... Quant aux femmes que l'on fouette, et qui sont généralement des filles de service, on éprouve un sentiment délicieux à les traiter en gamines. Avec ces délinquantes, pourvues d'ordinaire de somptueux appas résistants, la correction peut être sévère, s'exercer sur toute la surface et sur les charmes voisins, plus tendres et plus sensibles; on peut aussi avec ces délinquantes se livrer à des improvisations variées. Par exemple, si je suis d'avis qu'on doit respecter les chastes oreilles des jeunes filles dont on nous confie l'éducation, je pense qu'il ne faut guère se gêner avec les filles qui sont à notre service, et l'emploi des expressions les plus chaudes me semble propre à augmenter l'agrément de la fouetteuse et à l'exciter. En appelant les choses par leur nom, on peut tout dire et se soulager en même temps..."
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