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Un livre de merde, de Montcuq, intérieur noir et blanc - Stephane Ternoise - Bog

Bag om Un livre de merde, de Montcuq, intérieur noir et blanc

Même pour de la merde, la couleur, en papier, coûte très chère. Donc une déclinaison en noir et blanc est proposée. Pour les bibliothèques les moins fortunées ? Un livre dédié à la bibliothèque de Montcuq et à bien d'autres structures et parasites de la Culture. Exite avec des photos en couleur sous le titre "Un livre de merde, de Montcuq." La littérature, il la faut de Paris, de préférence soumise à un groupe chapeauté par une grande fortune, ou de province mais dans les baronnies régionales... à Montcuq, faîtes-nous rire ! Il faut donner "aux gens" ce qu'ils veulent ? Mettre le nez des bibliothécaires, journalistes, élus affectés à la culture, dans leurs dérives ? Ou alors, non ? Cacher également cette "provocation lotoise", et continuer à subventionner des groupes dont les exigences de rentabilité passent par le contrôle des faiseurs d'opinions et des subventionneurs ? Publier ce livre n'arrangera pas "tes affaires" ! Il vaut mieux se taire, fermer les yeux, et flatter, plaire aux installés qui nourrissent les artistes avec des miettes tout en se partageant le gros gâteau. Ecrire une ode à Aurélie F ? Ou à Malvy Martin, Amigues Gérard ? Dans la France de l'exception culturelle, il n'y a pas de place pour un écrivain indépendant ! Juridiquement acceptée, la profession libérale auteur-éditeur subit un système façonné par les éditeurs, pour les éditeurs "traditionnels" (du SNE, Syndicat National prétendu de l'Edition). La littérature, en fait... quasiment tout le monde s'en fout. Quant aux dernières lectrices, aux derniers lecteurs, il s'avère quasi impossible de leur montrer les oeuvres non lancées par l'oligarchie, "le roman de la Révolution numérique" par exemple... La "chaîne du livre", comme elle se nomme elle-même, vise à enchaîner l'ensemble de la filière. Lectrices et lecteurs doivent penser acheter par choix, même si les diverses marques appartiennent à des mastodontes tenus par des grandes fortunes de France... vénérables maisons où les chroniqueurs influents sont publiés... Tout s'achète ! Pourtant, dans toutes les bouches prétendues humaines, tolérantes, ouvertes, y'a le mot Culture. La Culture est sacrée, pour les femmes et les hommes "de gauche" ! Si si, à condition naturellement qu'elle permette aux notables de maintenir leur mainmise "politico-culturelle." Vive la Culture ! Vive les libraires, vive les éditeurs... Tout se vend, quand le produit arbore un label connu, quand il figure sur les tables... De Loana (chez Pauvert, filiale de la maison Fayard, du groupe Hachette de Lagardère, également éditeur du Marquis de Sade et Françoise Sagan) à Nabilla (Éditions Privé des éditions Michel Lafon, également éditeur de Martin Malvy) Tout se vend, quand les médias s'en mêlent. Même l'air de Montcuq, paraît-il ! Ainsi, comme tout homme étant mortel, Socrate étant un homme, Socrate fut mortel, "un livre de merde, de Montcuq" pourrait se vendre bien mieux que le "roman de la Révolution Numérique." Vive Montcuq, et vive la merde. On y est, d'ailleurs, dedans. Ce livre ne se limite pas à quelques photos locales montrant la diversité des déjections mais regroupe des analyses sur l'époque, principalement dans le domaine culturel (donc politique). Stéphane Ternoise http: //www.montcuq.net

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  • Sprog:
  • Fransk
  • ISBN:
  • 9782365415088
  • Indbinding:
  • Paperback
  • Sideantal:
  • 118
  • Udgivet:
  • 25. januar 2014
  • Størrelse:
  • 152x229x6 mm.
  • Vægt:
  • 168 g.
  • 8-11 hverdage.
  • 2. december 2024
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Beskrivelse af Un livre de merde, de Montcuq, intérieur noir et blanc

Même pour de la merde, la couleur, en papier, coûte très chère. Donc une déclinaison en noir et blanc est proposée.
Pour les bibliothèques les moins fortunées ? Un livre dédié à la bibliothèque de Montcuq et à bien d'autres structures et parasites de la Culture. Exite avec des photos en couleur sous le titre "Un livre de merde, de Montcuq." La littérature, il la faut de Paris, de préférence soumise à un groupe chapeauté par une grande fortune, ou de province mais dans les baronnies régionales... à Montcuq, faîtes-nous rire ! Il faut donner "aux gens" ce qu'ils veulent ? Mettre le nez des bibliothécaires, journalistes, élus affectés à la culture, dans leurs dérives ? Ou alors, non ? Cacher également cette "provocation lotoise", et continuer à subventionner des groupes dont les exigences de rentabilité passent par le contrôle des faiseurs d'opinions et des subventionneurs ? Publier ce livre n'arrangera pas "tes affaires" ! Il vaut mieux se taire, fermer les yeux, et flatter, plaire aux installés qui nourrissent les artistes avec des miettes tout en se partageant le gros gâteau. Ecrire une ode à Aurélie F ? Ou à Malvy Martin, Amigues Gérard ? Dans la France de l'exception culturelle, il n'y a pas de place pour un écrivain indépendant ! Juridiquement acceptée, la profession libérale auteur-éditeur subit un système façonné par les éditeurs, pour les éditeurs "traditionnels" (du SNE, Syndicat National prétendu de l'Edition).
La littérature, en fait... quasiment tout le monde s'en fout.
Quant aux dernières lectrices, aux derniers lecteurs, il s'avère quasi impossible de leur montrer les oeuvres non lancées par l'oligarchie, "le roman de la Révolution numérique" par exemple... La "chaîne du livre", comme elle se nomme elle-même, vise à enchaîner l'ensemble de la filière. Lectrices et lecteurs doivent penser acheter par choix, même si les diverses marques appartiennent à des mastodontes tenus par des grandes fortunes de France... vénérables maisons où les chroniqueurs influents sont publiés... Tout s'achète ! Pourtant, dans toutes les bouches prétendues humaines, tolérantes, ouvertes, y'a le mot Culture.
La Culture est sacrée, pour les femmes et les hommes "de gauche" ! Si si, à condition naturellement qu'elle permette aux notables de maintenir leur mainmise "politico-culturelle." Vive la Culture !
Vive les libraires, vive les éditeurs... Tout se vend, quand le produit arbore un label connu, quand il figure sur les tables... De Loana (chez Pauvert, filiale de la maison Fayard, du groupe Hachette de Lagardère, également éditeur du Marquis de Sade et Françoise Sagan) à Nabilla (Éditions Privé des éditions Michel Lafon, également éditeur de Martin Malvy) Tout se vend, quand les médias s'en mêlent. Même l'air de Montcuq, paraît-il ! Ainsi, comme tout homme étant mortel, Socrate étant un homme, Socrate fut mortel, "un livre de merde, de Montcuq" pourrait se vendre bien mieux que le "roman de la Révolution Numérique." Vive Montcuq, et vive la merde. On y est, d'ailleurs, dedans. Ce livre ne se limite pas à quelques photos locales montrant la diversité des déjections mais regroupe des analyses sur l'époque, principalement dans le domaine culturel (donc politique). Stéphane Ternoise
http: //www.montcuq.net

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