Bag om Histoire du cinquième frère du Barbier
Il y a bien longtemps, un mendiant nommé Alnaschar reçut en héritage quelques drachmes. Il n'avait jamais possédé tant d'argent. Il décida d'investir dans la verrerie. Il choisit une étroite boutique, installa sa marchandise dans un panier, s'assit le dos au mur, et se mit à rêver. Qu'il serait riche s'il parvenait à tout vendre pour le double, puis le triple et ainsi de suite. Il finirait peut-être par avoir des esclaves, une femme, voir même un palais !
Il rêva tant et si bien qu'un jour il heurta du pied sa verrerie. Toute sa marchandise gisait dorénavant sur le sol, en mille morceaux. Il cria, déchira ses habits, et pleura toutes les larmes de son corps, jusqu'à ce qu'une mystérieuse dame l'aperçoive et l'aborde...
N'hésitez pas à vous immerger dans les contes éblouissants de Sheherazade qui ont été source d'inspiration pour de nombreuses adaptations cinématographiques et télévisées, notamment la série d’animation française « Princesse Shéhérazade » (1996) et le film « Les Mille et Une Nuits » (1990) avec Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot et Catherine Zeta-Jones.
Qui n'est pas familier avec les histoires d'Aladdin, Ali Baba ou Sindbad parmi tant d'autres ? Monument hors pair de l’art de la narration, « Les Mille et Une Nuits » est un voyage incontournable vers le monde de la mythologie arabe. À travers de ses aventures et périples fantastiques, les histoires populaires de ce recueil illustrent de façon inoubliable les mœurs et les usages des peuples du Moyen-Orient. Traduites pour la première fois par l’orientaliste français Antoine Galland, elles n’ont jamais cessé de fasciner l'imagination de différentes générations pendant des siècles.
Ces contes ont été source d’inspiration pour la littérature, la musique, l'art et le cinéma partout dans le monde.
Monument hors pair de l’art de la narration, « Les Mille et Une Nuits » est un voyage incontournable vers le monde de la mythologie orientale. À travers ses aventures et périples fantastiques, les histoires populaires de ce recueil illustrent de façon inoubliable les mœurs et les usages des peuples du Moyen-Orient. Traduites pour la première fois par l’orientaliste français Antoine Galland (1646-1715), elles n’ont jamais cessé de fasciner l'imagination de différentes générations pendant des siècles.
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