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Même pour de la merde, la couleur, en papier, coûte très chère. Donc une déclinaison en noir et blanc est proposée. Pour les bibliothèques les moins fortunées ? Un livre dédié à la bibliothèque de Montcuq et à bien d'autres structures et parasites de la Culture. Exite avec des photos en couleur sous le titre "Un livre de merde, de Montcuq." La littérature, il la faut de Paris, de préférence soumise à un groupe chapeauté par une grande fortune, ou de province mais dans les baronnies régionales... à Montcuq, faîtes-nous rire ! Il faut donner "aux gens" ce qu'ils veulent ? Mettre le nez des bibliothécaires, journalistes, élus affectés à la culture, dans leurs dérives ? Ou alors, non ? Cacher également cette "provocation lotoise", et continuer à subventionner des groupes dont les exigences de rentabilité passent par le contrôle des faiseurs d'opinions et des subventionneurs ? Publier ce livre n'arrangera pas "tes affaires" ! Il vaut mieux se taire, fermer les yeux, et flatter, plaire aux installés qui nourrissent les artistes avec des miettes tout en se partageant le gros gâteau. Ecrire une ode à Aurélie F ? Ou à Malvy Martin, Amigues Gérard ? Dans la France de l'exception culturelle, il n'y a pas de place pour un écrivain indépendant ! Juridiquement acceptée, la profession libérale auteur-éditeur subit un système façonné par les éditeurs, pour les éditeurs "traditionnels" (du SNE, Syndicat National prétendu de l'Edition). La littérature, en fait... quasiment tout le monde s'en fout. Quant aux dernières lectrices, aux derniers lecteurs, il s'avère quasi impossible de leur montrer les oeuvres non lancées par l'oligarchie, "le roman de la Révolution numérique" par exemple... La "chaîne du livre", comme elle se nomme elle-même, vise à enchaîner l'ensemble de la filière. Lectrices et lecteurs doivent penser acheter par choix, même si les diverses marques appartiennent à des mastodontes tenus par des grandes fortunes de France... vénérables maisons où les chroniqueurs influents sont publiés... Tout s'achète ! Pourtant, dans toutes les bouches prétendues humaines, tolérantes, ouvertes, y'a le mot Culture. La Culture est sacrée, pour les femmes et les hommes "de gauche" ! Si si, à condition naturellement qu'elle permette aux notables de maintenir leur mainmise "politico-culturelle." Vive la Culture ! Vive les libraires, vive les éditeurs... Tout se vend, quand le produit arbore un label connu, quand il figure sur les tables... De Loana (chez Pauvert, filiale de la maison Fayard, du groupe Hachette de Lagardère, également éditeur du Marquis de Sade et Françoise Sagan) à Nabilla (Éditions Privé des éditions Michel Lafon, également éditeur de Martin Malvy) Tout se vend, quand les médias s'en mêlent. Même l'air de Montcuq, paraît-il ! Ainsi, comme tout homme étant mortel, Socrate étant un homme, Socrate fut mortel, "un livre de merde, de Montcuq" pourrait se vendre bien mieux que le "roman de la Révolution Numérique." Vive Montcuq, et vive la merde. On y est, d'ailleurs, dedans. Ce livre ne se limite pas à quelques photos locales montrant la diversité des déjections mais regroupe des analyses sur l'époque, principalement dans le domaine culturel (donc politique). Stéphane Ternoise http: //www.montcuq.net
Il faut donner "aux gens" ce qu'ils veulent ? Mettre le nez des bibliothécaires, journalistes, élus affectés à la culture, dans leurs dérives ? Ou alors, non ? Cacher également cette "provocation lotoise", et continuer à subventionner des groupes dont les exigences de rentabilité passent par le contrôle des faiseurs d'opinions et des subventionneurs ? Publier ce livre n'arrangera pas "tes affaires" ! Il vaut mieux se taire, fermer les yeux, et flatter, plaire aux installés qui nourrissent les artistes avec des miettes tout en se partageant le gros gâteau. Ecrire une ode à Aurélie F ? Ou à Malvy Martin, Amigues Gérard ? Dans la France de l'exception culturelle, il n'y a pas de place pour un écrivain indépendant ! Juridiquement acceptée, la profession libérale auteur-éditeur subit un système façonné par les éditeurs, pour les éditeurs "traditionnels" (du SNE, Syndicat National prétendu de l'Edition). La littérature, en fait... quasiment tout le monde s'en fout. Quant aux dernières lectrices, aux derniers lecteurs, il s'avère quasi impossible de leur montrer les oeuvres non lancées par l'oligarchie, "le roman de la Révolution numérique" par exemple... La "chaîne du livre", comme elle se nomme elle-même, vise à enchaîner l'ensemble de la filière. Lectrices et lecteurs doivent penser acheter par choix, même si les diverses marques appartiennent à des mastodontes tenus par des grandes fortunes de France... vénérables maisons où les chroniqueurs influents sont publiés... Tout s'achète ! Pourtant, dans toutes les bouches prétendues humaines, tolérantes, ouvertes, y'a le mot Culture. La Culture est sacrée, pour les femmes et les hommes "de gauche" ! Si si, à condition naturellement qu'elle permette aux notables de maintenir leur mainmise "politico-culturelle." Vive la Culture ! Vive les libraires, vive les éditeurs... Tout se vend, quand le produit arbore un label connu, quand il figure sur les tables... Tout se vend, quand les médias s'en mêlent. Même l'air de Montcuq, paraît-il ! Ainsi, comme tout homme étant mortel, Socrate étant un homme, Socrate fut mortel, "un livre de merde, de Montcuq" pourrait se vendre bien mieux que le "roman de la Révolution Numérique." Vive Montcuq, et vive la merde. On y est, d'ailleurs, dedans. Ce livre ne se limite pas à quelques photos locales montrant la diversité des déjections mais regroupe des analyses sur l'époque, principalement dans le domaine culturel (donc politique). Stéphane Ternoise http: //www.montcuq.net
Publié uniquement en numérique le 13 mars 2013, ce SOS resta invisible. Quelle grande démocratie que cette France où l'oligarchie contrôle l'opinion, laisse en marge, sans la moindre commission de censure, ce genre de document. Janvier 2014, édition revue et sortie en papier... Lectrices et lecteurs ignorent presque tout de la vie réelle des écrivains. Ils doivent se contenter de la communication officielle, où l'écrivain, même label engagé, évite d'aborder les sujets qui pourraient fâcher les éditeurs... Dans les salons du livre, en off, les auteurs se lâchent, parfois... Afin de vous permettre de comprendre comment un écrivain se retrouve à devoir quitter la France pour continuer d'écrire, je vous présente donc le monde de l'édition, avec le poids des politiques, le choc des Malvy, Filippetti, en passant par Gérard Miquel, François Hollande et leurs épigones, et un peu celui de la chanson, car avec plus de six cents textes à la sacem, dans un système ouvert mes droits pourraient dépasser les miettes que la vénérable société de Neuilly parvient le plus souvent (naturellement en toute légalité) à ne pas me verser !... http: //www.ecrivain.pro
25 000 points de vente du livre en France et pourtant rares sont les bouquins à atteindre les 20 000 exemplaires vendus ! Quels livres parviennent vraiment dans ces espaces ? Suffit-il d'en contrôler l'accès pour orienter l'acte libre d'achat des lectrices et lecteurs ? Vous n'aviez jamais réalisé que vous ne voyez pas certains livres chez votre libraire ? Et comme en même temps les médias n'en parlent pas, vous ne lui reprochez pas ! Des livres invisibles ! D'ailleurs les best-sellers dont télévisions, grands quotidiens et mensuels vous abreuvent de superlatifs, figurent sur les tables, dans les rayons de ces nobles lieux littéraires... Enquête iconoclaste (sûrement peu visible), dans la collection précisions... Un livre court mais précis, avec la volonté d'ouvrir un débat. Thomas de Terneuve http: //www.ecrivain.li
On peut encore l'envisager, la littérature... à condition de contribuer à la valorisation du patrimoine des grandes fortunes, Gallimard (plus Bernard Arnault), Lagardère (plus Qatar), Esménard, de La Martinière... Comportement correct exigé sourires et encensement de ces bienfaiteurs de la culture... ne pas aborder des sujets déplaisants... Qui parmi ces grandes âmes publierait Céline ? Comme l'a proclamé madame Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, en juin 2012: C'est l'éditeur qui fait la littérature. Entre les éditeurs et les 25 000 points de vente traditionnels, les malins ont su imposer leur maillon essentiel: la distribution, invisible aux béotiens, terriblement efficace (pour le cash et le contrôle des livres médiatisés). Barrière infranchissable pour l'écrivain libre. Le statut d'éditeur indépendant relève de l'usurpation de dénomination ou de la marginalité... Bref, il convient d'agrémenter le catalogue de pitreries, puisque même la bibliothèque de Montcuq (10 ans d'utilisation de l'argent public), celles de Cahors, Figeac... comme la Bibliothèque Départementale de Prêt du Lot, ignorent mes six romans, pièces de théâtre (certaines traduites en anglais, allemand, espagnol), essais... En 2014, aux municipales de Montcuq, au moins deux listes s'affronteront. J'ignore si le futur maire reprendra ce projet de vendre la merde municipale. Quand j'avais proposé un salon du livre, monsieur Daniel Maury (du PRG) avait "poliment décliné l'offre." Il est mort. Que de ressources en perspective, pour la municipalité lotoise comme pour l'éditeur reconverti ! Et nul doute que 80 % de ses 36 000 collègues relayeraient le projet. La France a de la merde, est dans la merde (pourtant elle tient encore !), il lui faut bien des idées merdiques, face à une oligarchie ayant confisqué l'indépendance. Ne pouvant vendre mes livres, j'accepte donc de proposer de la merde; c'est également à monsieur Gérard Amigues, adjoint attelé à la Culture du Lot, que je dédie ce document... Sans oublier monsieur Martin Malvy, président du Conseil Régional, et "sa" réponse sur ma profession libérale d'auteur-éditeur... Jack-Alain Léger (suicidé en 2013) a publié un livre au titre me revenant opportunément: "On en est là." Oui, on en est là, au pays de l'exception culturelle confisquée par l'industrie Kulturelle. Ce document reprend le contenu du succulent "Un livre de merde, de Montcuq." Tout en s'intéressant à la Merde d'Artiste de Piero Manzoni.
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