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" On allait et venait dans le somptueux appartement de Mme de Langrune, et cette agitation exprimait la plus vive inquiétude. Qu'allait-il se passer ? Qu'allait-on devenir ? Comment se terminerait cette terrible journée ? C'était à la fin de la Commune de 1871, alors que l'armée de la France luttait contre ces phalanges égarées, qu'on appelait improprement Paris.Mme de Langrune aurait pu, comme tant d'autres, quitter tout d'abord le foyer de l'insurrection, et se réfugier dans une belle habitation qu'elle possédait à huit lieues de la capitale ; mais son mari étant obligé, par honneur, de veiller sur une caisse dont l'administration lui était confiée, elle avait choisi, elle aussi, de rester à son poste.On se battait dans Paris de tous côtés, et la lutte durait déjà depuis trois jours. La mère de famille, seule à la tête de sa maison, puisque M. de Langrune n'avait pu revenir chez lui, devait maintenant prendre elle-même le parti qui lui semblerait le plus sage ; elle était justement effrayée de cette responsabilité..."
"... Une soixantaine de pensionnaires sont réunies dans une grande salle ; on saute, on chante, on fait mille folies. La fête a commencé à sept heures du matin, et ce n'est pas fini. Les plaisirs ont été variés; la respectable Mme Lacroix, paisible reine de ce turbulent royaume, a paru, les mains pleines de jeux, les yeux pleins de promesses. Elle a prononcé un mot qui a fait explosion : Récréation sans cloche ! Cela veut dire qu'on retranche pour un jour tout ce qui rappelle la discipline, la méthode, la régularité, l'assujettissement. On a vu des petites filles, et même des grandes, faire un saut de deux pieds de haut, motivé par cette parole magique : Sans cloche ! La pensionnaire espiègle, il y en a beaucoup, se complaît dans les traditions ; elle sait que de tout temps la cloche étant inexorable, il faut la détester, elle la déteste..."
" Rien de plus joli que la demeure où s'écoulait l'enfance du petit Adalbert ; c'était la campagne de la Normandie avec ses haies, ses buissons, ses grands prés, ses champs dorés, tous ses parfums, toutes ses fleurs.Ces trésors, Adalbert les partageait avec les enfants du canton, car Dieu a mis pour tous du bonheur dans la plaine ; mais ce dont le petit garçon jouissait seulement avec ses frères et sa s¿ur, c'était une grande et belle maison dont les fenêtres donnaient sur une jolie pelouse, où l'on admirait deux corbeilles de roses, les plus délicieuses qu'on pût voir. Il y avait de tous côtés des arbres verts, des peupliers, des hêtres, des chênes, des ormes, entre lesquels couraient tantôt des allées capricieuses, tantôt de l'eau bien claire où se plaisaient de beaux poissons..."
"... Ces deux exclamations partent d'un wagon de première classe ; on regarde en riant un petit homme sec, vêtu d'une longue redingote brune usée jusqu'à la corde. Il court de toute la force de ses vieilles jambes, et se démène tant qu'il peut sous trois ou quatre paquets qui compliquent la situation. Le terrible coup de sifflet lui donne une secousse ; un paquet tombe, puis un autre. pendant qu'il se baisse pour les ramasser, le troisième paquet s'en mêle ; c'est à en perdre la tête ; il ne la perd pas, car il tient et serre étroitement dans sa main droite l'affreux sac de voyage qu'il promène depuis trente ans, dit-on, et dont il ne se séparerait pas, le monde croulant..."
" Avez-vous connu, lecteur, les embarras de la rue du Bac, la grande artère du faubourg Saint-Germain avant l'existence du boulevard ? Tous les jours d'hiver, à quatre heures, on eût dit que Boileau, par une vue prophétique, avait fait poser devant lui les charrettes, les voitures, les cavaliers et les piétons qui s'y disputaient le passage. Quand il pleuvait, les obstacles s'augmentaient de tous les parapluies, doublés de la mauvaise humeur de ceux qui les portaient. On se choquait, on s'accrochait, on se fâchait. Cela durait jusqu'à sept heures, moment fortuné où chacun oubliait son voisin dans les douceurs d'un excellent potage..."
" Aimez-vous les mathématiques ?... Je parie que non! Enfin, je puis me tromper. Ce goût utile m'est venu si tard que, jugeant de vous par moi, je me figure que vous bâillez comme je bâillais sur les éléments ennuyeux de cette science si intéressante. C'est pourquoi je n'ai jamais compris Pascal, lui qui les inventait, ces terribles mathématiques, parce qu'on ne voulait pas les lui enseigner. Oh ! que j'aurais voulu être à sa place! avoir autour de moi des obstacles, beaucoup d'obstacles, pour le seul plaisir de ne pas les vaincre, de ne pas monter au grenier comme Pascal enfant ; encore moins tracer des angles, droits ou obtus, sur la muraille ; toutes choses dont j'avais à cette époque une horreur assez semblable à celle qu'il convient d'avoir de la peste..."
"... Mlle Thérèse Delorme, que l'on appelait ordinairement Mlle Thérèse, était effectivement une très bonne personne ; mais demeurant seule, indépendante, et jouissant d'une jolie fortune, elle s'était accoutumée à s'affranchir de toute gêne, à vivre sur elle-même, se regardant souffrir, écoutant ses propres plaintes, et restant étrangère à la vie extérieure, aux inquiétudes et aux souffrances de son prochain. Aucun chagrin vif n'avait passé sur ce c¿ur, lui laissant une mesure de comparaison pour juger des maux de la vie. Elle prenait les contrariétés pour des peines et les mésaventures pour des malheurs. Pourtant, ceux qui la connaissaient intimement l'aimaient, car il y avait de l'insouciance et même une sorte de naïveté dans la persuasion où elle était de sa propre infortune, et du sort contraire qui la poursuivait..."
" Qui donc a pu inventer ce dicton : Méfiez-vous d'un dîner d'amis ? - Je n'en sais rien, mon cher Georges, mais j'ai toujours pensé que ce devait être un homme froid et sec. Quant à moi, pourvu que j'aie mes coudées franches, et le c¿ur à l'aise, je fais le plus grand cas du simple menu de l'amitié, fût-ce le bouilli réchauffé, bien que je donne la préférence, en homme de goût, à cet excellent perdreau. Ce dialogue s'engageait à la table de Mme Alban, femme bonne, paisible, demeurée simple au milieu des pompeux embarras d'une grande fortune. En face d'elle était son mari ; à sa droite, l'ami de la maison, l'homme indispensable, que l'on cherchait toujours, quitte à se disputer un peu quand on l'avait trouvé..."
" Quatre poules, un agneau, trois lapins, c'était toute la fortune de Madeleine, enfant de treize ans, seul appui d'une pauvre veuve qui avait encore deux petits garçons en bas âge. Le père de famille était mort depuis dix-huit mois. La mère avait lutté de toutes ses forces contre le malheur, mais sa santé ébranlée la rendait inhabile aux rudes travaux de la campagne, et d'ailleurs ses jeunes enfants demandaient des soins assidus ; malgré son courage et sa bonne volonté, la misère menaçait la chaumière des orphelins ; ce n'était pas cette misère désespérante des grandes villes ; non, il y avait toujours des roses dans le petit jardin, des parfums dans l'air, un tapis de verdure pour reposer les yeux. Ce n'était pas non plus cette pauvreté hardie qui se plaît à montrer ses haillons et son visage sombre pour attirer la pitié. Brigitte aurait abrégé le temps de son sommeil plutôt que de laisser ses enfants courir dans le village avec des habits déchirés. Au pantalon noir du bon petit Jacques, il y avait une pièce marron parfaitement mise, et qui témoignait en faveur de la ménagère..."
"... Depuis dix ans, M. Corbin ne s'était pas encore habitué à cette ornementation de la salle de billard; mais enfin c'était la faiblesse du bonhomme. Pas un descendant des croisés ne pouvait être plus fier de son nom que M. Coquelicot ne l'était du sien. Un jour, il s'était dit que, possesseur d'un bien d'une valeur considérable, et parfait gentilhomme à ses propres yeux, il lui manquait un écusson résumant le passé de sa lignée. Sur ce, il avait lui-même, à la suite de longues réflexions, fait peindre, sur champ d'azur, un beau coquelicot bien rouge au milieu d'une gerbe de blé. Cela lui avait fait un immense plaisir, aussi bien que le cachet sur lequel avaient été gravées ces armes, cachet qu'il ne manquait jamais d'apposer, ne fût-ce que sur un simple billet..."
Avez-vous connu, lecteur, les embarras de la rue du Bac, la grande artère du faubourg Saint-Germain avant l'existence du boulevard ? Tous les jours d'hiver, à quatre heures, on eût dit que Boileau, par une vue prophétique, avait fait poser devant lui les charrettes, les voitures, les cavaliers et les piétons qui s'y disputaient le passage. Quand il pleuvait, les obstacles s'augmentaient de tous les parapluies, doublés de la mauvaise humeur de ceux qui les portaient. On se choquait, on s'accrochait, on se fâchait. Cela durait jusqu'à sept heures, moment fortuné où chacun oubliait son voisin dans les douceurs d'un excellent potage.
" Entièrement tapissée de vigne vierge et cachée sous l'ombrage d'un tilleul, la maison du vieux Desnoyers faisait un charmant point de vue, et les promeneurs qui, de loin, l'apercevaient comme un nid sous les feuilles, ne manquaient pas de se dire: Qu'on doit être bien là ! Quelle tranquillité ! Que ces gazons sont frais ! Que cette eau est limpide ! Il fait bon vivre dans cette petite retraite. C'était effectivement une retraite, et des plus jolies, offerte par Mme d'Embrun au vieux garde en qui son mari avait mis, à juste titre, toute sa confiance. Ce brave homme avait servi la famille de M. d'Embrun depuis l'âge de quinze ans, et il en avait plus de soixante. Son dernier maître venait de mourir, et le vieux garde l'avait pleuré comme un ami, car Albert était non seulement juste et bon, mais aimable. Dès les premiers jours qui avaient suivi la mort du jeune chef de famille, le respectable Desnoyers avait été complètement rassuré sur son propre sort et celui de sa femme, la vieille Corentine..."
On allait et venait dans le somptueux appartement de Mme de Langrune, et cette agitation exprimait la plus vive inquiétude. Qu'allait-il se passer ? Qu'allait-on devenir ? Comment se terminerait cette terrible journée ? C'était à la fin de la Commune de 1871, alors que l'armée de la France luttait contre ces phalanges égarées, qu'on appelait improprement Paris. Mme de Langrune aurait pu, comme tant d'autres, quitter tout d'abord le foyer de l'insurrection, et se réfugier dans une belle habitation qu'elle possédait à huit lieues de la capitale; mais son mari étant obligé, par honneur, de veiller sur une caisse dont l'administration lui était confiée, elle avait choisi, elle aussi, de rester à son poste.
"... Mlle Thérèse Delorme, que l'on appelait ordinairement Mlle Thérèse, était effectivement une très bonne personne; mais demeurant seule, indépendante, et jouissant d'une jolie fortune, elle s'était accoutumée à s'affranchir de toute gêne, à vivre sur elle-même, se regardant souffrir, écoutant ses propres plaintes, et restant étrangère à la vie extérieure, aux inquiétudes et aux souffrances de son prochain. Aucun chagrin vif n'avait passé sur ce coeur, lui laissant une mesure de comparaison pour juger des maux de la vie. Elle prenait les contrariétés pour des peines et les mésaventures pour des malheurs. Pourtant, ceux qui la connaissaient intimement l'aimaient, car il y avait de l'insouciance et même une sorte de naïveté dans la persuasion où elle était de sa propre infortune, et du sort contraire qui la poursuivait..."
Quatre poules, un agneau, trois lapins, c'était toute la fortune de Madeleine, enfant de treize ans, seul appui d'une pauvre veuve qui avait encore deux petits garçons en bas âge. Le père de famille était mort depuis dix-huit mois. La mère avait lutté de toutes ses forces contre le malheur, mais sa santé ébranlée la rendait inhabile aux rudes travaux de la campagne, et d'ailleurs ses jeunes enfants demandaient des soins assidus; malgré son courage et sa bonne volonté, la misère menaçait la chaumière des orphelins; ce n'était pas cette misère désespérante des grandes villes; non, il y avait toujours des roses dans le petit jardin, des parfums dans l'air, un tapis de verdure pour reposer les yeux
Qui donc a pu inventer ce dicton: Méfiez-vous d'un dîner d'amis ? - Je n'en sais rien, mon cher Georges, mais j'ai toujours pensé que ce devait être un homme froid et sec. Quant à moi, pourvu que j'aie mes coudées franches, et le coeur à l'aise, je fais le plus grand cas du simple menu de l'amitié, fût-ce le bouilli réchauffé, bien que je donne la préférence, en homme de goût, à cet excellent perdreau. Ce dialogue s'engageait à la table de Mme Alban, femme bonne, paisible, demeurée simple au milieu des pompeux embarras d'une grande fortune. En face d'elle était son mari; à sa droite, l'ami de la maison, l'homme indispensable, que l'on cherchait toujours, quitte à se disputer un peu quand on l'avait trouvé.
Aimez-vous les mathématiques ?... Je parie que non ! Enfin, je puis me tromper. Ce goût utile m'est venu si tard que, jugeant de vous par moi, je me figure que vous bâillez comme je bâillais sur les éléments ennuyeux de cette science si intéressante. C'est pourquoi je n'ai jamais compris Pascal, lui qui les inventait, ces terribles mathématiques, parce qu'on ne voulait pas les lui enseigner. Oh ! que j'aurais voulu être à sa place ! avoir autour de moi des obstacles, beaucoup d'obstacles, pour le seul plaisir de ne pas les vaincre, de ne pas monter au grenier comme Pascal enfant; encore moins tracer des angles, droits ou obtus, sur la muraille; toutes choses dont j'avais à cette époque une horreur assez semblable à celle qu'il convient d'avoir de la peste.
"...Depuis dix ans, M. Corbin ne s'était pas encore habitué à cette ornementation de la salle de billard; mais enfin c'était la faiblesse du bonhomme. Pas un descendant des croisés ne pouvait être plus fier de son nom que M. Coquelicot ne l'était du sien. Un jour, il s'était dit que, possesseur d'un bien d'une valeur considérable, et parfait gentilhomme à ses propres yeux, il lui manquait un écusson résumant le passé de sa lignée. Sur ce, il avait lui-même, à la suite de longues réflexions, fait peindre, sur champ d'azur, un beau coquelicot bien rouge au milieu d'une gerbe de blé. Cela lui avait fait un immense plaisir, aussi bien que le cachet sur lequel avaient été gravées ces armes, cachet qu'il ne manquait jamais d'apposer, ne fût-ce que sur un simple billet. Le notaire avait trop d'esprit pour ne pas être indulgent à l'égard de ce vieillard, dont la bizarrerie était extrême et la vanité ridicule. Il lui passait ses travers et son orgueil de race, se traduisant par une fierté comique; et il tâchait de garder son sérieux devant les armes parlantes, car le sourire eût été une offense mortelle; or il importait de ne pas aigrir ce singulier personnage qui, par le fait, était à la tête du pays, et se trouvait, par position, pouvoir être utile à tous..."
Il arrivera !... Il n'arrivera pas !... Ces deux exclamations partent d'un wagon de première classe; on regarde en riant un petit homme sec, vêtu d'une longue redingote brune usée jusqu'à la corde. Il court de toute la force de ses vieilles jambes, et se démène tant qu'il peut sous trois ou quatre paquets qui compliquent la situation. Le terrible coup de sifflet lui donne une secousse; un paquet tombe, puis un autre. pendant qu'il se baisse pour les ramasser, le troisième paquet s'en mêle; c'est à en perdre la tête; il ne la perd pas, car il tient et serre étroitement dans sa main droite l'affreux sac de voyage qu'il promène depuis trente ans, dit-on, et dont il ne se séparerait pas, le monde croulant.
Rien de plus joli que la demeure où s'écoulait l'enfance du petit Adalbert; c'était la campagne de la Normandie avec ses haies, ses buissons, ses grands prés, ses champs dorés, tous ses parfums, toutes ses fleurs. Ces trésors, Adalbert les partageait avec les enfants du canton, car Dieu a mis pour tous du bonheur dans la plaine; mais ce dont le petit garçon jouissait seulement avec ses frères et sa soeur, c'était une grande et belle maison dont les fenêtres donnaient sur une jolie pelouse, où l'on admirait deux corbeilles de roses, les plus délicieuses qu'on pût voir. Il y avait de tous côtés des arbres verts, des peupliers, des hêtres, des chênes, des ormes, entre lesquels couraient tantôt des allées capricieuses, tantôt de l'eau bien claire où se plaisaient de beaux poissons.
" Quel tapage ! quels cris joyeux ! quels éclats de rire ! C'est la sainte Catherine. Une soixantaine de pensionnaires sont réunies dans une grande salle; on saute, on chante, on fait mille folies. La fête a commencé à sept heures du matin, et ce n'est pas fini. Les plaisirs ont été variés; la respectable Mme Lacroix, paisible reine de ce turbulent royaume, a paru, les mains pleines de jeux, les yeux pleins de promesses. Elle a prononcé un mot qui a fait explosion: Récréation sans cloche ! Cela veut dire qu'on retranche pour un jour tout ce qui rappelle la discipline, la méthode, la régularité, l'assujettissement. On a vu des petites filles, et même des grandes, faire un saut de deux pieds de haut, motivé par cette parole magique: Sans cloche ! La pensionnaire espiègle, il y en a beaucoup, se complaît dans les traditions; elle sait que de tout temps la cloche étant inexorable, il faut la détester, elle la déteste. Voyez Léontine, avec ses bonnes joues bien rouges et son franc sourire, elle trépigne de joie. Ne pouvant battre des mains, à cause d'une engelure, elle frappe du pied, ce qui veut dire par extraordinaire: Oh ! que je suis contente ! ..."
Notice sur le premier monastère de la Congrégation de Notre-Dame à Paris, Abbaye-aux-Bois / par Mme de Stolz [Fanny de Bégon]Date de l'édition originale: 1877Sujet de l'ouvrage: Abbaye-aux-BoisLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Valentine, par Mme de Stolz (Fanny de Bégon)Date de l'édition originale: 1875Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Blanche et noire / par Mme de Stolz (Fanny de Begon) http: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k580354
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